Bridget Jones, tome 3 : Folle de lui

ABANDON

Il y a quelques mois d'ici j'apprends la sortie d'un nouveau Bridget Jones. Je suis surprise, contente et tout de suite une idée absurde mais réelle vient se loger dans mon esprit: "tiens donc on a besoin de renflouer les caisses."
Je sais, ce n'est pas très sympa pour l'auteur mais c'est parfois la triste réalité.

Le personnage de Briget Jones m'a énormément marqué il y a quelques années. Elle était madame tout le monde, toutes les filles pouvaient (et peuvent encore) s'identifier à elle: des kilos en trop, la recherche d'un mec qui nous aime tel que nous sommes et la possibilité de s'épanouir dans son job tout en ayant des amis géniaux que l'on connait depuis des années. Brigiet Jones m'a fait (et me fait toujours) un bien fou. Elle m'a réconcilié avec moi-même. Dans la littérature toute confondue, elle est sûrement le personnage féminin que je préfère tellement j'ai pu facilement m'identifier à elle.

Alors que dire de ce troisième opus que j'ai lâchement abandonné. Tout d'abord, tout a très mal commencé, elle tue le personnage de Mark Darcy: genre l'homme que nous voulions toute avoir. Je suis désolée mais j'avais encore envie de fantasmer sur cet homme, j'avais envie de découvrir Bridget dans une relation longue, zut on ne tue pas un Mark Darcy (par la même occasion pas de Colin Firth dans l'adapation, RE ZUT!). L'écriture n'a pas changé d'un poil, au fond pourquoi pas mais Madame Jones à 51 ans et parle toujours comme si elle en avait 30. Re-dommage, c'était l'occasion d'apporter plus de maturité dans la forme et le fond. Oui parce elle a beau avoir des enfants, elle reste une écervelée qui sort avec un toy boy de 30 ans. Briget Jones est une couguar. Oui j'ai abandonné ce livre très tôt, je passe sûrement à côté d'une lecture de vacances et ce n'est vraiment pas la fin du monde.

L'auteur a fait des choix, je ne les aime pas. Par contre dans mon coeur Bridget Jones restera toujours mon énorme chouchoute dans ses premières péripéties.

Conclusion: on ne tue pas Mark Darcy

Ce livre tant attendu est une réelle déception...
Bridget a 15 ans de plus que dans le tome précédent mais 20 ans de moins mentalement. On aurait pu croire que les épreuves vécues suite à la mort de Marc l'auraient fait grandir, que la maternité l'aurait fait mûrir, mais non, elle est encore plus puérile qu'au début du premier tome, se posant des milliards de questions inintéressantes et débattant pendant des heures sur la réponse qu'elle doit envoyer à son "toy boy". Les multiples passages sur les pets m'ont, je l'avoue, décontenancée.
Certains diront certainement qu'elle a gardé son manque de confiance en elle attendrissant du début, je l'ai juste trouvé pathétique... Les deux premiers livres m'avaient parus drôles et réalistes, ce troisième tome m'a plus souvent attiré des soupirs que des rires...
On voit le dénouement sentimental arriver dès le début du roman, c'est bien dommage...
Hélène Fielding nous prive de tous les personnages qu'on adorait : Marc, Daniel qui n'apparaît que de manière anecdotique, le père de Bridget, ses amis désopilants et tellement sincères...
Le quatrième tome ne sera pas nécessaire selon moi, ce troisième est déjà de trop...

J'avais adoré les tomes précédents, je me suis précipitée à la librairie à la sortie de ce nouvel opus... Je viens d'interrompre ma lecture après 200 pages laborieuses, grande est ma déception !!! Je n'ai pas du tout adhéré, toute la magie de Bridget est partie, on ne rit plus. Pire même, on se fade des pages entières de "tweets"... euh... comment dire... Bridget is dead !

Je ne sais pas si j'ai vieilli avec Bridget... mais autant j'avais beaucoup aimé l'originalité et le ton des 2 tomes précédents, autant celui-là m'a ennuyée au plus haut point.

On sent que l'auteur a limite dit oui à une commande d'éditeur. L'histoire de cette Bridget quinqua est très poussive, teintée d'innombrables invraisemblances, bon en 3 mots : on s'emmerde.

Je me suis arrêtée à la moitié et compte recycler cette daube pour bourrer mes chaussures ou rassembler mes épluchures de pommes de terre.

Le film va être le navet de l'année, niveau compét Monde (oui oui oui) tout comme le livre... bref fuyez... Uniquement pour cerveaux lobotomisés et encore... c'est pas gentil d'offrir ce livre... même à son pire ennemi ;-))

Non...
Je l'ai abandonné en cours de lecture.
Un : Marc Darcy est mort.
Pourquoi s'en débarrasser?
Deux : on dirait que l'auteur tenait à ressusciter Bridget tel quelle, ce qui ne passe pas aisément. Alors que presque 20 ans ont passé.
Toujours la même chose lourde et insignifiante : la chasse à l'homme. Franchement!
Je me serais attendue à mieux, surtout que Bridget a des enfants à présent et qu'il y avait d'autres possibilité à developper.

J'aborde les rivages d'un monde qui m'est complètement inconnu, celui de la chick-lit, et je découvre ses paysages et ses habitants avec un regard neuf et sans doute bien candide.

Je ne connaissais de Bridget Jones que les deux films, qui m'avaient fait en leur temps mourir de rire. Le roman de sa cinquantaine n'a pas dérogé. Je me suis amusée comme une petite folle au déroulé des aventures de Madame Veuve Darcy. Parce que c'est drôle et plutôt léger.

Certes, ça n'est pas le chef d'oeuvre de l'année. Déjà, l'amorce de l'histoire est forcée. On prend une cinquantenaire pour pouvoir broder autour du thème du cougar et des toy boy, et on lui colle des enfants en bas âge pour ajouter celui des jeunes mères solitaires et débordées. C'est à se demander ce qu'ont fichu Bridget et Mark de trente-cinq à quarante-cinq ans : ont-ils attendu dix ans avant de faire des enfants, alors que l'horloge biologique de Bridget l'affolait dans le premier opus ? Pas très cohérent et un peu trop tordu dans tous les sens pour pouvoir rentrer dans les moules voulus. Bon.

Ensuite, Bridget. Elle est rigolote, Bridget. Elle a en elle des petits bouts de nous, les filles, de petits miroirs dans lesquels on se reconnaît, l'espace d'un instant. Mais quand même, elle pousse loin le bouchon. Il y a des scènes où on la secouerait bien pour lui remettre les idées en place, surtout quand elle textote comme une folle sur son téléphone alors que son scénario dramatique se transforme peu à peu en bouffonnerie.

Et puis, il y a l'histoire d'amour. LES histoires d'amour. On en revient toujours là, malgré les enfants, tendrement chéris et câlinés entre deux parties de jambes en l'air drôlement épicées. On sent bien que tout n'est que prétexte à développer la vie sentimentale de Bridget. En tout premier lieu, déjà, en ayant assassiné le sublime Mark : à croire que raconter la vie d'un couple marié, amoureux et vieillissant, ce n'est pas intéressant.

J'ai pourtant mis quatre étoiles, me direz-vous ! J'assume.
Alors que les nouvelles venues du monde entier me donne envie de m'enterrer dans mon jardin, ce bouquin m'a donné de précieux instants d'hilarité.

M****, c'est trop bon, quelquefois !

Même si c'est un plaisir de retrouver Bridget...je trouve dommage que notre vieille amie ait virée scato ! ...et que l'auteur nous serve la même histoire réchauffée.

Désolé de le dire, mais j'ai abandonné la lecture de ce roman.
J'ai dévoré les deux premiers volumes de ce journal intime il y a quelques années. Alors, ai-je évolué? Me suis-je éloigné de ce style de livre ? Je ne saurai dire...
En tous cas, je n'ai pas apprécié les lamentations permanentes, le ton humoristico-dépressif (ce terme n'existe pas, je m'en doute, mais je me fais comprendre, j'espère !?....)
Pour faire simple : je n'ai pas aimé. Peut-être que je n'ai pas laissé non plus de chance certainement à l'auteur, je le reconnais aisément mais j'assume : je ne l'ai pas fini!

[LIVRE AUDIO]

Bon, vu ma note, il est évident que je n'ai pas du tout aimé ce livre... J'avais apprécié les deux premiers que j'avais lu bien plus jeune et je n'attendais pas grand chose de ce troisième tome, mais je ne pensais pas qu'il serait aussi mauvais.

Déjà, l'histoire est vue et revue, il n'y a aucune originalité, à part peut-être l'âge de Bridget qui est un peu plus avancé. Dès le début on se doute de la fin et de l'évolution de l'histoire, je n'ai eu aucune surprise dans ma lecture. Contrairement aux premiers où je me souviens que je riais souvent, là j'ai souris à quelques reprises mais j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup trop de lourdeurs pour que ce soit vraiment drôle.

Bridget est assez insupportable et agaçante, malgré quelques moments touchants. J'ai d'ailleurs regretté qu'on aille tout de suite dans la comédie malgré un événement dramatique qui intervient avant ce troisième tome (je pense que tout le monde est au courant, mais au cas où je préfère ne rien dire...). Les autres personnages ne sont pas forcément plus réussis et on voit tout de suite quel vont être leur rôle dans cette histoire.

Et l'écriture... Alors le fait que j'ai lu ce livre en version audio a sûrement joué mais j'ai trouvé l'écriture lourde et répétitive. Je n'en pouvais plus des toy boy, des poux et de Twitter. J'ai eu l'impression de tourner en rond pendant tout le livre avec simplement une accélération à la fin de l'histoire.

Ce livre a été vite lu et sera vite oublié !

Oula! Mais que s'est-il passé entre le Journal de Bridget Jones et Mad about the boy? Helen aurait-elle oublié de faire grandir son personnage?

Autant j'ai adoré le premier roman, je trouvais l'héroïne attachante par ses gaffes, son coté un peu gourde, son naturel et son humour autant ici, alors que ce roman aurait dû, à mon sens, être celui de la maturité, son coté gourde et gaffeuse nous la rend lourde. Se demander à 50 ans pourquoi son "toy boy" ne répond pas au message qu'elle vient de lui envoyer ou pourquoi ses "twittos" s'en vont et viennent... vraiment?
J'avais davantage l'impression d'avoir à faire à une adolescente qu'à une mère de famille mature et grandie de ses expériences.
Ce livre est donc, à mon sens, très superficiel.
Je garde néanmoins un très bon souvenir de la trentenaire célibataire.