Le crépuscule et l'aube

Inattendu, ce roman vient compléter Les Piliers de la Terre écrits en 1989. C'est devenu une mode dans la fiction de nous proposer un avant : avant La Guerre des Etoiles, avant le Seigneur des anneaux… Si certaines fictions ont un intérêt avant tout commercial, d'autres viennent apporter des réponses aux questions qu'ont pu se poser les lecteurs ou cinéphiles. Ainsi, le Crépuscule et l'Aube vient nous expliquer comment, en l'an mille de notre ère, le village de Dreng's-Ferry devient le célèbre King 's-Bridge des Piliers.
L'an mille est une époque mal connue. Faire vivre les protagonistes de cette aventure historique est déjà en soi un exploit. Ken Follett est parfaitement documenté et sait s'entourer d'un aéropage d'historiens spécialisés. Il parvient à rendre son ouvrage vivant et passionnant sans trahir les connaissances accumulées sur une période historique au cours de laquelle se dessinent le futur de l'Angleterre et de l'Europe, toutes deux balbutiantes et soumises aux coups portés par les Vikings et assujetties à l'obscurantisme féodal primaire.
On retrouve des personnages assez semblables à ceux qui évoluent dans Les Piliers. Edgar est un bâtisseur en herbe et montre un don particulier pour tout ce qui touche au calcul, à la géométrie et à la construction. Il devient l'ami et le confident du moine Aldred qui rêve de créer un haut lieu de la culture et une bibliothèque de renommée dans sa modeste abbaye.
Edgar va faire la connaissance de la belle Ragna, noble normande expatriée et mariée avec Wilwulf, l'ealdorman de Shiring et Seigneur local.
Mais l'évêque Wynstan, l'odieux aubergiste Dreng ainsi que le perfide Wilgem vont élaborer beaucoup de manigances et de coups tordus pour rendre la vie pénible à nos héros. Leur ambition n'a pas de limites, ni les moyens pour y parvenir, assassinats, trahisons, séquestration, viols, mensonges, manipulation et parjures.
Ken Follett décrit avec une extrême précision une époque où la vie d'un homme ou d'une femme n'a guère d'importance, où la misère, la famine, les guerres et les maladies rebattent les cartes du destin sans discernement. Les conditions de vie sont rudes, les moeurs rustres et brutales. L'esclavage, la prostitution et le viol font partie de la vie quotidienne.
On ne peut que relever un certain manichéisme chez Ken Follett. Toutefois, ce travers est largement pondéré par un indéniable travail de la sphère psychologique des personnages qui est parfaitement réaliste et convaincante.
Comme tous les romans historiques de Ken Follett, celui-ci est aussi long qu'ambitieux. Très vite, le lecteur installe son regard dans les vies tourmentées évoquées et les évènements historiques mis en toile de fond. Il se prend au jeu et prend du plaisir.
On comprend aisément comment l'auteur a un tel succès et possède une telle notoriété ! Son roman régale l'amateur d'Histoire et l'amateur d'aventures. C'est un peu l'Alexandre Dumas du 21ème siècle. Je ne doute pas un instant que ce dernier opus fera l'objet d'une transcription cinématographique prochainement.
Michelangelo 18/01/2021

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An 997 : l'Angleterre subit les assauts de Vikings qui menacent d'envahir le pays. En l'absence d'un état de droit, c'est le règne du chaos. Les nobles en profitent pour défier l'autorité du roi qui préfère livrer bataille contre l'envahisseur plutôt que risquer le conflit.

A travers l'histoire de 3 personnages issus de classes sociales différentes, l'auteur nous entraîne dans une extraordinaire épopée qui va nous amener jusqu'aux portes des Piliers de la terre.

Edgar construisait des bateaux à Port Combe, mais les Vikings lui ont tout pris, y compris ses rêves. Il tente de survivre en travaillant la terre dans un petit hameau où il ne fait pas bon défier les us, habitudes et règles des gens du coin…

Ragna, une jeune noble normande de caractère, a quitté son pays pour un mariage d'amour avec un beau comte anglais. Mais le « conte » de fée ne va pas résister aux moeurs et traditions de son pays d'adoption et à l'hostilité de sa belle famille.

Alfred, un jeune moine idéaliste, vif d'esprit et passionné par les livres, rêve un jour de créer un centre d'érudition. Mais dans le petit monastère où il vit, les moeurs se sont relâchés et c'est le règne de la loi du plus fort.

Et la loi du plus fort dans ce comté, c'est celle de l'évêque Wynstan, un homme d'église pétri d'ambitions et capable du pire par sa soif inextinguible de pouvoir et de richesse. Pendant 10 ans, Alfred, Edgar et Ragna vont tenter de déjouer ses manigances et ses complots au risque d'y perdre la liberté ou la vie.

Le crépuscule et l'aube, est le prequel des Piliers de la terre et du Prieuré de Kingsbridge, un prieuré qui sera convoité durant 6 siècles par des ecclésiastiques de tous poils. A chaque époque ses guerres de pouvoir et ses personnages, mais dans chaque volet, un auteur qui maîtrise l'art de la narration et excelle dans son rôle de conteur.

Une histoire à la fois captivante, révoltante, émouvante et rythmée où se côtoient le bien et le mal, l'amour et la haine, la vie et la mort….

Je débutais cette lecture avec de grandes attentes (peut-être trop grandes). Comme beaucoup de lecteurs, j'avais été happée par "Les Piliers de la Terre", un roman épique aux personnages attachants. Je m'attendais à retrouver la même force avec "Le crépuscule et l'aube".

Dès le début, j'ai reconnu la plume de Follett et j'étais sûre d'adorer. Finalement ce roman ne s'est pas avéré être le coup de coeur espéré. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Edgar ou Ragna, j'ai trouvé ces personnages trop lisses et superficiels. Je n'ai pas non plus adhéré aux "méchants" qui sont tellement méchants, mais pas crédibles.

J'ai trouvé que l'univers était également assez pauvre dans la description et l'ambiance. Dans les remerciements, Ken Follett explique que "L'âge des Ténèbres a laissé peu de traces" dans l'histoire du monde, est-ce l'explication pour cet univers plutôt minimaliste ?

C'était une lecture agréable qui donne envie de connaître la fin, mais elle ne restera pas un souvenir de lecture aussi mémorable que "Les Piliers de la Terre".

Un récit qui m'a très vite emportée , et que j'ai dévoré en un rien de temps malgré le pavé conséquent qu'est ce livre .
C'est bien écrit , palpitant , addictif, bourré de péripéties et de rebondissements au fil des trajectoires de personnages d'horizons on ne peut plus différents , habilement menées de manière à finir par converger dans une même trame .
On est bien immergé dans le contexte historique , qui n'est pas riant riant , c'est le moins qu'on puisse dire, et pour autant qu'on se laisse plonger au coeur de la cruauté et de l'injustice de l'époque, de ses turpitudes et autres complots, on est aussi bien content de ne pas y être né et de vivre cela bien au chaud chez soi ! Un peu comme on se réjouit d'être à l'abri tout en entendant gronder l'orage et se déchaîner les éléments à l'extérieur ...

Bon, alors oui, il y a les bons très bons et les méchants très méchants, et les bons n'ont quand même vraiment _ mais vraiment pas, hein ! _ de bol pendant la quasi totalité du récit, au point qu'il est quand même temps, arrivés à la fin, que le vent tourne, parce que ça finit pas être un peu lassant, pour ne pas dire légèrement comique, une telle accumulation de revers du sort avec les traîtres qui parviennent toujours à tout contrecarrer en oeuvrant dans l'ombre .
J'avoue , par exemple, que j'en ai eu un peu marre que ce pauvre Edgar s'échine à suer sang et eau pour construire et reconstruire des structures qui sont toutes systématiquement saccagées , ou que Ragna enchaîne les épousailles et/ou grossesses glauques , et que les histoires de nourrissons , d'allaitements et tout le toutim ça m'a aussi un peu pompé l'air sur la dernière partie.

Mais surtout, surtout, les histoires de viols à répétition dans des évocations crues à outrance et on ne peut plus répugnantes , notamment, mais pas seulement, sur la personne de cette malheureuse Blod, ça m'a franchement barbouillée, et je me demande si il était bien nécessaire que cela revienne aussi souvent dans l'intrigue !
Je pense qu'avec les premières fois, on avait déjà bien compris qu'il ne faisait pas bon être une femme à cette époque, quelle que soit sa condition, et j'ai trouvé assez pénible que ce soit aussi présent dans le récit: Il faut quand même avoir les tripes bien accrochées devant de telles abominations dépeintes de manière très récurrente .

Avec tout cela, je ne finis pas sur une notre très positive, certes !
Et pourtant, je conclus tout de même en disant que ce roman remplit très bien son contrat :
C'est une lecture qui vous évade et vous emmène au fil de ses rebondissements au point qu'on ne voit pas passer les 1000 pages, même si on tique un peu sur les quelques défauts évoqués .
Je pense donc même que je me laisserai tenter par " Les Piliers de la Terre" !

Nous voici en compagnie de Ken Follet partie à la découverte du prequel des pilliers de la terre.
Les romans historiques sont avec les romans fantastiques les lectures préférés et forcément Ken Follet est un de mes auteurs préférés.

Ici nous suivons une jeune normande Ragna laquelle va se marier à Wilwulf un anglais mais celle ci va vite se rendre compte que la vie en France et en Angleterre est bien différente . Par moment j'ai eu un sentiment de malaises sur l'acharnement de l'auteur à lui faire vivre tout les malheurs du monde .
Heureusement notre Ragna a un tempérament assez solide pour vaincre les difficultés .
Nous suivons aussi Edgar un bâtisseur et Aldred un moine érudit .
Leurs vies vont se croiser , se mêler et chacun va faire partie de l'histoire de l'autre.

J'ai été très déçue par un point , je pensais que le livre parlerai davantage des vikings voir suivre un viking dans ses aventures mais ceux ci sont justes évoqués . Peu de pages leur sont dédiés .
On parle d'armée Viking , on ne parle pas de leur façon de vivre ni de leur coutume .

Grande amatrice des bouquins de Ken Follett, je ne pouvais pas passer à côté de ce préquel des "Piliers de la Terre" !

L'histoire se déroule de 997 à 1007, à une époque où les côtes britanniques étaient fréquemment pillées et dévastées par les Vikings. Edgar est un brillant jeune homme qui vit à Combe avec ses parents et ses deux frères, ils gagnent leur vie en construisant des bateaux. Edgar projette de s'enfuir avec sa bien-aimée, mariée à un homme qu'elle n'aime pas... Aldred est un moine à la fois modeste et cultivé, il prend soin de son scriptorium mais en sera bientôt délogé par le destin pour atterrir à Dreng's Ferry, un hameau pitoyable. Ragna est une jeune noble normande, capable de gouverner intelligemment tout en se faisant aimer du peuple. Les liens du mariage la feront quitter Cherbourg pour Shiring, dépaysement garanti. Ces trois personnages se rencontreront très vite, noueront une amitié à longue durée et se serreront les coudes pour résister aux petits complots de Wynstan, un évêque sans foi ni loi.

Ce roman est construit de la même façon que "Les piliers de la Terre", les personnages sont aussi plus que semblables ! C'est toujours aussi efficace, ça donne toujours autant envie de tourner les pages, mais c'est tout de même peu original. Je regrette le côté très manichéen des personnages et le cocktail violence/sexe qui ressurgit fréquemment. Ne vous attendez pas non plus à suivre des Vikings dans ce roman, on ne les voit que de très loin ! Malgré ces défauts, je me suis attachée aux personnages et j'ai lu cette histoire avec avidité...

Si vous n'avez encore jamais lu Ken Follett, je ne peux que vous recommander "Les Piliers de la Terre", ces autres romans estampillés "Kingsbridge" n'étant que des succédanés...

Combe, sud de l'Angleterre, 997. Alors que Edgar, 18 ans, fils d'un charpentier de marine, s'apprête à fuir nuitamment le domicile familial avec Sunni, son amoureuse, une femme mal mariée, les Vikings attaquent et mettent à sac le village. Sunni et le père d'Edgar font partie des victimes, la vie du jeune homme va changer totalement. Avec sa mère et ses frères, Erman et Eadbald, ils quittent Combe pour Dreng's Ferry, à plusieurs jours de marche, où ils ont obtenu la gestion d'une ferme. Il faut travailler durement la terre pour survivre, Edgar a un talent de bâtisseur et du goût pour la construction, pas pour l'agriculture et les relations avec ses frères sont difficiles.

Fille du comte Hubert de Cherbourg, Ragna est tombée amoureuse de Wilwulf, ealdorman (seigneur) de Shiring, et a obtenu de l'épouser. Arrivée en Angleterre elle constate que sa belle-famille est accrochée à son pouvoir absolu sur Shiring et n'envisage pas de lui en céder la moindre parcelle. Elle qui comptait co-gouverner avec son époux comprend qu'il va lui falloir trouver des alliés et jouer avec finesse pour parvenir à son but. Cette lutte pour le pouvoir la mènera à des violences qu'elle n'avait pas imaginées.

L'action de ce gros roman de 850 pages se déroule avant Les piliers de la terre, entre 997 et 1007. En avant-propos la période nous est présentée comme le début de la fin de "l'âge des ténèbres". Je me suis demandée si la peinture très sombre de cette période n'était pas un peu caricaturale. Il me semble que les historiens sont un peu revenus sur cette vision du haut Moyen-âge. Toujours est-il que le cadre du roman est celui d'un monde essentiellement soumis à la loi du plus fort. L'évêque Wynstan, frère de Wilwulf, est prêt à tout pour conquérir plus de pouvoir. Et le roi Ethelred, qui a besoin du soutien militaire de ses seigneurs pour repousser les raids vikings ou les incursions des Gallois, n'est guère en mesure d'imposer sa loi. L'Angleterre de l'an mille est un pays qui pratique encore la polygamie et l'esclavage. Les esclaves sont des prisonniers de guerre gallois ou irlandais, soumis à toutes les violences, à l'image de Blod, battue et prostituée par son maître.

Parmis les partisans d'une société plus policée se trouvent bien sûr Edgar et Ragna mais aussi le prieur Aldred, un moine qui veut faire respecter les principes d'amour et de charité des Evangiles.

Malgré son grand nombre de page j'ai lu ce roman facilement, en quelques jours, grâce à ses nombreux rebondissements et péripéties. Qui a déjà lu la suite de la saga Kingsbridge (trois tomes écrits avant celui-ci), retrouvera toujours un peu le même schéma : un méchant évêque, avide de pouvoir et de richesses, opposé à des héros idéalistes aux amours contrariés. A la fin les gentils gagnent. C'est très romanesques et donc une lecture distrayante.
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997 Angleterre, ravagée par les attaques Vikings, elle peine à accéder à la flamboyance du moyen-âge tel qu'on l'imagine.
On suit le parcours de trois personnages dans le courant de leur vie. Edgar le constructeur de bateaux, Ragna jeune noble Normande qui choisit pour époux un ealdorman rebelle au roi et sans scrupule ; et enfin Aldred un moine idéaliste rêvant d'un monde plus moderne et plus juste.
Une véritable épopée au décor historique très réaliste pleine de rebondissements, de cris, de fureurs et d'amour.

997. le sud de l'Angleterre vit sous la menace des fréquents pillages et ravages des terribles Vikings. Une nuit, le jeune Edgar, habile constructeur de bateaux, quitte discrètement sa famille dans une barque qu'il a fabriquée en imitant la forme d'un drakkar. Il veut s'enfuir avec Sunmi, la femme qu'il aime mais qui est mariée avec un autre. C'est alors qu'une attaque viking se produit dans son village. Il se précipite pour prévenir les moines et les habitants en sonnant la cloche de l'église. Dans la confusion générale, il finit par retrouver Sunmi morte assassinée, tout comme son propre père. Sa maison familiale et le petit chantier naval ont été détruits par un incendie. Seuls sa mère et ses deux frères ont échappés de justesse au massacre. Mais les voilà tous sans-abri ni ressources. Deux jours plus tard, accompagné de ses deux frères Wigelm et Wilwulf, Wynstan, évèque de Shiring, vient constater les dégâts qui sont plus importants que ce qu'il imaginait. Il va devoir réduire son train de vie luxueux et même faire quelques sacrifices, ce dont il a horreur. Il octroie néanmoins à la famille d'Edgar la permission de cultiver une misérable petite ferme que les précédents occupants avaient abandonnée pour ne pas mourir de faim.
« Le crépuscule et l'aube » est un roman historique-fleuve (852 pages) de lecture un brin laborieuse. Il ne s'agit pas d'une saga foisonnante, pleine d'évènements et de personnages divers et variés, mais d'une histoire ne s'étendant que sur une dizaine d'années, sur un territoire restreint et ne mettant en scène qu'un nombre réduit de personnages pour la plupart vénaux, cruels et antipathiques, à l'exception d'Edgar, de Ragna et d'Aldred. Follett use et abuse de la recette qui a fait son succès : alterner les scènes de sexe et d'amour avec celles de barbarie et d'horreur. de ce côté-là, il faut bien reconnaître que les lecteurs sont grassement servis. Assassinats, tortures (castration et énucléation), viols, incendies et humiliations en tous genres ne manquent pas. Il faut bien que ce chapitre de l'histoire anglaise corresponde à l'image qu'il convient de s'en faire actuellement, celle d'une époque barbare, ignare et tristement obscurantiste. Les vrais amateurs d'Histoire en seront pour leurs frais. Quant aux autres, sans doute trouveront-ils que ce pavé un brin ennuyeux et poussif est loin être le meilleur de cet auteur.

Lien : http://www.bernardviallet.fr

Ça y est ! Mon premier Follett, et pas le plus petit 😂

C'est aussi mon premier roman historique sur le Xe siècle, et anglais, que de nouveautés ! Et je dois dire que je l'ai aimé en beaucoup de points.

ÉVIDEMMENT, j'aime avec mon COeUR la forme de roman choral xD et c'est super intéressant de suivre les trois ordres avec trois personnages; noblesse, clergé et peuple.
L'action se passe dans une partie de l'Angleterre et tous les personnages se croisent où sont liés entre eux. Les développements prennent leur temps et on ne se perd pas à changer dix fois en cent pages. C'est super agréable ! Et j'ai trouvé génial de suivre ces héros pendant près de 10 ans ! On voit leur évolution de mentalité et c'est touchant quand on les remarque…

Bien sûr l'ambiance historique est FOLLE. L'injustice, particulièrement, est parfaitement rendue et elle m'a émotionnellement bien impliquée autant que les violences très crédibles et bien décrites.
Attention, et roman est fait à 90% d'intrigues et complots politique. Thème présent dans tous les points de vue, très poussé et bien géré. Fuyez si vous n'aimez pas ça xD

Un roman bien rythmé et super agréable à lire. Mais j'ai cependant quelques points négatifs.
J'ai trouvé la conclusion des 100 dernières pages trop rapide. le temps de dire ouf et un personnage a conclu son arc. 100 pages ça fait léger contre les 750 de développement qui viennent de passer
Et le roman se concentre tellement sur la politique que la menace des Vikings disparaît beaucoup trop. Ils sont là… Mais de loin. Ils ne sont qu'un déclencheur. J'en aurais voulu bien plus !!

Mais c'était quand même un roman génial dans l'ambiance historique et les personnages, qui m'a accrochée pour la suite !