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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cinabre est une couleur rouge vermillon. C'est la couleur dominante de ce thriller tel qu'il est formulé sur la première de couverture.
Toulouse, un hôtel mythique à la réputation sulfureuse, un infirmier convoqué là pour donner des soins et tout part en vrille.
Ce roman se lit très facilement, j'ai adhéré à l'histoire un bon moment , puis tout est devenu (pour moi) acadabrantesque. A un certain moment , un des protagonistes qui se pique d'écriture demande à un autre si « son histoire n'est pas trop alambiquée et pas crédible , »
l'auteur, le vrai, N.Druart je pense fait là de l'auto-dérision...
Merci aux Edts Harper Collins pour cet envoi.
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J'ai acheté ce roman, attirée par la couverture d'un rouge flamboyant et magnifique, ainsi que par le titre, un mot rare (j'adore les mots rares :) ). Dans la rubrique "enrichissez votre vocabulaire", le cinabre est un minerai de mercure d'une superbe couleur rouge vif. Et donc aussi une nuance de rouge).
L'intrigue commençait bien, ça se lit très facilement, on se demande où l'on va, que se passe-t-il vraiment dans cet hôtel mystérieux, qui est le tueur au sabre? Les pages se tournent, se tournent, et là ... les invraisemblances commencent à s'accumuler (exemple : un étage de l'hôtel possède 2 couloirs, l'un, central qui donne accès aux chambres, l'autre, périphérique, fait le tour des chambres, qui pourtant ont des fenêtres?) et le soufflé retombe. Pouf!
Par ailleurs, je n'ai trouvé aucun personnage très attachant, ni parmi les flics, ni Eliott... Et si je ne m'attache pas aux personnages, le roman ne m'emporte pas.
Donc, il s'agit d'une lecture qui ne m'a ni plu, ni déplu; ça se lit facilement et sans déplaisir, mais il ne restera pas dans ma mémoire.
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Tandis qu'Elliot Akerman, infirmier libéral, s'inquiète de la disparition de son collègue Manu, dont la dernière patiente résidait dans l'étrange hôtel Ferdinand, la police se trouve confrontée à des meurtres au sabre en plein centre ville de Toulouse.

Nous avons là le classique parallélisme entre deux intrigues qui semblent ne rien avoir en commun et qui, bien entendu, à un moment où un autre vont se rencontrer.

Du côté de l'hôtel, au début, Nicolas Druart se la joue un peu Shining avec un établissement qui semble doué de vie par moment et des moquettes aux motifs étranges que n'aurait pas renié le grand King. Si dans la première moitié du roman, l'ambiance inquiétante était bien rendue, renforcée par cette couleur cinabre qui recouvre tout d'un halo intrigant, au fur et à mesure des descriptions, j'ai perdu cette sensation d'immersion un peu fantastique. En plus aucun personnage ne m'était sympathique.

Quant à l'enquête policière, elle ne me passionnait pas autant que tout le mystère entourant l'hôtel et quand le pot aux roses a été découvert quant au fondement des meurtres au sabre, j'ai carrément perdu mon intérêt. En effet, j'ai trouvé que le prétexte mis en avant tombait un peu comme un cheveu sur la soupe, histoire d'être dans l'air du temps et rien ne m'a plus vraiment semblé crédible.

Je suis déçue d'être déçue car j'avais beaucoup vu passer de très bonnes choses sur l'auteur et j'étais impatiente de le découvrir grâce à la dernière masse critique mauvais genre. le style étant néanmoins agréable et comme je soupçonne que Nicolas Druart pourrait sans doute me tenir en haleine avec un autre sujet d'intrigue, je ne vais pas pour autant renoncer à lire un autre de ses romans.

Encore merci à Babelio et aux éditions Harper Collins pour la confiance.
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Un thriller dont l'action se déroule à Toulouse (Ville où réside l auteur ) qui démarre plutôt bien .
On suit en parallèle une enquête policière pour retrouver l'auteur d' un triple meurtre au sabre sur la voie publique et le parcours d'un infirmier libéral (Profession qu'exerce l'auteur) avec comme point commun un mystérieux hôtel
Il est difficile d'expliquer pourquoi je n'ai pas aimé la suite sans dévoiler l'intrigue.
je me contenterai d'indiquer que le récit quitte trop à mon gout le domaine policier pour se diriger vers le fantastique genre que je n'apprécie guère.
De nombreux Lecteurs , dont certains que je suis et dont je trouve les critiques généralement pertinentes ,l'ont beaucoup aimé.
J'en déduis donc que ce livre n'était simplement pas fait pour moi !
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J'ai beaucoup aimé le mystère tout autour de cet hôtel (personnage à part entière de ce roman) très sélectif, dans lequel on ne rentre pas sans raison et qui rendrait même « fous » ceux qui en sortirait..
On y découvre le vice, la corruption, l'opulence

Malgré les nombreuses actions qui ne prêtent pas à l'ennuie et la plume fluide et agréable de Nicolas Druart , je suis un peu passé à côté de cette lecture .

L'histoire ne m'a pas totalement convaincue, j'ai même parfois été un peu perdue entre folie et réalité

Le faire traîner aussi longtemps n'a sans doute pas aidé à m'immerger dans le récit..
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J'ai eu l'impression de lire un film ! 🎥

L'ambiance est très cinématographique, j'ai adoré les descriptions de l'Hôtel Ferdinand, et tout ce qui tourne autour : les rumeurs, la folie, l'ambiance feutrée, intimiste et pleine de mystères, les clients, les « animations », l'excès, les couleurs, le cinabre.🩸

On ressent cette angoisse et cette oppression dès qu'un des personnages y met les pieds, on retient notre souffle dès qu'un personnage ouvre une porte, prend l'ascenseur. Tous les détails participent à cette immersion ! 🏨

J'ai été un peu moins emballée par l'histoire, que j'ai trouvé assez capilo-tractée.. et mon gros bémol sur les personnages. Aucun n'est attachant : ni les flics, et sûrement pas Elliot, qui est complètement à la ramasse et qui nous énerve tout au long de l'histoire. 🤦🏻‍♀️

Lecture en demi-teinte donc..
Nicolas Druart est toujours très fort pour les décors, le côté huis-clos dans un lieu (j'avais adoré Nuit Blanche) mais j'ai trouvé l'histoire moins captivante cette fois-ci. ⚡️
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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un très bon squelette, original, nouveau, mais, il est construit avec des briques déjà vues et revues, des trucs d'auteur tombés dans le dômain publique, et le tout collé avec de la merde. j'ose le dire, car j'ai vraiment l'impression qu'on a ri de moi dans ce livre. Les personnages n'ont aucun sens, psychologiquement, ils ne font que faire ce que l'auteur à besoin sans que ce soit cohérent avec la psyché. des individu "faible" soumis à un gourou qui se transforme en trois mots en psychopath ou sociopath, des gens "trop gentil" qui devienne des meurtriers, à la seconde ou leurs dits "c'est bon"... des traitres, qui sont traitres parce que c'est utile... et j'en passe.

Le texte en lui-même est, tantôt coulant, tantôt alambiqué, comme si deux personnes l'avaient écrit (Schizophrénie?), des phrases comme "pourquoi vous, vous êtes-vous..." ou "dans les affaires susmentionnées précédemment" et je ne parle pas du deuxième couloir de l'autre côté des chambres, qui fait le tour extérieur de l'immeuble, elles sont ou les fenêtres des chambres? par ce qu'elles en ont, il en parle.
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