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sur 93 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Bilbo le Hobbit est la première oeuvre publiée de JRR Tolkien. C'est dans cette oeuvre que l'anneau fait son apparition. cela va avoir de grandes conséquences dans la création des autres oeuvres. Bilbo Baggins est un hobbit qui à pour ami Gandalf. Un jour où Gandalf rend visite à bilbo, il lance grâce à la magie, un message invisible au yeux du hobbit sur sa porte. A partir de cet instant, monsieur Baggins va vivre des aventures extraordinaires.

Le lendemain de la visite de Gandalf, Bilbo reçoit chez lui 13 nains qui prirent le thé en discutant de chose et d'autres comme si cette situation était tout à fait normal, mais au fur et à mesure que le temps passe, le pauvre hobbit se pose de plus en plus de questions. En effet, Bilbo ne connaît pas ses invités. Il a quelques réponses lorsque Gandalf fait son apparition. Il se rend compte que le message sur sa porte le fait passer pour un voleur qui recherche un travail. Les nains expliquent qu'ils vont combattre le dragon Smaug pour prendre son or et qu'il est fort appréciable d'avoir un voleur comme compagnie. Prit au dépourvu, Bilbo accepte de se lancer dans cette fabuleuse et dangereuse aventure.

Dans cette oeuvre, Bilbo va faire la rencontre de Smeagol (Golum) et de l'anneau. le pouvoir de l'anneau permettra au hobbit de se sortir de situations périlleuses et très dangereuses.

Nous sommes sans cesse plongé dans de nouvelles épreuves que doivent affronter la compagnie. Il y a des loups, des gobelins, des araignées, et bien d'autres créatures étranges et effrayantes. Il y a certains passages qui sont un peu long mais dans l'ensemble, le lecteur est complètement prit par les divers rencontres, et obstacles des aventuriers.
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De Tolkien, je n'ai jamais lu que Bilbo le Hobbit, au grand désespoir de mon compagnon. J'étais déjà adulte, j'appréhendais de me lancer dans le monstre qu'est le Seigneur des Anneaux, surtout parce que ce n'est pas vraiment mon genre de lecture.
J'ai lu ce livre avec la sensation de voler par dessus des royaumes incroyables, paisibles ou violents, de suivre les pas de Bilbo et de ses compagnons sur les chemins escarpés de sa quête, de traverser fleuves et vallées, de pénétrer dans des forteresses sombres et de rencontrer des personnages nobles, héroïques ou d'une cruauté sans égale. Bref, j'ai adoré ce roman alors que je pensais déjà m'ennuyer, lorsque j'ai par habitude feuilleté rapidement les pages.
J'ai, récemment, regardé l'adaptation cinématographique... pourrait-elle remplacer la lecture du livre? j'espère que non. Donnera t'elle envie de le lire, justement? J'ai bien peur que non... malheureusement. le livre est tellement plus riche!
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N'ayant jamais lu (sûrement à mon tord me dire-vous) la trilogie du Seigneur des anneaux ais ayant vu les films, je voulais néanmoins connaître le début de toute cette histoire merveilleuse.
Adapté dans cette bande dessiné par Charles Dixon et illustré par David Wenzel, ces derniers sont relativement fidèles à l'esprit de Tolkien. Il est certes vrai que l'image que je me faisais de Bilbo m'a un peu prise au dépourvu mais pour ce qui est de Gandalf, Gollum, des nains ou encore des elfes, je les ai trouvés très fidèles aux adaptations cinématographiques (en réalité, c'est probablement l'inverse puisque cet ouvrage est paru en 2009) mais aussi à tout l'univers d'héroïc fanatsy en général. C'est un genre de lecture que j'apprécie et je joue même à des jeux de plateaux où ces dits personnages sont représentés.

Bref, pour en revenir à l'ouvrage en question, je dirais simplement que j'ai passé un moment très agréable en le lisant, que les dessins ainsi que les tons utilisés sont relativement plaisants à regarder et que l'histoire, donc par conséquent, celle de Tolkien, nous entraîne dans un univers merveilleux et nous permet de nous évader un peu...du moins, le temps de la lecture ! A découvrir surtout pour ceux qui, comme moi, n'ont pas encore eu le temps de s'attaquer aux oeuvres originales.
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J'ai retrouvé cette BD, achetée dans les années 90 chez Gibert, je m'en souviens très bien, et que je chronique pour deux occasions : d'abord, c'est le mois de l'Imaginaire sur Babelio, ça se fête, et puis en décembre, pour ceux qui l'ignoreraient encore, sort le premier volet de l'adaptation de Peter Jackson.

Les dessins sont sympathiques, très colorés et ma foi, correspondent plutôt bien à l'idée que l'on peut se faire des Hobbits ou des magiciens. Il y a certainement beaucoup plus de texte que dans la plupart des BD mais l'auteur qui a adapté le roman de Tolkien s'en est bien sorti. L'essentiel est là, sans trop de surcharge. Les ambiances sont bien restituées, j'ai bien aimé Smaug et je crois que l'atmosphère du roman a été fort bien retranscrite et est presque palpable.

Ce livre devrait plaire aux fans de Tolkien, moi j'avoue que je le considère un peu comme une pièce collector, et plus certainement à ceux qui n'ont pas envie de lire le roman. Quoi qu'il en soit, c'est une excellente mise en bouche avant la sortie du film.

C'était sorti chez Glénat. Les illustrations sont signées David Wenzel et la traduction est de Thierry Cailleteau.
Lien : http://lectures-au-coin-du-f..
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Bilbo le Hobbit est le premier roman de J. R. R. Tolkien, et la première pierre du formidable univers de la Terre du Milieu. L'histoire raconte comment Bilbo Sacquet se retrouve, un peu malgré lui, à partir à la chasse au trésor en compagnie de treize nains et de Gandalf le magicien.

L'adaptation de cette histoire en bande dessinée est extrêmement fidèle. Tous les textes et dialogues sont issus du roman, et aucune scène ne manque. La quantité de texte est d'ailleurs si importante que certaines pages tiennent presque plus du roman illustré que de la bande dessinées.

Les dessins de David Wenzel sont juste magnifiques et correspondent parfaitement à l'image que je m'étais faite mentalement de cet univers, à l'exception notable des elfes, qui manquent un peu de majesté. Mais à part ça, quel plaisir de revivre les grand moments du roman : les trolls, le concours d'énigme, Smaug...

Cette bande dessinée est de la belle ouvrage, mais je conseilles tout de même de lire le roman au préalable, car sinon vous en connaitrez les moindres détails, ce qui serait dommage pour le texte de Tolkien.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Bilbo, comme tout ses semblables hobbits, est l'image même du bon vivant, affectionnant sa dizaine de repas journaliers, soucieux de l'estime que lui porte sa communauté.
Pour ces êtres paisibles, les aventures sont absolument hors de question (qui sait combien de précieux repas cela peut-il faire manquer).
Ce sont de petites gens, aux cheveux aussi bouclés que les poils couvrant la plante de leurs pieds, leur permettant de se déplacer sans bruit comme ils vont pieds nus, et au ventre légèrement bedonnant.
Alors, quand Gandalf le magicien, auteur des magnifiques feux d'artifices de son enfance, arrive accompagné de treize nains, Bilbo, bien qu'étonné par toute cette agitation, leur offre, comme promis la veille, le thé, accompagné de quelques victuailles (enfin la quasi-intégralité de son garde-manger).
Gandalf, sans lui demander son avis, l'engage en qualité de cambrioleur auprès des treize nains, afin de récupérer le trésor gardé par le dragon Smaug dans la Montagne Solitaire.
Se retrouvant embarqué dans cette affaire pour un quatorzième de tout trésor récupéré, notre hobbit voyagera beaucoup plus loin que ne l'a jamais fait aucun hobbit, allant dans la Première des Maisons Simples des Elfes, dans des montagnes infestés de gobelins, dans l'aire des aigles géants ainsi que dans les forêts elfiques de la forêt de Mirkwood.
C'est au travers de ces voyages qu'il rencontrera toute sorte de créatures : elfes, trolls, changeur de forme, gobelins, le perfide Gollum, à qui il volera l'anneau Unique et bien sur un dragon.


Cela faisait longtemps que je n'avais pas relu ce livre, qui est d'ailleurs le premier livre que j'ai lu de ma propre initiative et qui m'a donné goût à la lecture.

Contrairement au Seigneur de Anneaux, écrit bien plus tard, ce livre est davantage destiné à un public jeune (je crois d'ailleurs que Tolkien l'a écrit pour ses enfants ou à partir d'histoires qu'il leur narrait) et l'humour y est bien plus présent.
En effet, bien que des combats et des batailles éclatent, la violence est très réduite et donc n'est pas choquante pour le public visé.
Ce livre se lit donc, malgré la richesse du détail dans les descriptions, très facilement pour un public adulte et assez facilement pour un public jeune (je ne souviens pas avoir eu de soucis lors de ma première lecture).
Il est écrit dans un style simple, comme une histoire racontée que l'on aurait recopiée fidèlement, et l'auteur interrompt fréquemment le récit par des incises prenant le lecteur à partie afin de faire participer le lecteur à l'histoire.
L'action est très présente et l'univers mythologique, provenant des cultures anglo-germaniques déployé, est très riche, plongeant le lecteur dans un univers féérique.

Les personnages principaux sont attrayants et très colorés.
Bilbo est, au début de l'aventure un être assez craintif, plus attaché à son petit confort qu'à ce qui se passe autour de lui, et râleur. Mais il devient, au cours des aventures, plus sage et courageux (mais toujours aussi râleur).

« Ce doit être la victoire, après tout ! Mais il semble que ce soit une bien morne affaire. »


Gandalf est le personnage le plus énigmatique du livre. Vieillard sans âge, mais doté d'une robustesse peu commune, maitrisant la magie du feu et celle de faire partir les hobbits à l'aventure (de loin son pouvoir le plus impressionnant).
Le livre ne nous en dit pas beaucoup plus sur lui, le Seigneur des Anneaux non plus d'ailleurs. Il faut se reporter au Silmarillion si l'on veux apprendre sa véritable nature, ses origines et sa mission.

Le seul point négatif que je peux retirer de cette lecture est la traduction.
Selon les éditions, les noms des personnages changent (de Bilbo Baggins à Bilbon Saquet), ainsi que les noms des lieux (BagEnd à Cul de Sac).
De même, les (nombreuses) chansons ont été traduite mot à mot, supprimant toutes les rimes et les jeux de mots.

La chanson des gobelins en anglais donne:
Clap! Snap! the black crack!
Grip, grab! Pinch, nab!
And down down to Goblin-town
You go, my lad!

Et une fois traduite en français :
Crac ! Clac ! la crevasse noire !
Tiens, serre ! Pince, chope !
Et tout en bas, tout en bas, à Gobelinville
Tu vas, mon gars !


Ce livre est également un excellent prélude au Seigneur des Anneaux (bien que non nécessaire) car le lecteur apprend comment Bilbo s'est retrouvé en possession de l'anneau Unique, de la cotte de maille de mithril, de Dard (ainsi que l'origine de son nom), ainsi qu'une multitude de petits détails.

Bilbo le hobbit est un grand classique de la littérature moderne, mais aussi le précurseur de la Fantasy moderne.
Un livre à lire absolument si ce n'est pas déjà fait.

Lire la suite:
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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Mon premier souvenir d'une lecture passionnante à l'école primaire. C'était un livre "pour les grands"... et je me sentais enfin grande ! :-)
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Véritable fan de l'univers de Tolkien, c'est avec curiosité que j'ai acquis cette version du premier livre que j'ai lu du père de la fantasy.

L'histoire évidement ne change pas par rapport au roman, Charles Dixon ayant été d'une fidélité irréprochable.

De plus, la calligraphie rappelle un peu l'alphabet elfique et, tout en ne retirant rien à sa lisibilité, se fond dans la beauté des traits.

Les dessins de David Wensel sont simples mais élégants, nous faisant plonger à chaque case dans les moindres détails des décors de la Terre du Milieu. Les scènes d'actions manquent peut être un peu de dynamisme mais font ressortir le caractères épiques des batailles.


Petit bonus : Quelques doubles planches représentant la fête improvisée de Gandalf et des nains chez Bilbo, le groupe chevauchant les Monts Brumeux et L'arrivée de Gandalf chez Bilbo.

Évidemment, on pourrait reprocher à cette bande dessinée de trop coller au livre, extrêmement riche en descriptions, et d'afficher beaucoup plus de texte à lire que l'on a l'habitude pour ce genre de support.

Toutefois, la mise en page est fort bien conçue et le texte ne « mange » pas trop la page. La lecture en est allongé, d'autant plus que la bd fait tout de même 138 pages, mais les puristes du genre apprécieront la sauvegarde de l'histoire originelle.

Je pense que c'est une bonne lecture pour qui veulent se lancer dans l'univers de Bilbo (surtout avec la sortie du film à la fin de l'année) et qui sont livres-sans-images-ophobes. Cela pourrait même les aider à envisager la lecture du roman.

Les fans, comme moi, replongeront avec délice et nostalgie dans cette nouvelle dimension de l'univers qui les ont tant fait rêver.

Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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Bilbo le Hobbit est un personnage clé d'une énorme saga d'héroïc Fantasy bien connu, "le Seigneur des anneaux".

Les grandes lignes de la saga sont assez simples, la bataille du bien contre le mal pour gagner le sort du monde, certe, mais ce que le public aura retenu surtout de l'auteur J.R.R. Tolkien c'est sa grande "fantaisie" proche du génie pour ses amateurs, il créa dans ce registre de Science-Fiction un univers très fouillé riche d'espaces géographiques imaginaires, les dotant d'une culture, écriture, philosophie, de langue cohérente...

Tolkien s'était inspiré de son expérience, humaine, historique, de ses études universitaires et de ses rencontres, de sa confrérie de braves amis des cultures, pour magnifier tout cela à son avantage dans son oeuvre.

La période historique par laquelle il sera passé, une des guerres, aura inspiré les tragédies, sacrifices, les passages épiques de son oeuvre. On ne peut ne pas penser qu'il n'y a pas ici une forme d'exutoire littéraire.



Quel est l'histoire de ces anneaux?



Ce sont des anneaux magiques de grands pouvoirs, chaque clan en détenait quelques uns, les nains, les humains, les elfes, ce partage symbolisait une paix signée entre les peuples.

Les anneaux avait néanmoins un anneau seigneur qui permettait à son détenteur un pouvoir ultime sur chaque clans et l'univers tout entier.

L'anneau ultime est une source de pouvoir qui peut aussi corrompre la volonté de celui qui le porte, le changer, le faire basculer dans le côté obscur de la force, grisé par le pouvoir, il devient un "monstre" au sens métaphorique du terme.

Son créateur secret est le personnage de Sauron, une créature diabolique, seigneur de l'infernale Terre du Milieu, incarnation sulfureuse de la mauvaise magie et du mal absolu.



OUI, WIKI?



"...Au Deuxième Âge de la Terre du Milieu, les forgerons elfes d'Eregion sont trompés par Sauron, qui se rend parmi eux sous une apparence aimable et leur prodigue son savoir, grâce auquel ils forgent les Anneaux de Pouvoir, de puissants anneaux magiques.

Mais, en secret, Sauron forge son propre anneau dans les flammes de la Montagne du Destin, au Mordor : l'Anneau unique, qui est plus puissant que tous les autres1.

Il y déverse une grande partie de son pouvoir, ce qui rend l'anneau indestructible, hormis par le feu de l'endroit où il a été conçu.

Lorsqu'il porte l'Unique, Sauron sait ce qu'accomplissent les autres porteurs de Grands anneaux et peut contrôler leurs esprits.

C'est ainsi qu'il domine les hommes à qui il offre les Neuf ; consumés par leur pouvoir, ils deviennent les Nazgûls, les Spectres et servants de l'Anneau unique.

Toutefois, les Elfes parviennent à préserver les Trois, qu'ils tiennent secrets et n'utilisent pas ouvertement.

L'Unique est perdu par Sauron..."

"... L'Unique est finalement retrouvé par un hobbit nommé Déagol, tué peu après par son cousin Sméagol, qui lui vole l'objet. Sméagol l'utilise à mauvais escient et devient une créature solitaire et néfaste : Gollum. Chassé par sa communauté, il se réfugie dans les entrailles des Monts Brumeux et vit reclus dans la montagne près de cinq cents ans.

Gollum voue alors un véritable culte à l'anneau qui devient même une seconde personnalité dans son inconscient.

Cependant, Gollum finira par perdre l'anneau et c'est un autre hobbit, Bilbon Sacquet, qui découvre par hasard l'anneau dans la caverne..."



MERCI WIKI!



Il s'en suivra une nouvelle alliance des peuples, une quête pour bien évidement récupérer l'anneau qui s'était égaré et sur le retour de la Terre du Milieu.

Mais le toucher, l'approcher est dangereux, l'anneau sous sa forme ultime tente en permanence son porteur pour le perdre.

Le jeune héros principal du "Seigneur des anneaux", Frodo, est identifié comme une sorte d'élu, le seul digne de récupérer l'anneau, lui résister et de pouvoir le détruire, au péril parfois de sa propre raison.

Les alliés et les amis tomberont sur le chemin pour que soit fait le nécessaire.

La saga sera faite de multiples trahison basé sur la corruption.



Tandis que " le seigneur des anneaux" est multiplié en plusieurs volumes denses prêts à satisfaire l'appétit des lecteurs grands ados et adultes, le récit de Bilbo est un récit court, accessible aux jeunes publics, il offre comme un préquel à la grande quête.

Bilbo est l'oncle du jeune Frodo.

Ils font partis du peuple des Hobbits, des habitants de la forêt à fourrure mais vêtus et marchant pieds nus. le cuir de leur plante de pied est plus renforcé que le notre.

Les hobbits sont paisibles et loin d'être guerriers, il y aura donc de l'ironie lorsqu'ils seront désignés pour cueillir l'anneau au lieu d'un guerrier, d'un nain, d'un magicien ou d'un elfe.

Bilbo sera le premier à rencontrer l'anneau et à s'y trouver également tenté.

L'aventure partira de lui.



QU'EN DIT AUSSI WIKI?



"...Bilbon Sacquet dans les traductions de Francis Ledoux

(Bilbo Baggins en anglais et dans la première traduction française du Hobbit;

Bilbo Bessac dans la traduction de Daniel Lauzon)

est le personnage central du roman le Hobbit de l'écrivain britannique J. R. R. Tolkien. Il est également un personnage secondaire du Seigneur des anneaux, et apparaît dans les Contes et légendes inachevés.

Le personnage de Bilbon est censé avoir écrit le Hobbit et transcrit le Silmarillion..."



MERCI ENCORE WIKI!



C'est donc grâce à lui que nous savons ce que nous savons.

L'aventure de Bilbo est une autre aventure qui verra introduire certains personnages majeurs comme le magicien Gandalf.

C'est lui qui viendra le quérir pour une mission dangereuse, accompagné d'une délégation armée de nains.

Cette troupe de nains souhaitait récupérer leur fortune inestimable et leur royaume dérobé par un dragon tout aussi chapardeur. Les guerriers de petite taille avaient besoin dans leur équipe d'un maître voleur une fois entré dans l'antre de la bête, pour mettre la main sur l'instrument de leur future victoire enfoui dans le tas d'or.

Et oui, Bilbo avait ce talent honteux et il l'ignorait.

Bilbo, au fil du périple, trouvera sur son chemin un anneau qui pouvait miraculeusement le rendre invisible.

Il ne dira mot de son arme secrète à quiconque...



QUID DE LA VERSION BD ?



Elle semble assez fidèle à l'esprit de toutes les adaptations faites, respectant aussi ses temps forts.

L'entrée en matière est irrésistible, avec notre Bilbo, en "monsieur tout le monde", hôte accueillant et presque pantouflard, envahi par "l'aventure", plusieurs nains dans son salon, sans avoir donné l'impression de les convier.

Gandalf verra en ce petit rondouillard à peluche le maillon manquant à son équipe d'escamoteurs, pour donner la nique au dragon.

C'est un point de l'intrigue. A t-il raison?

Une petite touche d'humour qui réservera forcément des surprises par la suite.

Bilbo semble brave et sans histoires, pas agressif pour un sou, c'est un héros et il ne le sait pas encore avec son beau tablier et son service à thé.

Curieux de cet autre lui-même que même lui n'avait jamais croisé dans le miroir, il suit Gandalf.



Le graphisme et ses couleurs rappellent certaines illustrations d'héroic fantasy vues dans des recueils illustrés pour la jeunesse, des livres de légendes sur le bestiaire fantastique ou les fées.

Nous sommes immergés dans une culture à différents niveaux donc.

Les quelques raccourcis ne gâchent rien, nous sommes dans l'aventure et la comédie.

Cette "mission suicide" engagée par des nains face à des trolls, des gobelins et de surcroît des dragons rend inévitablement ses nains courageux très attachants.

L'univers de Tolkien se déclare dans son ensemble aussi effrayant qu'enchanteur, nous gardons les terribles orcs du "seigneurs des anneaux" en tête.

Un grand classique de la littérature fantastique qui gagnera le coeur des jeunes générations avec des versions abrégées plus à niveau.

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Ayant déjà lu le roman voilà quelques années maintenant (et bien évidemment, vu les films adaptés au cinéma), j'ai été franchement étonnée par la qualité de cette adaptation BD.
Le récit est vraiment respecté, au point de retrouver plutôt fidèlement des dialogues et répliques qui font parties intégrantes de l'âme du roman selon alors que j'imaginais quelque chose de beaucoup plus survolé. Je n'ai pas forcément accroché complètement au dessin mais c'est un goût plutôt personnel et qui ne me marque pas tant que ça puisque je garde principalement la bonne surprise de la richesse du texte.

Le Gnome de 9 ans fut ravi de pouvoir découvrir un peu de cet univers que nous lui refusons pour le moment (la règle de la maison étant qu'on lit avant de voir mais l'écriture de Tolkien n'est pas à la portée de son jeune esprit pour le moment) a beaucoup apprécié sa lecture également.
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