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Suite des aventures d'Emouchet et de ses amis dans sa quête quasi improbable de sauver sa reine d'un mal censé être inguérissable, malgré quelques couacs entre la fin du tome 1 et le début de celui-ci (certaines informations diffèrent).

Dans ce tome, Emouchet recevra de l'aide d'un peu tout le monde, voleurs et Dieux compris. En contrepartie, les embûches sur son chemin viendront d'un peu tout le monde aussi, Dieux compris. Leur quête s'annonce donc longue et fastidieuse, ça serait trop simple si c'était facile. Mais à force de rencontrer de nouvelles embûches, j'ai fini par me demander si les auteurs ne l'avaient pas fait exprès pour pouvoir avoir une trilogie à vendre… Ce tome peut en fait être résumé en une seule phrase : « A chaque fois qu'Emouchet et ses amis pensent arriver au terme de leur quête, de nouvelles embûches se créent sur leur route et de nouveaux personnages font leur apparition ». Et je pense pouvoir résumer le tome 3 de la même façon au vu de la fin du tome 2, qui comprendra quelques 300p de plus. Alors certes, il sera un peu plus complexe car il contiendra la fin de la quête d'Emouchet, la guérison de la reine d'Elénie, le ménage qu'elle fera dans son palais et l'élection du nouveau archiprêlat. Donc aventures, embûches, politique et religion sont au programme du dernier tome.

Le monde dans lequel évolue Emouchet et ses amis devient de plus en plus complexe au fur et à mesure de leurs aventures et de leurs découvertes sur le monde réel qui les entoure. Pour la plupart, ils ont été éduqués par des moines combattants, ils ne connaissent donc rien au monde réel, au-delà de leur chapitoire. Emouchet, entre autre, n'a pas beaucoup voyagé et ne connaît quasiment rien des différentes régions qui constituent son monde, avec leurs cultures et leurs us et coutumes. Il est donc intéressant de voir son évolution ainsi que celles des autres dans de nouvelles contrées et des environnements différents. J'ai également très apprécié découvrir notre petite Flûte et toute l'étendue de ses pouvoirs, je commençais néanmoins à me douter de sa véritable identité à cause des quelques indices laissés çà et là.

Par contre, le plus gros bémol vient des coquilles dues à la maison d'éditions, qui est également France Loisirs, car j'en ai trouvé plus que dans le premier tome. À la fin, j'ai carrément du me forcer à continuer ma lecture pour connaître le fin mot de ce tome tellement les coquilles devenaient plus nombreuses et plus énormes. En voici un petit florilège des pires rencontrées : « Emouchet se rappels alors » / « d'un point gantelé » / « Il parlé » / « peutêtre » / « derrière mois »... Et je ne parle même pas des inversions dans les prénoms, des lettres en trop dans les prénoms ou les mots et des termes au singulier qui se transforment en pluriel (« la plus élémentaires » / « un membres »), et inversement d'ailleurs (« les plus attractif »). J'espère vraiment que le tome 3 en aura moins car pour quelqu'un qui voit les fautes, la lecture est un vrai calvaire. Pour la plupart des gens, le cerveau fait abstraction des fautes, corrige l'erreur et la lecture peut continuer. Pour ma part, mon cerveau ne fait pas la correction automatique et je les voie ; du coup, ça me fait râler et j'ai du mal à reprendre ma lecture.

Comme vous l'aurez compris, ce tome est une bonne suite où les aventures et les embûches s'enchaînent pour Emouchet et ses amis. Il me tarde de pouvoir en continuer la lecture (toujours prêtée par ma collègue) pour en connaître la fin et savoir si cette série restera un peu plus marquée dans ma mémoire que « Polgara ». Pour le moment, je la lis mais c'est loin d'être un coup de coeur malgré l'univers construit et les personnages aux multiples facettes, peut-être parce que l'essentiel de l'histoire réside dans la politique et la religion, qui sont loin d'être mon fort en lecture. À voir donc avec le tome 3 !

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Ce deuxième tome est beaucoup moins prenant que le premier .
Emouchet et on compagnon partent en quête du Bhelliom ,le joyau qui pourra sauver la reine . On quitte alors les ruelles sombres des villes ,l'atmosphère est donc moins oppressante mais du coup aussi moins intéressante . Si d'inquiétantes créatures poursuivent les chevaliers ,on ne les sent jamais véritablement en danger . C'est donc un tome où il y a moins de suspens ,les décors sont plus classiques et les personnages que les chevaliers croisent sont moins charismatique que dans le premier tome .
J'attends cependant la suite avec impatience car la fin est pleine de promesse!
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Légèrement déçu par ce tome 2, les dialogues toujours aussi nombreux manquent assez souvent d'intérêt (du genre : crois-tu que nous devrions faire ça ? ; ça ne me paraît pas indispensable ; je pense que tu as raison...), cela trop souvent répété à mon goût...
D'autre part, les péripéties et contretemps semblent se produire dans le seul but d'étirer le récit et d'atteindre finalement le tome 3, bon, j'ai sûrement la dent un peu dure car l'histoire et les personnages tiennent franchement bien la route, mais ces petits défaut gâchent quand même un peu le plaisir selon mon ressenti.
Pour le reste la psychologie des personnages s'étoffe et l'on en apprend un peu plus sur les uns et les autres (surtout Flûte et Sephrénia), cela reste suffisamment intéressant pour attaquer le tome 3 avec optimisme.
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Comme je suis une femme prévoyante (pas toujours), j'avais profité de opportunité qui m'était donné d'acheter la trilogie en une fois. En effet, ce jour là était un jour de chance puisque les trois tomes se trouvaient ensemble dans ma bouquinerie préférée. Les belles éditions de chez France Loisirs, en plus ! Pardon, je m'égare...

Pas tant que ça, puisque cela m'a permis de me faire la trilogie en une fois, sans temps mort, sans être coupée parce que je ne possédais pas la suite. Malin, non?

Donc, dès la fin du tome un, je me suis enquillé la suite des aventures de cette sacrée bande disparate de chevaliers de l'Église, repartis en quête du moyen de guérir la jeune reine d'Elénie.

Comment ça, le moyen de la guérir ? Mais oui, dans le tome 2, le problème n'est plus de déterminer comment sauver la reine, mais de mettre la main sur l'objet qui peut la sauver (vous suivez, de temps en temps ?).

Pas question pour notre troupe de faire les pantouflards parce que leurs aventures sont loin d'être un long fleuve tranquille. Sans oublier qu'un tas de créatures du monde obscur vont se mettre en travers de leur chemin. Faudrait tout de même pas que ce soit une promenade de santé, sinon, nous hurlerions notre colère.

Cette suite donc a répondu à mes attentes, tant au niveau de la qualité de la narration que de l'histoire elle-même, puisque j'ai commencé à vivre avec mes héros, espérant avec eux, cherchant avec eux, tremblant avec eux,... Bref, j'étais dedans !

Et puis, j'ai adoré les personnages : Emouchet est un héros presque cinquantenaire, intelligent et machiavélique. Plusieurs fois il m'a fait sourire ou pouffer de rire, avec ses réparties.

Sa compagnie de héros utilise souvent des méthodes douteuses, mais la fin ne justifie-t-elle pas les moyens ? Pour moi, oui !

D'habitude, je lis rarement plus de deux livres du même auteur parce que j'aime varier et ne ne veux pas me lasser. Parfois, je fais des exceptions et cette trilogie des Joyaux en fait partie. L'auteur a réussi à ma captiver et à me donner envie de lire les trois romans d'une traite. Pourtant, le pari n'était pas gagné après la superbe décalogie que furent la Belgariade et la Mallorée. Comment Eddings a-t-il fait ?

La recette de cette réussite est simple : vous prenez peu de magie, vous la trempez dans une guerre de pouvoirs, vous ajoutez de la noirceur pour les méchants, additionné de dieux et de déesses, le tout saupoudré d'amour, d'une forte dose d'amitié, sans oublier un kilo d'humour et vous faites mariner le tout dans dans une épopée grandiloquente, ce qui permettra au tout de glisser facilement dans votre estomac, sans indigestion aucune.

Les héros sont attachants, l'histoire tient la route et surtout l'avantage d'une trilogie, c'est qu'elle permet d'avoir de longues heures de lecture devant soi.

Ne passez pas à coté de cette trilogie. C'est une très bonne histoire. le seul défaut qui se présente à l'horizon, c'est toujours que cela va se terminer, à un moment. Sans oublier que vous risquez de vous couper du monde durant votre lecture car vous voudrez connaître la fin, ce qui accélerera le trépas de cette trilogie ô combien attachante.
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2e tome, et comme l'impression de retrouver de vieux amis (Une des choses qui fait que j'aime la Fantasy.) Plus de problèmes pour se rappeller de tous les noms aussi, d'autant que la communauté reste stable pendant la majorité du roman. Même la géographie commence à rentrer.

Alors que le 1er tome mettait la situation en place et se consacrait plus à la recherche d'un potentiel remède pour sauver la reine (Qui doit commencer à trouver le temps long immobile dans son cristal. Oui, je me préoccupe de détails insignifiants...), ce 2e tome est une longue chasse au trésor à la recherche du Bhelliom, cette pierre sacrée légendaire. Seul problème, le Dieu Azash veut aussi le joyau (Pour mieux régner sur l'humanité, mon enfant...).

Ce sont donc 3 intrigues différentes qui se croisent : Les coups tordus du Primat Annias et de son mercenaire pandion renégat Martel pour écarter les 4 ordres combattants de l'Eglise de l'élection à venir de l'archiprélat (Le Big Boss de l'Eglise), la chasse au trésor-remède/Bhelliom, et les fritages avec les serviteurs d'Azash. On n'a pas le temps de s'ennuyer. Les temps morts sont rares rendant la lecture assez addictive. le style et l'humour de David Eddings sont la cerise sur le gâteau.

Il n'y a que l'identité de Flûte, petite fille accompagnant la communauté de chevaliers qui se veut mystérieuse mais ne l'est pas assez. C'est toujours frustrant de voir les personnages s'interroger sur son identité alors qu'elle est bien claire pour le lecteur...

Politique + Quête + un Dieu maléfique = Un bon ptit roman bien agréable et qui n'a que le défaut de se lire trop vite. Heureusement le 3e tome fait bien le double de pages. Youpi.
Lien : http://blogameni.wordpress.c..
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Un tome 2 toujours aussi sympathique qui reprend exactement à la fin du premier.
Nous retrouvons nos chevaliers ainsi que Séphrénia, Kurik, flûte et Talen.
Pour sauver la reine, nos héros n'ont d'autre choix que de trouver le Bhellhiom. le problème étant que personne ne sais ou il a disparu. S'ensuit un road trip à travers l'Eosie. le tout bien sûr avec les hommes d'Annias et Martel à leur poursuite. Et aussi un fureteur (une créature pouvant contrôler les esprits humains) envoyé par Otha qui avance ses pions pour envahir l'Elénie.
Les personnages sont toujours aussi attachants. Les dialogues toujours aussi drôles. pas mal de rebondissement. Pas déçu du tout par David Eddings.
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»Ce volume est essentiellement consacré à la quête du Bhelliom , artefact de saphir , d'une puissance incommensurable seul à même de sauver la Reine d'Elénie. Cela passe par de longues chevauchées, la lutte contre des créatures répugnantes , de la magie , de la nécromancie et pour finir un affrontement avec Ghwerig , le créateur du joyau , qui pour être nain n'en est pas moins troll c'est-à-dire costaud et sentant fort ! Mais les chevaliers et leurs acolytes ont du répondant . Comme toujours chez Eddings il y a le plaisir de dialogues pleins d'humour en plus de l'action.
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bon bah oui finalement j ai déjà lu la suite.... bon je ne teuce tjs pas ça extraordinaire mais ce deuxième tome se laisse lire de façon assez rapide même si je trouve ça trop gros. le côté quête de léxtreme ne m a,pas dérange mais leurs aventures à gauche à droite elles par contre...

Bon c est un peu mieux que le premier tome, il en reste encore un pour avoir le fin mot de l histoire, vivement que ça se termine 😂😂
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Je réitère mon conseil d'éviter l'édition de France Loisir, car les erreurs perdurent dans ce livre (fautes de frappes, cafouillages entre les personnages à plusieurs reprises, changement de nom pour certains lieux - le chapitre pandion devient le chapitoire).

Quant à l'histoire, elle stagne un peu (l'auteur semble manquer un peu d'inspiration), l'avancement de la quête est quasiment le même au début du livre qu'à la fin, si ce n'est les 50 dernières pages qui bousculent les choses.
L'intrigue reste un peu faiblarde, malgré un univers riche qui aurait pu étoffer cela facilement.
Je reste quand même impatient de lire le dernier tome pour savoir ce qu'il va se passer, l'intrigue va surement s'étoffer, vu que c'est le volume le plus épais et qu'à la fin du 2, la quête semble terminée. Il va surement y avoir un gros rebondissement qui relancera tout ça.
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Emouchet, Kalten, Séphrénia, Kurik, Talen et Flûte partent à la recherche du Bhelliom une pierre magique qui devrait pouvoir sauver la reine Ehlana.
On retrouve toujours ce qui fonctionne bien dans cette trilogie: humour (avec des réparties cinglantes, des phrases très bien tournées...), aventure, suspense, amour, intrigues politiques... Encore tous les ingrédients pour ne pas lâcher le livre avant de l'avoir fini.
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