Un journal qui remonte le cours du temps, le temps qui a suivi la mort de Martine, après trente-six années de passion amoureuse partagée. Fait suite à «L'oranger des Osages» (Plon, 1990) et à «Au fur» (Bourgois, 1995).
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.