Bridget Jones, tome 3 : Folle de lui

J'ai retrouvé Bridget avec bonheur. La dernière fois j'étais légèrement plus âgée qu'elle. Maintenant j'ai un an de moins. Beaucoup de choses nous rapprochent. le brin de folie, les obsessions : poids, téléphone, et le sentiment d'aller, dans la vie, à contre-courant. Je lui envie ses amis proches de longue date aussi tarés qu'elle, il faut bien le dire. Bridget me fait beaucoup rire quand elle rencontre des hommes. Toujours à côté de la plaque, jamais à son avantage, cela tourne toujours au fiasco. Et alors, cela ne vous arrive pas ? Bridget est attendrissante avec ses deux petits, mère atypique mais adorable. Je quitte cette amie à contre-coeur, j'aurais bien suivi encore un peu ses aventures.
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Ah ! Bridget ! Sacrée bonne femme ! Bridget est un personnage attachant, qui déborde d'humour, d'amour et qui a le chic pour se mettre dans des situations pas possibles ! Bridget c'est un boulet, mais un boulet sympathique. Ce troisième volet est à mon sens le meilleur. j'ai beaucoup ri et ça fait du bien :-) Bridget a un coeur gros comme ça et c'est un pur bonheur de partager son journal !

Ayant apprécié les 2 premiers romans de Bridget Jones, je me suis sentie obligée de lire la suite, voulant à tout prix savoir ce qu’était advenu de cette célibataire invétérée mais surtout pour savoir ce qui était arrivé à Mark Darcy (et voir si on en parlait malgré sa mort).

Bon, pour les deux questions, les réponses sont vite apparues dans le roman. Par moment, ça manque de rythme, mais globalement on retrouve la même chose que dans les romans précédents : Bridget, veuve (et donc célibataire) en mal d’amour, qui se met dans des situations les plus dingues mais pour qui tout finit bien (on l’aime notre Bridget, on veut la voir heureuse et donc on veut un happy ending !).

Evidemment, elle n’est plus toute jeune notre Bridget (la cinquantaine) et a deux enfants à s’occuper. Ce qui amène de nouvelles situations cocasses pour cette jeune (!!!) maman célibataire.

Et n’oublions pas l’immortel Daniel Cleaver, le dernier des enfoirés qui est le parrain de l’un des enfants de Bridget (comment Mark Darcy a pu laisser faire ça ?!). Helen Fielding ne pouvait pas virer Darcy et Cleaver dans le même livre non plus !
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Dans ce troisième tome, on retrouve Bridget 2o ans après la fin du second tome. Elle a deux jeunes enfants et est veuve. Heureusement, son mari Marc avait fait le nécessaire si bien qu'elle n'a a se préoccupait de rien, enfin presque, il lui faut encore survivre !

Ce tome peut se lire indépendamment des deux autres.

L'auteure nous offre ici une héroïne toujours aussi déjantée et ce pour le plus grand plaisirs des lecteurs? Mais également un peu plus matures (pas trop quand même, sinon ce ne serait plus bridget !), en proie aux doutes et l'âge n'aide en rien.

Le roman est divisé en plusieurs partie et est toujours rédiger sous la forme d'un journal régulier. L'intrigue se concentre essentiellement sur l'année pendant laquelle Bridget à petit à petit repris sa vie en main quatre ans après la mort de Marc.

Dans cette quête, elle est bien entendu soutenue par son groupe habituel d'amis mais également par quelques nouveaux visages, ainsi que, et surtout, ce cher Daniel, fidèle à lui-même.
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Je viens de ce 3ème tome de Bridget et j'ai bien ri (ce qui fait du bien en ce moment). J'ai été contente de retrouver Bridget mais attristée de la disparition de Darcy (ce qui veut dire que Colin Firth ne sera pas dans le film snif snif..)
Bridget a 51ans, veuve avec 2 enfants, des kilos en trop et elle ne se remet pas de la disparition de Darcy, 5ans plus tôt. Ses amis l'encouragent à revenir dans la réalité et rencontre des hommes. Voilà donc Bridget qui se lance à l'assaut des réseaux sociaux pour trouver un toy boy....
L'auteur surfe sur les thèmes actuels des parents solos, des rencontres sur le net, des cougars et toys boys....
Je me suis retrouvée parfois dans Bridget, maman solo qui tente de tout gérer et d'être parfaite.... Sans Darcy, on retrouve la Bridget des premiers livres : "miss catastrophe", manque de confiance en elle, vouloir être à la mode....
Un livre drôle qui se lit vite où en somme on retrouve la Bridget des débuts qui tente de ressembler à toutes ses femmes de magazines qui gèrent tout.
Les personnages sont attachants et drôles.....

J'ai longuement hésité avant de me lancer dans ce nouvel opus. Premièrement parce que j'ai délaissé quelque peu ce style de lecture , deuxièmement j'avais un peu peur de ne pas retrouver le même plaisir que dans le tome 1 (le deuxième m'avait moins accroché)...Mais, à ma grande surprise, j'ai replongé dans la vie de Bridget à la vitesse grand V. J'ai eu très clairement le sentiment de retrouver une vieille copine, toujours aussi drôle, toujours aussi attachante. J'ai aimé qu'Helen Fielding se serve également de tous ces nouveaux moyens de communication (tweeter, SMS) pour compléter ce nouveau journal. Alors oui, Bridget n'a pas vraiment mûri, elle est toujours aussi maladroite et obsédée par des choses futiles mais elle se débat toujours autant dans sa vie pour y arriver et avec toute la sincérité qui caractérise ce personnage. Alors oui, j'ai aimé même beaucoup aimé!

Bridget Jones le retour! Après le journal de Bridget Jones (inspiré d'Orgueil et Préjugés) et Bridget Jones, l'âge de raison (inspiré de Persuasion), la célibattante la plus célèbre du monde revient pour nous raconter ses nouvelles aventures. Un grand merci aux éditions Albin Michel.

A l'instar des deux précédents tomes, Bridget est obnubilée par son poids et son apparence et bien sûr, est toujours atteinte du syndrome de procrastination (oui, je pense que c'est une maladie chez Jones). Et puis après deux enfants et de belles années de mariage, c'est un nouveau tournant dans la vie de Bridget et surtout de nouveaux questionnements. Ce n'est plus un secret, Mark Darcy laisse sa femme, seule et désespérée, se débrouiller avec l'éducation des enfants et le soin de combler le manque d'un père.

Bridget réapprend à vivre et décide alors de se mettre aux nouvelles technologies: les réseaux sociaux, les textos, les sites de rencontres... Elle souhaite revivre et applique tant bien que mal tous les concepts appris dans des manuels de vie. Les passages Twitter sont très drôles et même si sa manie de suivre ses followers est parfois fatigante, on l'aime quand même Bridget.

Retrouver Jones n'est pas sans heurts parce que ce nouveau roman déborde d'humour et d'amour. On embarque dans une histoire nostalgique mais aussi bourrée d'espoir. Helen Fielding offre à ses lectrices une belle leçon de vie avec en bonus des allusions à Jane Austen.
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Suite très favorable, et positive. On retrouve bien notre fidèle Bridget, qui est toujours aussi maladroite! Entre maladresses, moments tragiques, cette comédie est très prenante. Vous voulez un livre pour un moment de détente? C'est celui qu'il vous faut! Fan de Bridget? Vous allez adorer! le futur film sera réussi, j'en suis persuadée.

Alors ? Alors, pas déçue du tout. On retrouve une Bridget toujours un peu maladroite et à l'Ouest, qui a beaucoup de mal à surmonter la mort de Mark Darcy (remarquez, moi aussi) (rendez-vous page 174 pour savoir ce qui lui est arrivé), et un peu dépassée par les changements technologiques (page 460 pour pouvoir calculer son âge), et accessoirement par ses enfants. Et d'ailleurs, je trouve que la quatrième de couverture ne rend pas du tout justice au livre : je pensais trouver une quinquagénaire tout droit sortie des pires épisodes de Confessions Intimes ou Tellement Vrai au sujet de ces cougars fringuées comme Barbie et courant après tout ce qui a moins de trente ans, mais c'est très éloigné de la réalité. En vrai, j'ai surtout retrouvé des personnages qui tentent de faire face tant bien que mal à tous les bouleversements qu'ils ont pu vivre (décès de proches, vieillissement …), du coup je pense postuler chez J'ai Lu pour être rédactrice de quatrièmes de couverture. (Un métier d'avenir, j'en suis sûre)

Bref, pour moi c'est du tout bon, et je suis d'autant plus contente que les références culturelles étaient moins obscures pour moi – dans les deux premiers tomes, j'avais l'impression de passer à côté de quelque chose, parce qu'en 1996 et 1999 j'avais respectivement 7 et 10 ans, et je m'intéressais donc assez moyennement à l'actualité people ou au programme TV britannique.
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Un livre drôle, écrit d'une telle légèreté qui nous transporte, Bridget ne cesse de nous faire rire. Il nous donne le moral et nous fait sourire. J'adore tellement les aventures Jones.