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Pucelle tome 1 sur 2

Dupré la Tour Florence (Autre)
EAN : 978B084D9RZJZ
184 pages
Dargaud (15/05/2020)
3.84/5   469 notes
Résumé :
Depuis sa plus tendre enfance, Florence ignore tout ce qui se passe… en-dessous de la ceinture.
Elle imagine que le papa met la petite graine dans le nombril de la maman, et puis de toute façon, il est tacitement interdit, dans la famille, de parler de « la chose qui ne doit pas être dite ».
Alors … Florence imagine des scénarii terribles, parfois idiots; Florence s’angoisse devant le poids de la tradition qui place inéluctablement la femme dans une ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (72) Voir plus Ajouter une critique
3,84

sur 469 notes
Enfance

Cet album est le deuxième volet (prévu en deux tomes) de ce qui sera un triptyque autobiographique : après « Cruelle »(paru en 2016) et avant « Jumelle » voici donc « Pucelle ». ce vocable est choisi pour le rythme et la rime certes, mais aussi pour l'évocation d'un langage désuet dans lequel il désigne ( sans moquerie) « une jeune fille vierge et pure » et parce que Jeanne d'Arc qu'on surnomme « la Pucelle » représente une « mythologie » (au sens de Barthes) dans certains milieux catholiques et conservateurs qui la célèbrent le premier mai. Or, c'est à ce genre de milieu qu'appartient apparemment l'héroïne Florence qui fréquente d'abord les riches expatriés de Buenos-Aires, puis les institutions catholiques sélect de province ou de Guadeloupe. Pucelle, c'est elle : une petite fille innocente, une « débutante » (sous-titre de ce volume) qui n'a pas encore fait son entrée dans le monde.

Ce roman graphique rappelle par l'emploi d'une bichromie de gris et de rouge et par son sujet la série des « petit Christian » de Blutch qui racontait l'enfance de ce dernier en Alsace un peu isolée et dotée d'amis imaginaires issus de la bd, du cinéma et des dessins animés ainsi que ses premières amours dans des saynètes nostalgiques. L'autrice adulte déclare d'ailleurs en récitatif « ma vie était essentiellement constituée d'une suite de scènes adorables empreintes d'un charme naïf » (p.13) Ici, Florence évolue dans plusieurs paradis : celui de Buenos Aires d'abord, puis Nagot en Champagne et enfin la Guadeloupe. A chaque fois , elle leur dédie des pleines pages. La fillette aime la plage, les bois et la nature sous toutes ses formes. Elle présente ces lieux de l'enfance comme « un eden forestier » (p.43) et de façon hyperbolique qui rappelle parfois les dépliants touristiques avec une multiplication de cases pour tenter d'en cerner toutes les beautés. Ces lieux sont pour elle source d‘harmonie et de bonheur. Elle est une reine en son royaume et les pages qui les évoquent sont plutôt classiques, dans des teintes harmonieuses où prédomine le rose et le gris pâles délavés et légers et l'équilibre de la composition. Cette nostalgie n'est pas sans rappeler « les grands espaces » de Catherine Meurisse. Florence est aussi heureuse de la complicité qui la lie à sa soeur Bénédicte, son alter ego, sa jumelle. A elles deux elles semblent avoir recrée le mythe de l'androgyne : Béné est sa moitié, elles vivent entre elles dans une sorte de félicité.

Ce que savait Florence

Pourtant ce bonheur est troublé dès la scène d'ouverture qui est une prolepse par rapport au reste du récit qui suit l'ordre chronologique. L'harmonie et la complicité qui règnent apparemment dans la sphère familiale sont mises à mal par l'incompréhension de l'héroïne : elle rit pour faire comme les autres mais ne saisit pas les sous-entendus ; de plus , une telle anecdote sur une nuit de noces racontée par une mère très prude au demeurant, est finalement surprenante voire inconvenante racontée devant ce public d'enfants. Ainsi d'emblée, Florence Dupré Latour met en avant le double langage qui règne dans la société et le décalage existant entre l'héroïne et les adultes : la petite fille n'a pas les codes pour comprendre. de la même façon qu'à la fin du XIXe siècle Henry James jetait un regard caustique sur la société anglaise à la fois puritaine et décadente et en dénonçait toute l'hypocrisie en adoptant le regard « candide » de sa petite héroïne qui voyait sans comprendre le manège des adultes et le ballet des adultères dans « ce que savait Maisie ».

Mais à la différence du romancier anglais, ici elle ne fait pas oeuvre de fiction et rédige ses souvenirs. Ce témoignage est particulièrement intéressant car elle retrouve ses perceptions d'enfant et retranscrit fort bien l'ignorance et l'innocence de l'enfance et toutes ses questions sans réponse. Elle souligne comment la fillette est victime d'une éducation dix-neuvièmiste: elle n'a pas le droit de regarder la télé car même les dessins japonais sont jugés « subversifs, immoraux et séditieux » par sa mère et elle découvre la sexualité en observant les animaux sous un prisme déformant et parfois terrifiant : qu'il s'agisse du coït de ses cochons d'Inde cannibales ou du sexe démesuré du cheval de son cours d'équitation. Florence, bien plus que sa soeur jumelle, pose des questions auxquelles on ne lui donne pas de réponse, alors elle comble le vide par l'imagination. L'autrice met en scène la psyché enfantine, ses raccourcis, ses amalgames.

Elle fait preuve de beaucoup d'autodérision et de recul et c'est souvent savoureux et très drôle. Mais cet humour et le côté caricatural et presque cartoonesque parfois du dessin cachent, dans une forme de pirouette pudique et polie, l'horreur de la violence psychologique que subit la fillette. On retrouve aussi en effet dans ce récit un côté tragique. L'oeuvre se mue en une dénonciation comme le souligne la citation d'Hugo mise en exergue : « L'ignorance est un crépuscule ; le mal y rôde. Songez à l'éclairage des rues, soit ; mais songez aussi, songez surtout, à l'éclairage des esprits ». Il s'élève donc contre l'obscurantisme et l'hypocrisie en montrant comment le non-dit et les culpabilités qui en découlent vont avoir des conséquences désastreuses sur la construction de la personnalité de la petite fille.

Le procès

Ainsi ce roman graphique, loin d'être une collection d'anecdotes charmantes ou humoristiques devient un véritable brûlot. le rose pastel se mue en rouge et Florence apparaît -contrairement à sa soeur jumelle- très souvent en colère.

On remarque une métaphore filée : celle de l'angoisse et surtout celle des préjugés et diktats de la religion et de l'éducation qui vont « féconder » le cerveau de Florence. Les paroles du prêtre apparaissent ainsi dans les phylactères comme autant de gamètes et le cerveau de la fillette prend l'apparence d'un ovule tandis que dans une double énonciation, la voix adulte de Florence souligne que ces paroles la « pénétraient sans son consentement. Elle inséminaient (s)on beau, (s)on pur, (s)on précieux jardin mental » (p.85-86) tout comme le discours scolaire « chaque jour, l'école ensemençait mon cortex de ses graines pourries » (P.93). le style bucolique et la vie « en rose » se transforment ici : les noirs et rouges deviennent bien plus présents, la réalité se déforme et devient même difforme : les angoisses se muent en cauchemar et son matérialisés par la figure de l'araignée et d'une boule noire dans la poitrine un peu à la manière des tableaux de Frida Khalo.

La mère semble être celle qui provoque le plus de traumatismes. Elle est dotée d'un long nez comme Pinocchio ( alors que les autres personnages n'en ont pas) pour souligner ses mensonges et ses édulcorations ; elle ressemble à une cane (allusion à sa fonction de « pondeuse » ) ; elle se mue enfin en monstre à l'adolescence de la fillette quand celle-ci cherche à exprimer l'aversion et la défiance qu'elle éprouve à son égard. L'agression psychologique à laquelle elle soumet sa fille et les humiliations qu'elle lui fait subir sont marquées dans le graphisme par le jeu de casse et de couleurs qui matérialisent graphiquement le viol de l'espace secret de l'adolescente par les propos maternels. le paroxysme de cet antagonisme se trouve dans la scène à la fois grotesque et horrifiante du cheval : la mère, comme lors des abus de pouvoirs du père ne fait rien et ne les protège pas.

Florence Dupré-Latour critique non seulement les représentations de la femme dans la religion et l'histoire mais aussi dans la littérature. Elle montre, en effet, combien dans la bande dessinée et la littérature les représentations sont stéréotypées : Falbala, Bonnemine, La Castafiore, Chihuaha Pearl ou encore Constance Bonacieux sont des « êtres fades, rares et secondaires à peine esquissés, relégués dans le silence, le décor ou des positions subalternes » (p.100). Elle va également souligner comment les minorités sont représentées de façon simpliste en montrant combien ceci cause des préjugés sur es noirs avant son arrivée à la réunion ( « Les aventures de Jo et Zette » les présentent comme des cannibales et les fillettes ont peur de se faire manger) ; Ce grossissement du trait dévalorise les représentations de la femme et des noirs dans la bande dessinée et les ravalent à l'absurde. Non seulement , cela va influencer l'adolescente qui en arrive à la conclusion qu'il lui faut être un garçon « pour faire partie des gagnants » et va nier toute féminité en portant les cheveux courts et des vêtements informes ; mais cela va également laisser son empreinte sur l'artiste qui va vouloir s'affranchir des codes masculins de la bande dessinée et mettra systématiquement en place des héroïnes. On a donc aussi , en creux, un roman de l'artiste.


On a donc affaire à un récit sans fard, cru parfois mais toujours juste et souvent poignant sous l'humour et la nostalgie. C'est un album très abouti sous son apparente simplicité graphique par un sens aigu de la narration et du découpage. L'autrice déclare que son « enfance la hante et qu'elle a l'impression qu'elle est en train de débarrasser d'elle en écrivant », Cette catharsis est loin d'être nombriliste car l'oeuvre dépasse le projet autobiographique pour se transformer en témoignage et manifeste sur l'éducation des filles. Indispensable ! je remercie, Florence Dupré Latour, les éditons Dargaud et Netgalley de m'avoir permis de le lire.
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Je remercie les éditions Dargaud pour l'envoi, via net galley, de la bande dessinée Pucelle de Florence Dupré la Tour.
Petite précision, contrairement à ce qui est indiqué sur Babelio ce n'est pas le tome 1 mais le tome deux de la série de l'autrice sur son enfance. le premier étant Cruelle. Chaque tome est sur un thème différent, il est donc tout à fait possible de lire Pucelle sans avoir lu Cruelle, ce qui est d'ailleurs mon cas.
Depuis sa plus tendre enfance, Florence ignore tout ce qui se passe… en-dessous de la ceinture. Elle imagine que le papa met la petite graine dans le nombril de la maman, et puis de toute façon, il est tacitement interdit, dans la famille, de parler de « la chose qui ne doit pas être dite ».
Alors… la fillette imagine un tas de choses, parfois idiotes. Elle s'angoisse devant le poids de la tradition qui place inéluctablement la femme dans une position inférieure...
Elle se pose beaucoup de questions et à sa façon, elle résiste pour ne pas sombrer.
Pucelle est une bande dessinée qui me laisse un peu perplexe.
Ce roman graphique, que j'ai lu sur tablette, a une bonne numérisation. Je n'ai pas apprécié plus que ça les dessins, leurs traits. Peut-être pas assez précis pour moi, je ne sais pas toutefois il y a un petit truc qui m'a dérangé. Après, tout ça c'est personnel :) Ce n'est pas parce que je n'ai pas accroché que vous n'aimerez pas.
En ce qui concerne l'histoire, l'idée est bonne. L'autrice revient sur son enfance et plus précisément à son rapport à la sexualité. Il y a de très bonnes réflexions, je me retrouve d'ailleurs dans certaines petites choses. On est de la même génération et chez moi non plus on ne parlait pas de sexe. L'arrivée des premières règles, je m'en souviens ! Même si c'était moins violet qu'elle, il a fallut en parler avec ma mère, l'horreur !
Son enfance a été différente de la mienne car elle est née à Buenos Aires, elle a une jumelle, des frères et soeurs.. En ce qui concerne le sexe cependant beaucoup de choses ne nous ont pas été dites, comme souvent à cette époque.
Il y a forcément un ou deux passages qui font écho quand on est une femme née dans les années 70 (et avant).
Si je suis perplexe face à cet ouvrage, c'est que je suis mitigé sur les dessins, par contre j'ai apprécié l'histoire mais.. j'ai eu beaucoup de difficultés, par moment, à apprécier le personne de Florence.
De temps en temps elle m'a touché, toutefois la plupart du temps elle m'a franchement agacé.
Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé Pucelle, je ne peux pas non plus dire que j'ai aimé !
C'est mi-figue, mi-raisin.
Je pense que c'est à vous de vous faire votre propre idée car nous avons tous notre sensibilité, notre façon de voir les choses.
Je vais mettre trois étoiles et demie, je pense que ça ne mérite pas moins. Je récompense l'histoire, et tout le travail fait sur cet album qui reste un bel objet.
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Florence est une joyeuse petite fille (au début !). Elle nage, fait du toboggan, fait ses prières, fait de la peinture et joue avec Béné sa jumelle.
Elle a une grande soeur Violaine, un père silencieux, toujours fatigué par le travail, pas vraiment présent. Sa mère fait tout à la maison, la lessive, les repas et l'éducation des filles.
Un bébé est attendu, le ventre de la mère grossit. Question : Comment ça marche?
La mère explique que papa met une graine du côté du nombril et hop ! Ça pousse!!!
Florence ne se contente pas de cette réponse. Et il y a trop de questions ! Quels sont les bruits bizarres qu'elle a étendus dans la chambre de ses parents, pourquoi le petit chien s'acharne à monter sur le gros, le cheval a un énorme zizi, à l'école on apprend que le masculin l'emporte toujours sur le féminin et la seule femme reconnue c'est Jeanne d'Arc parce qu'elle est pucelle. Les femmes n'ont pas de valeur. Bon, Florence angoisse, elle a toujours la boule au ventre...
Et arrive ce qui devait arriver, du sang dans la culotte, qui dit sang dit blessure et comme personne ne l'a mise au courant, elle a peur et planque tout....
Vous l'aurez compris Florence devra tout découvrir toute seule. Elle vit dans une bonne famille bourgeoise, catholique et raciste !!!
Il y a une suite sur laquelle je vais me précipiter.
Une BD en rose, rouge et gris. Un graphisme très parlant.
J'ai beaucoup aimé !
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Une BD féministe sur l'enfance d'une petite fille dans une famille catholique traditionnelle.
Un certain nombre de questions la travaille et personne pour lui apporter des réponses : comment on fait les bébés, le pouvoir de père, la soumission des mères, la bêtise des garçons et puis les règles, les règles, les règles.
Nous suivons le balbutiement d'une remise en questions de son éducation, du poids de la religion, du racisme, des traditions et des non-dits.
Je ne suis pas très familière des BD et les dessins simples voire caricaturaux servent les questionnements de l'enfant.
Je me suis bien amusée mais en espérant que les adolescentes vivent mieux leur puberté que Florence.
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Pucelle , c'est l'enfance de Florence , l'auteur , titre en référence à la pureté présumée de l'enfance .
La première faille dans le monde enchanté de l'enfance de Florence , c'est la naissance du petit frère .
Pour la première fois , elle voit son père qui ne montre jamais ses sentiments et c'est un euphémisme, son père sourire , être fier d'avoir un fils , après trois filles .
Florence est une petite fille qui vit dans une famille catholique , pratiquante , une famille aisée aux codes bien rodés : père absent , qui travaille et ne s'occupe pas du tout de ses enfants mais qui est tout de même , le représentant incontesté de l'autorité parentale .
Mère au foyer qui n'a absolument rien à dire , je ne suis tout de même demandée si c'était dû à sa personnalité , une telle passivité m'a troublé , je n'ai pas pu m'empêcher de faire le parallèle avec la maman décrite par Riad Sattouf dans L'arabe du futur .
Cette BD pose beaucoup de questions , pour moi c'est ce qui m'a attiré le plus , je voudrais savoir , comment cette lecture est elle perçue par les adolescentes aujourd'hui.
Je ne connaissais pas l'auteur puis j'en ai entendu parler sur les réseaux sociaux , une lecture intéressante , enrichissante .
On sent la révolte de la toute jeune fille au moment où son corps change ,ce changement qu'elle avait pressenti depuis de nombreuses années .
On sent la curieuse , l'observatrice , qualités qui sont indispensables quand on écrit.
Le parcours est complètement différent pour la soeur jumelle , ce qui renforce encore l'intêret pour le récit .
J'attends la suite avec impatience ....
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critiques presse (3)
BoDoi
02 juin 2020
L’autrice porte l’autobiographie au-delà du simple travail cathartique pour en faire un témoignage féministe sur les dérives d’une certaine éducation conservatrice. C’est dur, violent, drôle aussi. Une bande dessinée d’une puissance rare.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Elle
02 juin 2020
L’album de Florence Dupré la Tour trace un itinéraire singulier et remarquable. […] Sans culpabilité et avec un peu de tendresse en somme.
Lire la critique sur le site : Elle
Telerama
01 juin 2020
Dans “Cruelle”, Florence Dupré la Tour évoquait déjà son enfance tourmentée. Avec “Pucelle”, récit piquant tout en noir et rose, l’intrépide bédéiste raconte son apprentissage des mystères de la chair, dans une famille où le sujet était tabou…
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
"Alors comment. HORREUR ! Comment était-il possible de ressentir pour eux cette attirance dont je ne savais que faire ? Attirée par mes futures tyrans ? Ces paradoxes m'enfermaient toujours plus dans une profonde angoisse mutique."
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Encore une fois, j'assistais à ce qui semblait être tout à fait normal et naturel à tout le monde: la soumission de maman.
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Je déployais une force démesurée à contenir derrière ce sourire ce qu’il fallait cacher : j’aimais Béné beaucoup plus que permis. Elle s’éloignait de moi. Nous n’étions plus à l’unisson.
Afin de museler ma douleur, je m’enfonçais toujours plus loin au fond de moi et personne n’était là pour m’avertir : “Attention Florence, les failles sont dangereuses. À trop y descendre, on risque de ne plus pouvoir en remonter.
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tout en étant totalement ignorante des choses qui se passaient "en dessous de la ceinture", moi, Florence, j'avais déjà un avis très arrêté sur la question.
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L'ignorance est un crépuscule ; le mal y rôde.
Songez à l'éclairage des rues, soit ; mais songez aussi, songez surtout, à l'éclairage des esprits.

Victor Hugo
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Videos de Florence Dupré la Tour (7) Voir plusAjouter une vidéo
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