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Cinabre , un titre qui a de quoi susciter la curiosité et , comme la vie est bien faite , il suffit de se rendre sur la quatrième de couverture pour en saisir le sens . Ainsi , dans la Ville Rose , le principal personnage sera un hôtel... Oui , mais un hôtel bien particulier dans lequel ne seront conviés que " des gens peu communs ", ce qui , bien entendu , ne peut qu'attiser les convoitises , les jalousies , les rêves, les envies . Entrer dans cet hôtel, une chimère ? Oui , une appréhension aussi car un évènement tragique en a forgé l'histoire et rebute bon nombre de clients potentiels .
Mystère, mystère et c'est aux anges mais pas franchement rassuré que le gentil infirmier va se rendre au chevet d'une troublante hôtesse pour la soigner ....et mettre les pieds dans un monde bien étrange .
A la fois thriller, conte cruel , récit fantastique , ce roman a tout pour tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page . Des chapitres courts , des dialogues nerveux , un " changement de ton " fondamental en cours de route donnent corps à une situation assez banale au départ, endiablée par la suite , même si quelques " extravagances " portées par un écrivain de plus en plus libéré , placent l'ensemble à la limite du crédible.
Je crois savoir que ce roman a été très bien noté par les lecteurs , je ne peux que me joindre à leur avis pourm'être délecté.et avoir tourné moi même longtemps autour de ce mystérieux hôtel, comme la plupart des personnages dont je ne parlerai pas tant le statut de " star " leur a été confisqué .La fin se déroule à cent à l'heure , tellement troublante et énigmatique que la porte de sortie habilement trouvée par l'auteur laisse présager...une suite ? Si c'est le cas , tant mieux , si ce ne l'est pas , tant pis , je l'imaginerai par moi -même. Vaste et beau programme .
Un livre qui m'a beaucoup plu et que je recommande mais , vous le savez bien, tout le monde , et tant mieux , n'adhère pas aux mêmes idées et je ne livre que mon avis , rien que mon avis.
A bientôt, chers amis et amies .
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La plume de Nicolas Druart ne m'est pas inconnue car il y a quasi un an, je l'avais découverte avec l'excellent « L'enclave », un thriller pour lequel j'avais eu littéralement un énorme coup de coeur. Cette année, Nicolas Druart nous propose à nouveau un thriller, « Cinabre » et à nouveau, il a réussi à entièrement me chambouler.

Ici, on quitte les terres assez sauvages de la vallée du Lot pour rejoindre la ville de Toulouse. On va y visiter l'hôtel le plus chic de la ville, « L'Hôtel Ferdinand ». Ce dernier a connu un épisode terrible dans les années 80, lorsque son propriétaire fut abattu par la police après qu'il ait massacré sa famille, à l'exception de son petit dernier, Richard. A part cela, je ne vous en dirai pas plus pour ne pas gâcher votre potentiel plaisir de lecture.

Nicolas Druart a, comme pour « L'enclave », fait de son lieu un personnage à part entière. L'Hôtel Ferdinand est finalement un protagoniste dans l'histoire : il vit, se modifie, évolue, transpire ses sentiments. Par les descriptions de l'auteur, on a l'impression d'avoir soi-même logé dans une de ses chambres, d'y avoir parcouru les interminables couloirs et d'en avoir ressenti ses mystères.

Le suspens est encore une fois bien au rendez-vous. Parfait « page-turner », il vous tiendra en haleine durant plusieurs heures et vous ne souhaiterez qu'une seule chose : en connaître la suite. le problème évident avec ce type de thriller, c'est qu'il est tellement bon que, même si on veut découvrir le dénouement, on n'a pas envie qu'il se termine.

J'ai autant apprécié les personnages, les lieux, les enquêtes, l'ambiance pesante, bref : tout. Je n'ai absolument aucun grief à formuler dans cette lecture. Cela ne servirait (mais alors pas du tout) de chercher de midi à quatorze heure des points négatifs, car, pour moi, je n'en trouverai certainement pas.

Je ne peux que vous conseiller vivement ce bouquin d'une des nouvelles voix du thriller français qui constitue l'un de mes coups de coeur de cette année.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Bonjour,
Voici “Cinabre”de Nicolas Druart. J'ai adoré ce thriller redoutable et machiavélique. L'auteur nous emmène dans La ville rose où nous découvrons un hôtel mythique très chic et luxueux, l'hôtel Ferdinand, qui a accueilli dans le passé un drame terrible. Témoins d'un quadruple homicide, les murs continuent à alimenter une réputation mystérieuse. Un infirmier va tenter de retrouver un ami disparu après une visite dans l'hôtel le personnage principal est fort bien travaillé, attachant et émouvant. Ses terrifiantes angoisses prennent racine dans une atmosphère sombre, anxiogène et énigmatique. L'auteur m'a séduite à nouveau muni d'une intrigue brillante aux rebondissements époustouflants et glaçante par certains aspects hyperréalistes. Un excellent thriller à découvrir au plus vite !
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Offert pour mon anniversaire, j'étais impatiente de découvrir cet auteur que je ne connaissais pas encore. D'autant que la superbe couverture rouge carmin, vermillon, écarlate, rouge Dior ?..... Non, Cinabre : un pigment de couleur rouge à base de sulfure de mercure qui sert généralement en imprimerie mais aussi pour bien d'autres usages. Voilà, ça c'est la partie « petite histoire », là où j'apprends quelque chose de nouveau ! Ça me plait bien…

Bref, je me jette avidement dans l'histoire en grillant les pages comme on grille des feux rouges !... 12 pages et voilà, j'ai plus de permis !... Blague dans le coin, ça commence bougrement bien : Une histoire, une enquête et un lieu.

L'histoire c'est celle d'Elliot, infirmier en Cabinet libéral créé avec six de ses anciens potes de promo, Elliot est un peu bizarre, un peu trop gentil, un rien trop empathique. Il est attachant mais aussi un peu agaçant parce qu'il se sent toujours obligé de « plaire à tout le monde ». Ça donne le sentiment d'un manque de caractère et rend le personnage un peu fade mais aussi plein de contradictions. Il s'essaye aussi à l'écriture à ses heures perdues. Très prolifique en thrillers qu'il ne parvient pas à faire éditer, il n'a qu'une seule bêta-lectrice, sa meilleure amie Alice.

En parallèle s'ouvre une enquête menée par le Capitaine Aubert. Celle où un tueur dégomme à tout va au hasard dans la ville de Toulouse à coup de katana à une vitesse ahurissante (Le katana est le symbole de la caste des samouraïs, c'est un sabre courbe à un seul tranchant – et hop, j'ai appris un autre truc !!). Et, Antoine, notre brave flic, peine à comprendre le mobile de ces massacres…

Le lieu, enfin, celui qui tient le haut du pavé, « The place to Be »: l'hôtel Ferdinand ! Outrageusement luxueux tout de rouge décoré du sol au plafond. Pas n'importe quel rouge, non, celle du titre, celle qui rappelle la couleur du sang versé par le premier propriétaire de l'établissement. Un massacre. Celui de toute sa famille. Tous excepté Richard, le petit dernier, sauvé in-extremis par la police.

Même après sa réouverture trente ans plus tard par le fameux rescapé de la tuerie l'hôtel traine toujours cette maudite réputation. Beaucoup de mystère entoure ce lieu et autant de rumeurs qui en font sa publicité.

Les ragots parlent de clients suicidés, de folie suite au séjour dans l'une des ailes de cet hôtel, l'aile Nord, strictement privée où l'on n'entre que sur carton d'invitation du directeur lui-même, dûment livré en main propre par l'émissaire de ce dernier. Nul ne connait les critères de sélection. Tout n'est que fantasmes et suppositions…. C'est une légende urbaine. Là où planent les plus folles rumeurs. Mais qui attire malgré tout et attise les convoitises et les curiosités (malsaines ?).

Ici, le bâtiment est carrément personnifié, il tient le rôle entral. le reste n'est que fioriture. Ou on veut nous le faire croire ? Qui est réellement qui en fait ? Dans quelle mesure l'hôtel agit sur la vie des personnages, leurs actes, leurs travers ? Ne sont-ils que des pantins, des marionnettes ? de qui ? Ne serait-l finalement qu'un outil qui dessert des desseins bien plus sombres et fous qu'on ne peut le penser?

Donc, disons-le clairement : ce roman est une réussite et coche sans exception toutes les cases du thriller.

Alors pourquoi me reste-t-il une réticence sourde ? Mon ressenti reste bizarre, une impression diffuse mais tenace de malaise. Ça m'a fait le même effet en lisant « Hell.com » de Patrick Senecal (pas du tout sur le même sujet, quoique…). Surement dû à l'atmosphère pesante, poisseuse et glauque. Claustrophobique (nouveau mot inventé je crois – par moi ??). Gaspard le majordome, m'aurait-il filé trop de sueurs froides ?

Je ne saurais pas dire exactement. Pourtant, j'en lis des thrillers bien « hard ». Des situations tordues à souhait, des cas psychologiques inimaginables, du sang, des larmes, de la violence, des meurtres en veux-tu en voilà. Alors quoi ??

Voilà, justement, c'est tellement bien décrit que des jours et des semaines après, je ressens encore ce profond malaise. Et je n'aime pas rester « sous emprise ». Être dans l'ambiance pendant la lecture es une chose. S'en extraire c'est bien aussi pour pouvoir passer à autre chose. Si c'est resté ancré, c'est que quelque chose m'a dérangée. Mais c'est du ressort de l'inconscient… et comme c'est un ressenti très « personnel », je ne me base par là-dessus pour noter la lecture puisque le but du livre est bel et bien atteint.

Le problème réside dans le fait, à mon sens, qu'un livre reste accrocheur quand on a de l'empathie pour un ou des personnages qui l'anime ou qu'on arrive à s'y identifier. Mon problème à moi, c'est que je ne pouvais pas ressentir d'empathie pour un lieu, encore moins m'y identifier. le malaise et le vertige perçus ont neutralisé ma curiosité.

Donc, petit récap. : 1 étoile pour la volonté (et la capacité) d'écrire ainsi que la fluidité du récit ; 1 autre pour le suspense savamment mené, 1 autre pour Elliot et son histoire qui m'a touchée, ½ de plus pour l'ambiance que l'auteur a su créer (même si c'est ce qui m'a gênée) et enfin une autre ½ pour le final qui est intéressant, un peu grandiloquent à mon goût mais surprenant. On arrive donc à un total de 4/5, ce qui signifie que c'est un excellent thriller ! Bravo !

D'ailleurs je n'hésiterai pas à lire un autre titre de ce même auteur pour voir….

Et.... merci à ceux qui auront eu le courage de lire jusqu'au bout (à moins qu('ils n'aient sauté du premier au dernier paragraphe :-)). Je ne sais pas faire court....
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Un hôtel où il se passe d'étranges phénomènes et des attaques sauvages d'inconnus en plein centre ville de Toulouse, voilà les ingrédients de ce roman palpitant qu'on ne lâche plus une fois commencé.
Un infirmier va disparaître après avoir soigné une patiente à l'hôtel Ferdinand, qui a très mauvaise réputation depuis que l'ancien propriétaire y a massacré sa famille il y a plus de 30 ans.
Son collègue et ami va donc tenter de savoir ce qui lui est arrivé et ce ne sera pas sans danger.
Parallèlement à cette disparition, nous allons suivre le quotidien des policiers chargés de comprendre pourquoi des personnes ont été mutilées ou assassinées, de jour comme de nuit, en plein centre-ville sans aucune raison apparente.
Et si tout était lié à cet hôtel maudit ?
J'ai beaucoup aimé ce roman qui ne nous laisse pas un instant de répit et se dévore à toute vitesse, même si pénétrer dans les secrets de cet hôtel est assez effrayant.
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En débutant Cinabre (dont j'ai appris la définition au cours de ma lecture), j'étais heureuse de retrouver la ville de Toulouse même si l'on sait qu'en lisant les livres de Nicolas Druard il sera forcément question de meurtre qui effraye la population locale 😉

J'ai aimé suivre les personnages déambulant dans le coeur de la ville rose pour arriver jusqu'à un mystérieux lieu ; l'hôtel Ferdinand, bâtiment emblématique au passé funeste qui va en fasciner plus d'un dont Elliot, notre personnage principal, un jeune infirmier sensible et assez introverti.

Troisième livre que je lis de l'auteur, je prends toujours autant de plaisir à retrouver sa plume singulière et qui met à l'honneur d'une certaine manière mon sud tant aimé 😉(et oui, je suis un peu chauvine 😉).

Concernant l'intrigue, je l'ai trouvé intéressant et agréable à lire avec cette pointe de fantastique même si mon oeuvre préférée reste l'Enclave pour laquelle j'avais eu un gros coup de coeur.

Je tiens à féliciter Nicolas pour le prix reçu il y a quelques jours pour ce thriller et c'est avec un grand plaisir que je continuerai à lire ses autres romans avec mon groupe de copines!
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D'Agatha Christie à Stephen King en passant par Kerr ou Tackian, l'hôtel et toute sa fantasmagorie mystérieuse est depuis longtemps entré dans les « marronniers » du polar. Dans Cinabre, Nicolas Druart y ajoute sa touche toulousaine, sans révolutionner le genre mais de manière appliquée.

Le pitch est simple : un hôtel qui fut autrefois le théâtre de crimes sanglants a depuis rouvert grâce au descendant de l'ancien propriétaire. Il faut aujourd'hui montrer patte blanche pour y pénétrer, ce qui fait du lieu l'objet de tous les fantasmes et de toutes les rumeurs dans la ville rose, frappée par de mystérieux assassinats au sabre.

Quand Elliot, jeune infirmier, découvre que son associé a disparu et que son dernier signe de vie était l'hôtel, il n'a plus qu'une obsession : y pénétrer à son tour.

Dès lors qu'on prend le parti de passer outre quelques surprenantes invraisemblances (autour des meurtres en série au sabre non élucidés et de cet hôtel « protégé » où la police ne peut pénétrer), Cinabre joue parfaitement son rôle de pageturner.

Le livre est rythmé et ce personnage d'Elliot, assez insignifiant au départ, prend peu à peu du corps et de l'intérêt au fur et à mesure de son approche d'un monde nouveau qui lui était jusque-là inaccessible.

« Nous avons choisi cette vie. Nous avons choisi de faire passer nos besoins avant ceux des autres. »

La teinte de l'hôtel prend alors tout son sens, ce cinabre unique obtenu à partir d'un pigment issu du sulfure de mercure, dont on dit qu'il est symbole d'immortalité…
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Cinabre est une couleur rouge vermillon. C'est la couleur dominante de ce thriller tel qu'il est formulé sur la première de couverture.
Toulouse, un hôtel mythique à la réputation sulfureuse, un infirmier convoqué là pour donner des soins et tout part en vrille.
Ce roman se lit très facilement, j'ai adhéré à l'histoire un bon moment , puis tout est devenu (pour moi) acadabrantesque. A un certain moment , un des protagonistes qui se pique d'écriture demande à un autre si « son histoire n'est pas trop alambiquée et pas crédible , »
l'auteur, le vrai, N.Druart je pense fait là de l'auto-dérision...
Merci aux Edts Harper Collins pour cet envoi.
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« Cinabre » c'est une couleur, un rouge minéral, très sombre, proche de la couleur du sang…
C'est le 3° roman de Nicolas Druart que je découvre (son 4° paru) et je continue à être happée par ses intrigues !
Sa particularité ? Il est infirmier à Toulouse… ce qui donne beaucoup de réalisme aux éléments médicaux et il sait nous transporter au coeur de la ville rose… enfin, dans « Cinabre », Toulouse voit plutôt ROUGE !!
Comme aurait pu chanter Sardou :
ROUGE, comme toute la déco de ce luxueux Hôtel Ferdinand à la réputation sulfureuse, dont le premier propriétaire a massacré toute sa famille…
ROUGE, comme le sang des victimes mutilées qui inonde les trottoirs de la cité…
ROUGE, comme la colère des services de police et des élus devant ces massacres impensables qui vont crescendo…
ROUGE, comme le front du capitaine Antoine Aubert, dit « La pile », honteux devant son impuissance à stopper le « tueur au sabre »…
Elliot, petit infirmier libéral, va se retrouver bien malgré lui embarqué dans cette spirale infernale en cherchant la trace de son collègue disparu depuis plusieurs jours… après avoir prodigué des soins au sein de cet Hôtel mystérieux. Des bruits courent que ces lieux sont maudits… ayant entrainé des clients dans une folie suicidaire…
La spécificité de ce roman est la place prépondérante donnée à ce lieu, cet Hôtel à la fois angoissant mais tellement attirant !
De fausses-pistes en révélations fracassantes, de théories complotistes en trahissons réelles, Nicolas Druart joue avec nos nerfs jusqu'aux dernières pages !
Il me reste encore à découvrir 2 romans de cet auteur… et à faire enfin sa connaissance au salon de Nemours 😊 Hâte !
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Comment résumer un livre comme Cinabre… bon et bien quand il faut se lancer, on se lance… c'est l'histoire d'Elliot, qui travaille dans un cabinet d'infirmiers à domicile qu'il a crée avec six de ces copains d'école.
Le problème c'est que l'un d'entre eux ne se pointe plus après avoir soigné une cliente dans l'Hôtel Ferdinand.
Ce fameux hôtel ou dans les années 80 le directeur a massacré toute sa famille, sauf son dernier qui a su y échapper et qui y est maintenant directeur à son tour.
Vous imaginez qu'après un tel massacre les rumeurs vont bon train et qu'Elliot n'est pas du tout rassuré de ce qui aurait pu arriver à son copain/collègue.
Et pour couronner le tout, un tueur au sabre agit dans Toulouse.
Voilà de bons ingrédients pour bien commencer une chouette histoire !

Dans cette histoire, on retrouve effectivement beaucoup de choses qui font que je ne me suis pas ennuyé une seconde. Oui bon il y aura des éléments que j'ai trouvé un peu tiré par les cheveux mais soit, je ne m'y suis pas attardée.
L'auteur aime beaucoup jouer avec son lecteur, il nous mène en bateau et nous donne de fausses pistes, même si je me suis douté (et deviné) que rien n'est simple dans un thriller je n'ai pas pu deviner tout non plus.
L'histoire est bien menée, avec une plume que j'ai trouvé efficace et simple. On y retrouve aussi un rythme soutenu qui se laisse facilement lire et des chapitres courts comme j'aime retrouver dans un livre !
Vous aurez compris, j'ai beaucoup aimé lire ce livre, c'est d'ailleurs le deuxième livre que je lis de l'auteur et même si j'ai une préférence pour L'instinct ici j'ai aimé retrouver un peu plus le genre du polar et du policier, même si ce n'est pas que ça.

En conclusion pour moi Nicolas Druart est un auteur à suivre et ce livre fût, pour ma part, une belle réussite!
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