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Lady Elza tome 2 sur 2
EAN : 9782723488471
56 pages
Glénat (12/02/2014)
3.25/5   12 notes
Résumé :
Une fantaisie policière so british !

Alors que Lady Elza cherche désespérément un appartement pouvant loger ses 400 paires de chaussures, elle tombe sur une affaire en or. Un magnifique flat ayant appartenu à Coco Brown : un journaliste chasseur de scoop très controversé qu'on a retrouvé assassiné le corps criblé de balles. De quoi piquer la curiosité de notre belle anglaise ! Sauf qu il y a un loup : tous les précédents acquéreurs du bien ont eux aus... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Les hommes sont parfois à bien à plaindre.
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Ce tome est le second d'un diptyque. Il fait suite à ‎Lady Elza, tome 1 : Excentric Club (2014). Il a été réalisé par Jean Dufaux pour le scénario et par Philippe Wurm pour les dessins et les couleurs. Sa première publication date de 2011. Ce personnage est issu de la série précédente réalisée par les mêmes auteurs : Les Rochester, six tomes de 2001 à 2009.

Il faut évoquer ici une histoire bien curieuse qui se passa à Londres. La vente Coco Brown. Dont les journaux publièrent certains aspects tout en négligeant l'essentiel. À savoir la présence de Lady Elza sur les lieux du drame. Certes, il y eut mort d'homme mais là n'est pas l'essentiel… L'essentiel, c'était la recherche d'appartement. Tout commença au Savoy, un endroit bien sympathique et convivial pour ceux et celles qui disposent de quelques monnaies. Ici, tout est passage, argent, beauté éphémère, tempes blanchies, mécènes, passions, liftings, redressement, anéantissement. Ici, le désir s'accroche aux jambes des femmes, tandis que les honneurs et les illusions s'exposent au revers des vestons. Gordon Ramsey officie toujours au Savoy Bar. C'est bien la preuve que la crise boursière n'est qu'un furoncle sur le cuir du vulgaire. À défaut d'honneurs, certains bégaient, ce qui leur donne un air charmant. Pourvu qu'ils soient jeunes. Ce qu'est manifestement Amadeus Dexter, agent immobilier de profession et amoureux transi par accident. L'accident, c'est notre Lady. Belle sensuelle avec discrétion ce qui reste le pire des pièges.

Les Londoniens vaquent à leurs occupations, marchant sous la pluie. La nuit est tombée, le ciel est lourd de nuages noirs. Elza Rochester considère son vis-à-vis en se disant qu'il est mignon, en se demandant si elle l'emmènerait dans sa chambre. Elle opte pour la négative : elle ne veut pas finir comme ces New-Yorkaises mal fagotées qui jouent dans cet affreux soap-opéra. Finalement, elle brise le silence et interroge Amadeus Dexter : les nouvelles ne sont pas bonnes ? Il passe en revue les spécifications de sa cliente : un appartement non loin de Buckingham Palace, dernier étage avec ascenseur, vue dégagée, terrasse, parc privatif, trois chambres avec dressing room, prévoir 400 paires de chaussures, superficie 150m² minimum, petit studio d'appoint si jamais un domestique est requis. Il finit par s'exclamer qu'il connaît un appartement susceptible de peut-être l'intéresser : la vente Coco Brown ! Un scandale qui a fait la une des journaux ! Brown était ce journaliste qui travaillait pour Jason Theaser, le roi des chasseurs de scoops. Brown était parvenu à s'introduire dans la messagerie du portable de Lady Diana. Il pratiquait la technique du harcèlement pour obtenir un maximum de renseignements sur la famille royale. le Sun et le News of the World ont publié certains de ses articles. Brown devait apporter à Clive Woodman, vétéran des chroniqueurs royaux, des révélations propres à déstabiliser la Couronne. Il a été retrouvé mort dans son appartement.

Deuxième tome des aventures de cette jeune divorcée, appartenant à une bonne famille de la haute société, sans aucun souci d'argent, avec une aisance financière de grande fortune, sans avoir besoin de travailler, et une propension à badiner pour faire tourner les hommes en bourrique. le lecteur retrouve l'héroïne à l'identique du tome précédent : paradoxale. Une ingénue ne semblant pas bien saisir ce qui se passe autour d'elle, en même temps qu'une femme s'en tirant sans une seule égratignure. Une femme très consciente des tensions de nature sexuelle que sa simple présence génère, une gêne qu'elle entretient chez le pauvre Amadeus Dexter, en même temps qu'une vie d'une chasteté exemplaire. le lecteur n'en vient pas à considérer cette dame comme une peste, car la direction d'actrice montre une jeune femme, peut-être trentenaire, se conduisant sans malice, nature, et parfois facétieuse mais sans méchanceté. Elle est toujours vêtue avec goût, sans signe de richesse ostentatoire, sans faute de goût, par opposition à Carrie Bradshaw, Charlotte York, Miranda Hobbes ou Samantha Jones, les quatre héroïnes de la série Sex and the city (6 saisons de 1988 à 2004) à laquelle Elza fait allusion en les qualifiant de New-Yorkaises mal fagotées. le lecteur éprouve le minimum de sympathie requis pour cette femme, mais guère plus, du fait de son caractère foncièrement égocentré. Dans un premier temps, il éprouve de la compassion pour le pauvre Amadeus Dexter dont les élans du coeur connaissent des hauts et des bas au gré des taquineries et des sous-entendus de Lady Elza, mais il se lasse rapidement de ce personnage trop falot.

Le récit commence avec une magnifique vue aérienne d'un quartier de Londres sous la pluie : cette vue atteste du degré élevé de l'implication de l'artiste. de fait, son implication reste entière du début à la fin et le lecteur peut s'immerger dans un environnement londonien : Big Ben, l'ambiance luxueuse du Savoy, différents endroits des quais de la Tamise, un pub typique, l'aiguille de Cléopâtre, Saint James Park, Tower Bridge, Regent Street, la silhouette allumée du cornichon (30 St Mary Axe). Il peaufine avec le soin les intérieurs des restaurants et des appartements, avec une décoration intérieure impressionnante, mais sans être ostentatoire, pour l'appartement de la succession Coco Brown. le lecteur prend plaisir à regarder chaque lieu, laissant son regard fureter à gauche, à droite. Les personnages disposent chacun d'une morphologie spécifique, de la silhouette fine d'Elza Rochester, à l'embonpoint assumé de Feet, avec des tenues vestimentaires adaptées à leur condition sociale et à leur occupation ou leur profession. le lecteur remarque que le dessinateur sait se montrer discrètement facétieux : un garçon d'étage avec le costume de Spirou, une case consacrée aux canards sur un plan d'eau, des personnages en ombre chinoise, une statuette de Sigmund Freud se bouchant les oreilles dans le cabinet d'un psychothérapeute, et dans la page suivante une statuette de Dingo (Goofy) exactement dans la même position induisant un commentaire visuel bien sentie sur la psychanalyse, quatre cases successives envahies par des onomatopées.

De son côté, le scénariste ouvre son récit avec une écriture qui évoque à la fois le roman policier tout public, une forme légère de cynisme comme un vernis mondain, et un badinage, déjà présent dans le tome un. Lady Elza a bien décelé le trouble qu'elle provoque chez l'agent immobilier et elle se fait un malin plaisir de le mettre sur le grill avec des phrases à double sens, qu'il saisit mais qu'il met sur le compte de son propre esprit mal tourné. Ce mode de conversation se reproduit à deux ou trois reprises, sans rien de plus concluant qu'un chaste baiser. Cette titillation par le langage se reproduit lors des deux pages consacrées à une séance d'Amadeus Dexter chez son psychothérapeute qui s'avère encore plus démangé que son client. Par la suite, Elza Rochester se trouve prise en filature dans les rues de Londres et, sur les conseils de Feet, elle va trouver refuge dans un cinéma où elle se rend compte une fois installée qu'il diffuse des films à caractère pornographique : les échanges verbaux se rapprochent de l'explicite, mais l'acte le plus cru est constitué par une caresse sur la cuisse. le lecteur reste un peu dubitatif de cette composante en sous-entendus dans des dialogues pas assez être lestes pour être considérés grivois.

Le lecteur se demande s'il ne doit pas considérer le récit comme appartenant au registre parodique dans une veine discrète ; toutefois l'intrigue policière s'avère consistante. Un journaliste détenant des preuves de comportements licencieux d'un membre de la famille royale a été assassiné et son article a disparu. Plusieurs factions tournent autour de la nouvelle occupante de son appartement, la plupart lui voulant du mal et jouant de l'intimidation. le mystère se révèle assez épais, au point que l'un des personnages effectue un résumé de la situation en page quarante-quatre, au cas où le lecteur aurait perdu le fil. Ce dernier s'attend à des commentaires bien pensés sur les passe-droits de la famille royale ou sur la presse en sensation, mais il n'en est rien. Il se dit que la résolution va donner lieu à une scène d'action spectaculaire, ou à un exposé astucieux et pénétrant, mais il n'en est rien. Voire, il reste confondu par le fait que deux des mécréants s'éliminent en se tirant dessus l'un l'autre au même moment, une dénouement aussi pratique qu'artificiel. La page de conclusion présente un cadeau inattendu à Elza Rochester, sans apporter d'ironie ou de moquerie, plutôt la confirmation d'une forme comédie légère et édulcorée, manquant de saveur.

Le lecteur referme ce second tome sans regretter que les auteurs n'aient pas continué la série. D'un côté, la narration visuelle s'avère roborative et alerte, un voyage à Londres, aux côtés de personnages de roman. de l'autre côté, l'intrigue policière repose sur un point de départ solide, sans réussir à tenir ses promesses que ce soit de critique sociale, de mystère, ou d'humour décalé.
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J'aime beaucoup les graphismes de cette BD qui a un style un peu rétro. L'humour et le caractère bien trempé de la jeune et sexy Elza.

Je suis par contre un peu déçue (dans un sens) parce que je m'attendais a ce que ce tome deux reste dans le fantastiques (par rapport au tome 1). Ici pas une miette d'ésotérisme ou autre. Mais d'un autre coté lady Elza se suffit à elle même car elle a l'art de se retrouver dans des situations un peu difficiles.. mais il faut aussi avouer qu'elle semble aimer ça.

Pas réellement une déception , mais pas un coup de coeur non plus. Ca se lit bien. Une BD divertissante.
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Lady Elza, T. 2 donc. Après un premier tome sympathique mais sans plus, je m'attendais à un deuxième tome qui monte un peu en puissance. Manqué. le côté "british" passe cette fois par une aventure ancrée à Londres (en faisant le tour de certains lieux ou quartiers plus ou moins connus) et une intrigue basée sur les journaux à scandales (en n'omettant pas au passage une mention à Lady Diana). Et un meurtre tout de même, mais celui-ci n'est qu'un élément déclencheur. Alors que l'on pourrait s'attendre à retrouver le policier apparu à la fin du tome précédent, c'est toute une galerie de nouveaux personnages qui sont introduits les uns après les autres, de manière plus ou moins fluide, donnant l'impression qu'il s'agit surtout de proposer à chaque fois des portraits extravagants ou ridicules. Finalement, l'histoire avance au gré des apparitions de ces personnages et l'héroïne subit complètement les événements. Lady Elza me paraît sortir de ce deuxième tome plus creuse, et donc moins intéressante, que de sa première aventure. Seul point stable, les dessins, qui restent agréables et font beaucoup pour l'ambiance.
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Le second tome de Lady Elza nous ramène à Londres. le dessin à la ligne claire de Wurm reste classique mais très agréable. En lisant l'album, j'avais l'impression de voir une reproduction fidèle de certains quartiers connus. L'intrigue est bonne : nous voilà plongés dans le journalisme poubelle qui s'est enrichi sur l'affaire Diana et sur les rumeurs véhiculées dans ces feuilles de chou sur la famille royale.

Heureusement, notre lady veille au grain. L'esprit est assez fidèle au premier album. Les auteurs en rajoutent un peu sur le côté aguicheur de la lady. Attention à ne pas en faire trop quand même ! La lady reste libérée et sait mettre en valeur ses atouts, mais certaines réflexions vont parfois un peu plus loin. Elle continue en tout cas à faire trouner les têtes.

Personnellement, j'aime beaucoup le style très anglais de cette série. J'avais trouvé le premier tome très légèrement supérieur de par son originalité. Je suivrai quand même cette série de près, y compris dans ses sorties futures.
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cette "aventure" de Lady Elza m'a plus fait sourire que l'Excentric club, sans pour autant me satisfaire vraiment. peut-être parce qu'au fond, si elle est celle autour de qui tous gravitent, Lady Elza est passive. on me dit qu'elle est libre, indépendante, curieuse, excentrique,divorcée... et so british! bon d'accord, mais elle ne fait rien dans les histoires qui donne de l'épaisseur à son personnage. elle passe, ça s'agite autour d'elle et plouf, "FIN". je reste sur ma FAIM :)
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critiques presse (3)
BDSelection
24 mars 2014
Et sa délicate interprétation visuelle des situations scabreuses, plus dangereuses les unes que les autres, dans lesquelles le scénariste fourvoie cette femme libre indépendante et excentrique pour pimenter son récit, devient, alors, délicieusement savoureuse.
Lire la critique sur le site : BDSelection
Sceneario
03 mars 2014
Un tome qui se lit sans déplaisir, qui fait la part belle à une extravagance générale à l'anglaise et qui donne surtout l'occasion d'affirmer le caractère mutin de la belle lady Elza.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Auracan
17 février 2014
Décidemment, Jean Dufaux possède plus d'une corde à son arc. Depuis des années, le scénariste peaufine ce petit bijou.
Lire la critique sur le site : Auracan
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Il faut évoquer ici une histoire bien curieuse qui se passa à Londres. La vente Coco Brown. Dont les journaux publièrent certains aspects tout en négligeant l’essentiel. À savoir la présence de Lady Elza sur les lieux du drame. Certes, il y eut mort d’homme mais là n’est pas l’essentiel… L’essentiel, c’était la recherche d’appartement. Tout commença au Savoy, un endroit bien sympathique et convivial pour ceux et celles qui dispose de quelques monnaies. Ici, tout est passage, argent, beauté éphémère, tempes blanchies, mécènes, passions, liftings, redressement, anéantissement. Ici, le désir s’accroche aux jambes des femmes, tandis que les honneurs et les illusions s’exposent au revers des vestons. Gordon Ramsey officie toujours au Savoy Bar. C’est bien la preuve que la crise boursière n’est qu’un furoncle sur le cuir du vulgaire. À défaut d’honneurs, certains bégaient, ce qui leur donne un air charmant. Pourvu qu’ils soient jeunes. Ce qu’est manifestement Amadeus Dexter, agent immobilier de profession et amoureux transi par accident. L’accident, c’est notre Lady. Belle sensuelle avec discrétion ce qui reste le pire des pièges.
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Feet ! Le clochard de la reine… Ou plutôt l’ex-clochard. Certes, sa silhouette bien connue a hanté les rues de Londres pendant de nombreuses années. Il ne mendiait jamais… Il tendait juste la main au monde qui passait et le monde s’arrêtait. Ce qui n’est pas la même chose. Feet avait sa philosophie, ses amis, son petit coin de Paradis. Un foutoir digne de Diogène où le murmure des livres le disputait aux miaulements de chats passablement faméliques. Les bobbies le saluaient car ils n’ignoraient pas – à quelques rares exceptions – la particularité de l’homme qui était d’être un sage, un poète et aussi un homme doué d’un passé auquel sa condition de clochard ne convenait pas vraiment. Un homme qui en certaines occasions, pouvait porter avec élégance le manteau d’alpaga. Il y avait un mystère là-dessous, on se posait des questions, quelques hypothèses farfelues circulaient… Jusqu’au jour où un véhicule peu populaire vint s’arrêter à sa hauteur. Il y eut quelques mots échangés. Et puis, le véhicule redémarra emportant Fleet qui quitta la scène sans plus d’explications.
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On n’en prend plus C’est une boisson qui décime le personnel. Poppée, la petite rouquine, en avait bu. Elle est entrée dans les ordres aussitôt après. Elle se fait appeler sainte Anastasie à présent. Elle a des visions.
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Pauvre garçon. J’imagine une turgescence douloureuse et aucun soulagement extérieur à l’horizon. Les hommes sont parfois à bien à plaindre.
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De l’ambiance, il y en avait tous les soirs au Summertime. Que ce soit dans la grande salle où l’on cultivait quelques souvenirs des années 60, comme dans le scandale Profumo avec les jolies filles batifolant sur des chaises d’Arne Jacobsen. Ou dans les salons privés pas toujours faciles à trouver…
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Vidéo de Jean Dufaux
Murena est une série de bande dessinée historique belge écrite par Jean Dufaux et dessinée par Philippe Delaby puis Theo. La narration décrit le règne de l'empereur Néron dans la Rome antique de 54 à 68 et, en parallèle, l'évolution du héros éponyme, Lucius Murena. La série est éditée par Dargaud depuis 1997. L'histoire se déroule dans la Rome antique, au Ier siècle, sous le règne des empereurs Claude puis Néron. Claude exprime des remords d'avoir négligé son fils biologique Britannicus au profit de son fils adoptif, Néron. de plus, il regrette d'avoir épousé Agrippine et il envisage de la répudier, car il souhaite se marier avec son amante Lollia Paulina. Devant cette double menace, l'impératrice intrigue pour assassiner sa rivale, avec l'accord passif de Néron. Or, Néron est ami avec Lucius Murena, fils de Lollia Paulina et héros éponyme de la série. Agrippine, par ailleurs, sollicite Locuste pour empoisonner Claude et installer Néron sur le trône. le récit met en parallèle l'évolution de Néron et celle de Lucius Murena, qui basculent progressivement dans la folie.
À la suite de l'assassinat de Claude, Néron monte sur le trône. Britannicus meurt à son tour dans des circonstances troubles et la rumeur attribue ce nouveau décès à Néron ; ce dernier devient la proie d'une folie, réelle ou supposée, qui le consume. À travers ces épisodes, nous voyons comment Néron sombre dans la cruauté, par un concours de circonstances, un jeu de manipulation et de vengeance…

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