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4,21

sur 2313 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
« Rentrée littéraire 2020 »
Je fais comme Kirzy 😊
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Page turner. Certains savent que j'ai pratiquement tout lu de mon auteur favori Ken Follett. Son dernier livre est encore digne d'éloges.
Angleterre, 997. Les Vikings ont dévasté le petit port de Combe. Il ne reste plus rien et beaucoup de survivants sont obligés de partir. Mildred, et ses trois grands fils vont à Dreng's Ferry, où l'évêque de Shiring leur a promis une terre à cultiver. Mais ils ne sont pas au bout de leurs peines, car les puissants du hameau, le doyen Degbert et son frère le tavernier Dreng sont licencieux, avares, cupides et même tyrans, surtout avec les esclaves.
Les « héros » de cette aventure sont Edgar, 18, le dernier fils de « Ma » Mildred, et Ragna, 20, fille du comte Hubert de Cherbourg.
Ken Follett va de l'un à l'autre. Ils sont séparés par la Manche et ils ne se connaissent pas encore, mais on sent que,…………… et c'est tout ce qui fait de ce livre un « page turner », comme d'hab avec KF.
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Le style est très fluide, l'intrigue est pleine de rebondissements, sur fond de polygamie, de joutes verbales (mais pas que ), et négociations planifiées, ruses et entourloupes, combats épiques, meurtres, viols, espionnage, choix cornéliens, mauvais traitements, séquestrations, mensonges, spoliations, questionnements, mais aussi l'amour… L'amour grandiose mais impossible.
Ken Follett, et à mon avis, c'est ça, en grande partie qui le rend passionnant, sait à chaque fois, amener le problème, créer la tension, jusqu'à l'explosion, l'imprévu ou la domination d'un ennemi sur l'autre. C'est alors qu'un autre imprévu surgit…
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Comme beaucoup de lecteurs, j'ai détesté la bêtise brutale et gratuite de Wigelm, et la tyrannie rusée, machiavélique de l'évêque Wynstan, et, au milieu de la cohue, j'ai sympathisé avec Edgar le bâtisseur, je me suis attristé avec Ragna la malchanceuse, et j'ai approuvé les actions du moine-abbé Aldred. le crépuscule et la nuit sont longs avant que ne perce l'aube...
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Euh… le tavernier Dreng avait un ferry pour faire traverser le fleuve, Edgar en a construit un plus grand, puis un premier pont, incendié par malveillance. Sur ordre du roi Ethelred, il en a construit un deuxième, et le hameau de Dreng's Ferry est devenu le bourg de King's Bridge, bien connu des lecteurs de Ken Follett 😊… Et je ne doute pas qu'Edgar le bâtisseur soit un ancêtre de Tom le bâtisseur, cent ans plus tard dans "Les piliers de la Terre" !
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Certains parlent du manichéisme de l'auteur.
Dans ce livre, les personnages sont, il est vrai, soit bons soit méchants, mais ils sont travaillés et les nuances sont relativement subtiles.
Personnellement, et ça n'engage que moi, je suis assez manichéen, et c'est pour ça que j'aime KF, je trouve que les gens sont bons ou méchants, et les raisons remontent souvent, je pense, à des blessures d'enfance. Certes, ils y a des moutons incolores et inodores dans ce livre ; il y en a aussi dans la vraie vie.
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Face à un pavé de 848 pages je décide de construire ma critique au fur et à mesure pour ne rien oublier. On ne traite pas Ken Follett à la légère (ok ça sent la groupie par ici).
Quand on sait le temps d'écriture qui sépare "Un monde sans fin" de "Une colonne de feu" (oui, je sais, il en a écrit d'autre mais bon), j'avais un peu craint une écriture précipitée pour l'appât du gain. Ce n'est qu'un homme après tout ! Mais bon, 2017 - 2020 ça fait quand même 3 ans, c'est pas non plus ce qu'on appelle de la précipitation pour un livre... donc appréhension relative et très vite rassurée :
Dès les premières lignes on plonge, c'est un talent que peu d'auteurs ont. de même, on sent tout de suite le travail qu'il y a eu en amont et en parallèle, malgré ma licence d'Histoire il a fallut que je me replonge un peu dans la définition de certains termes. Follett trouve, une fois encore, l'équilibre parfait entre le récit et la description et entre les drames vécus par les personnages et les espoirs qu'ils portent. C'est un peu sa marque de fabrique. Bref, après une première centaine de pages je suis déjà conquise et il m'est pénible de m'arrêter pour aller travailler ! Ahah.
Une centaine de pages plus loin, je me régale toujours. Comme tous les ouvrages de cette saga on est dans un véritable tourbillon de personnages dans le premier quart, naviguant des uns aux autres, identifiants ceux que l'on aime et ceux que l'on va détester mais aussi les personnages un peu ambivalents. A ce stade, j'aime bien essayer de deviner qui va s'associer à qui et je mise sur Edgard et Ragna (à ce sujet, c'est un peu dommage que la 4ème de couverture balance d'emblée que Ragna sera malheureuse en mariage) on verra si la suite me donne raison mais je commence à assez bien connaitre le fonctionnement des intrigues de Follett (oui bon, je me la raconte un peu mais je ne fais de mal à personne :p)
Ce que j'aime aussi chez cet auteur c'est sa capacité à nous en apprendre beaucoup sur les moeurs des communs durant les périodes dans lesquelles il fait vivre les personnages, là je réalise toute l'importance de l'esclavage à la fin du Xème siècle je n'en avais vraiment pas conscience et je trouve "drôle" de voir comme on survole beaucoup les pans les moins glorieux de notre passé même en étude d'Histoire.
Enfin, je le savais déjà mais mon sentiment de colère se renforce d'autant plus en réalisant à quel point la religion chrétienne a façonné notre société, l'a contrainte, soumise jusqu'à aujourd'hui et selon des préceptes auxquels ses hauts placés n'adhèrent même pas. On parle dans ce roman de polyandrie. Follett travaille toujours sur des fonds historiques, il ne l'aura pas placé là par hasard. En 997 il y avait donc plus de libertés de moeurs et d'ouverture d'esprit qu'aujourd'hui ? (bon ok, ça ne valait pas pour tout mais il faut aussi voir le contexte, n'empêche que je suis estomaquée.) J'aimerai avoir la possibilité de savoir comment le monde se porterait aujourd'hui si on pouvait supprimer l'influence qu'ont eu les grandes religions, s'il n'y avait pas eu de dieu pour tout expliquer, tout excuser, tout pardonner.
L'homosexualité est fréquemment abordée aussi, on savait, on désapprouvait mais il n'y avait pas cette haine comme elle a pu se développer par la suite (encore une fois avec l'expansion du christianisme, évidemment.)
Bref, je l'ai fini dimanche et c'est du grand Ken Follett, on adore mais, comme je l'ai vu en commentaire, j'ai également trouvé beaucoup de similarités avec les piliers de la terre. Il a construit toute la saga de la même façon : des puissants qui abusent de leur pouvoir et des moins puissants (sois moins riches, sois des femmes) qui vont lutter pour le bien, l'ouvrage est parsemés de petites victoires et grandes défaites jusqu'à ce que la roue tourne et que les grands chutes, en se terminant, généralement par le "et ils vécurent heureux" du couple phare du roman. Celui-ci n'échappe pas à la règle et, oui on s'attache toujours autant, et oui on se régale toujours autant des rebondissements, des sauvetages, des petites victoires, et oui on s'angoisse et on souffre avec les personnages mais tout de même, un tout petit "mais" : ça sent quand même un peu le réchauffé. Je crois qu'il est temps d'abandonner Kingsbridge et d'entamer un nouveau projet. Je suis sûre que ce sera magnifique aussi :)
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Un joli pavé de 850 pages, dévoré avec gloutonnerie !
Trois ans après « Une colonne de feu », j'avais faim des mots de Ken Follett.
Me voilà repue et heureuse : l'attente en valait encore une fois la peine et ce fut un succulent festin !

Prequel des Piliers de la terre, le récit débute en 997. En cette période tumultueuse de la fin du Haut Moyen-Âge, l'ombre des vikings menace dangereusement les côtes anglaises.
L'histoire débute justement par une invasion viking, un raz-de-marée sanglant qui bouleverse la destinée de Edgar, jeune constructeur de bateaux.
Au même moment,Ragna, jeune normande de sang noble voit sa vie basculer aussi. Emportée par la passion amoureuse, elle quitte la France pour l'Angleterre.
Deux vies dont les trajectoires déviées se retrouvent au coeur de bien des tourments ...

Un retour à Kingsbridge des plus savoureux où l'on découvre la naissance de cette ville, au coeur même de la trilogie des Piliers de la terre.
J'ai retrouvé, les papilles en alerte, toutes les saveurs que j'avais tant aimé !
Des ingrédients délicieusement mijotés par ce chef étoilé, maître dans l'art du récit romanesque : une intrigue parfaitement assaisonnée, des goûts volontairement très tranchés. Oui Ken Follett a un côté très manichéen mais qui colle parfaitement à l'époque et au récit. Et d'autant plus au titre même de ce dernier roman ! Il est bien question de l'opposition entre l'obscurantisme et la lumière.
L'ensemble est relevé par une figure féminine épicée, pourvue d'un besoin irrépressible d'émancipation.

Une magnifique fresque historique ! Des personnages centraux attachants, d'autres détestables à souhait ; une intrigue trépignantes aux multiples rebondissements ; une plongée dans cette période sombre relativement peu connue et rendue quasi palpable par le travail historique titanesque de l'auteur.
À vous les gourmands, amateurs de sensations fortes, venez vous délectez autour de ce grand festin !
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Une superbe épopée bien plantée dans son contexte historique. Entichée d'un seigneur anglais, la fille d'un comte normand part en Angleterre pour l'épouser. Ses illusions prennent rapidement fin. Son époux n'est pas celui qu'elle imaginait, et ses deux frères, l'un guerrier cruel, l'autre, ecclésiastique ambitieux et machiavélique sont à l'avenant du reste de sa famille malveillante et intrigante. Les relations homme-femme, les interactions sociales, notamment les conditions des esclaves, l'emprise des nobles sur les gens du peuple, la misère de ceux-ci, le quotidien des gens d'église sont admirablement dépeints. Parmi les personnages nombreux et hauts en couleur, un simple prêtre contraint de lutter contre une hiérarchie corrompue pour s'élever au niveau des voeux dictés par sa foi, et un jeune artisan qu'une attaque viking a dépossédé d'un avenir prometteur. Un roman intelligent et puissant.
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Et notre ami Ken Follett créa ce que l'on appelle communément maintenant la Saga Kingsbridge. Cela remonte maintenant à plus de trente ans et pourtant ça ne prend pas une ride . Tel est l'apanage des grandes oeuvres dit on.
Dans le cas présent je n'ai pas attendu la sortie en format poche , j'ai acheté directement le pavé de plus de 800 pages . Et c'est toujours avec autant de joie que je retrouve ces personnages.
Quoi ? C'est encore les mêmes ? Mais c'est avant tout ce qu'il a déjà écrit non?
Oui vous avez raison . L'action se situe avant tout chose déjà écrite. C'est le crépuscule de la saga en fait . Mais quand je dit je retrouve, c'est pour dire que c'est la même recette. Pourquoi changer ?
Ken ne te tracasse pas , continue ainsi . Tu tiens le bon bout. Tu m'étonnes ...Des millions de lecteurs dans le monde quand même.
Prenez des personnages charismatiques à souhait : un pauvre bougre dans le deuil bourré de talent, une noble qui croit encore au véritable amour, un moine idéaliste et rebelle, et évidemment un homme d'église surpuissant et surtout très méchant.
Mettez tout ça dans une époque inédite et violente du moyen âge . Ajouter des intrigues qui se recoupent et surtout un énorme talent d'écriture et vous obtenez... le commencement de la saga.
La menace viking est là, mais pas assez présente à mon goût.
Bref j'adore cet univers .
Vous allez enfin apprendre pourquoi Kingsbridge se nomme comme cela . C'est déjà le petit détail qui fait que les amateurs vont dévorer ce livre.
Bonne lecture de la genèse
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Ce n'est pas un secret pour ceux qui me connaissent : j'aime les livres de Ken Follett et le poids de ses pavés ne me fait jamais peur.
Dans 'Le crépuscule et l'aube', l'auteur place l'action à la fin du Moyen Age. Divisé en quatre grandes parties, le roman commence en 997 pour se terminer en 1007. C'est l'intrusion des Vikings qui bouleverse l'existence des habitants d'un petit village en Angleterre. C'est l'occasion pour le lecteur de faire la connaissance d' un des personnages principaux du roman. Et il y en aura beaucoup d'autres, comme Ragna, jeune normande qui va épouser un ealdorman anglais ou encore Wynstan, un représentant de l'église qui n'a pas de scrupules...
Ken Follett est un conteur hors pair. Malgré qu'il met en scène beaucoup de personnages, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Certes, à force de lire beaucoup on peut imaginer certaines situations et si on cherche des défauts, on peut en trouver, mais cette fois-ci je ne vais pas donner beaucoup d'importance à tous ces détails.
Je peux dire que le plaisir de la découverte et là, dans chaque page, dans chaque rebondissement.
J'aurais voulu que l'auteur laisse au lecteur le soin d'imaginer la fin, mais ce n'est pas cela qui va changer ma note.
'Le crépuscule et l'aube', est pour moi une belle réussite.
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À l'image des "Pilliers de la terre", j'ai tout simplement adoré. La narration est majestueuse, les nombreux personnages sont sculptés au scalpel, et l'histoire est passionnante et la dureté de l'époque bien retranscrite. Un pavé qui se dévore d'un bout à l'autre sans une seule once d'ennui. Seul petit bémol, j'avais espéré plus de présence viking, ce qui est très loin d'être le cas.
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Petite brique qui tout de même nous emmène en toute fluidité dans cette époque du haut Moyen-Age. C'est simple, le rythme est si bien dosé que les pages se tournent assez facilement et qu'on arrive, tout aussi facilement, à la fin de ce roman.

Pour la petite histoire, le Crépuscule et l'Aube est une préquelle des Piliers de la Terre. Les personnages, comme pour le reste de cette fresque, ne sont pas communs. Ce qui est commun, c'est le lieu géographique. On assiste donc, au gré des pages, à la fondation de Kingsbridge, comprenant au fur et à mesure du roman la raison de son appellation. Alors, c'est vrai, au début, on ne sait pas trop où on va mais on se laisse porter, découvrant les éléments qui s'agencent les uns avec les autres, naturellement.

Pour cette histoire, on suit un trio de personnages, tous les trois éminemment sympathiques et attachants, chacun à leur manière. On a, en premier lieu et surtout, Edgar, fils d'un charpentier de navire, très habile de ses mains, qui est bien sûr notre artisan attitré. Ken Follett, à travers lui, peut nous présenter l'artisanat de cette époque et comme d'habitude, on se régale. le deuxième personnage est celui de Ragna, jeune noble normande qui a épousé l'ealdorman ( donc le chef) de Shiring. Avec elle, on voit l'organisation politique de l'Angleterre du XXe s mais aussi et surtout la condition féminine ( même si d'autres personnages servent aussi cette fonction). Enfin, on découvre Aldred, moine épris d'érudition, aspirant à gérer un lieu de haute érudition intellectuelle, en passant par une bibliothèque fournie. Notre personnage appartient au clergé, élément indispensable car Ken Follett reprend des thématiques que l'on a déjà vu dans les Piliers de la terre, à savoir le pouvoir religieux mais aussi le pouvoir temporel.

Ainsi, on a une fratrie qui détient l'essentiel des pouvoirs dans ce coin de Shiring. Leur mainmise leur permet de faire beaucoup de dégâts, l'idée étant pour eux de maintenir le pouvoir qu'ils ont entre les mains, pouvoir à la fois temporel que religieux. Sans surprises, on navigue donc dans un monde d'intrigues qui touchent nos protagonistes principaux, plusieurs fois, de diverses manières, nous offrant au passage un récit riche et tellement bien documenté d'un point de vue historique.

On sait que cet récit se terminera heureusement. Pour autant, malgré cette fin heureuse attendue, la rigueur historique de Ken Follett l'invite à nous dépeindre la société telle qu'elle est. Force est de constater que cette société anglaise du haut Moyen-Age n'est pas une société de quiétude. Avec ces différentes luttes de pouvoirs, on a des scènes de viols, de massacres, de meurtres, d'esclavage qui font de ce récit à la fois une lecture authentique mais également pesante par moments. On sait qu'on doit s'attendre à cette sombritude historique, ce n'est pas pour autant que c'est facile à lire. Ken Follett n'en fait pas quelque chose de "trash" mais ne l'édulcore pas pour autant.

Ayant lu cette fresque de Kingsbridge dans un total désordre ( Une colonne de feu, puis les Pilliers de la Terre), il ne me reste plus qu'à découvrir prochainement Un monde sans fin.
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Quand on a aimé comme moi Les piliers de la terre, et les deux tomes de suite, on ne peut que se régaler avec ce préquelle, qui ne raconte rien de moins que la naissance de King's bridge, à l'aube du nouveau millénaire (et au crépuscule du précédent, on l'aura compris...).
Brio historique, intrigues amoureuses et de pouvoir, vrais méchants, faux gentils, pauvres et riches, faux curés et vrais monstres, voilà le programme de ce pavé que j'ai littéralement dévoré, avec un insatiable plaisir !
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J'avais lu et adoré la saga des Pilliers de la Terre, un monde sans fin, une colonne de feu .....
Est ce que le charme allait à nouveau opérer sur une époque qui me passionnant moins ?
Oui ... indéniablement oui ...
Je suis même triste de l'avoir terminé ...
Et contrairement à certaines critiques que j'ai pu lire je trouve cette nouvelle saga différente des précédentes...
D'abord parce qu'on est aux balbutiement des techniques de constructions : Edgar l'un des personnages principaux est un.petot genie; son rêve est d'être constructeur de bateaux comme son père qui a été tué par les Vikings obligeant la famille à quitter son village et à se reconvertir paysans. Edgar ne construira donc pas de bateaux mais un bac, une brasserie - pour échapper à la condition paysanne - , un pont - après bien des difficultés - et à la fin de l'ouvrage , la nouvelle église de Kingsbridge ...
La construction pourtant n'est pas et de loin au centre du récit... cette fois on suit bien plus les personnages : Alfred, le gentil moine, Wynstan l'évêque machiavélique, Ragna fille d'un comte normand qui arrive en Angleterre par amour et vivra bien des moments sordides ... et bien d'autres ...
Difficile de résumer le tout tant en 850 pages il se passe d'événements .....
Génial tout bonnement .... vivement le prochain
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