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4,24

sur 4611 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Voilà je l'ai terminé ce pavé ! ouf… et en même temps un peu triste, car tous les personnages m'ont accompagnés agréablement pendant un long moment (1.337 pages quand même !), et je m'y étais attachée…
Que dire ? Tout d'abord, il faut savoir que contrairement à ce que Ken Follett annonce, ce n'est absolument pas la suite des Piliers de la terre… ok cela se passe au même endroit, Kingsbridge, on parle aussi de bâtisseurs, et Merthin est vaguement un descendant de Jack le bâtisseur et d'Aliena, mais voilà… c'est tout… il n'y a rien de plus !
Cette petite déception passée, on rentre avec délice dans l'écriture de Ken Follett qui est toujours aussi agréable et bien documentée… Comme l'on suit beaucoup de personnages, cela peut expliquer la longueur de l'ouvrage… ceci dit, je pense que Ken Follett aurait pu un peu raccourcir ! ! lol
De nombreux aspects historiques intéressants sont abordés : la vie des paysans, des serfs, dans les prieurés et les couvents, la condition de la femme à cette époque, l'obscurantisme au niveau de la médecine, de la sorcellerie… les campagnes de guerre etc. L'air de rien, on apprend pas mal de choses… les personnages sont un peu caricaturaux, les gentils sont très courageux, valeureux et ils leur arrivent beaucoup de malheurs… et les méchants sont cruels, machiavéliques et retors à souhait. Mais tout de même, on s'y attache et on aime les suivre. Bref, je conseille cette lecture, mais pas de suite après les Piliers de la terre, et sans en attendre une suite.

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Deux siècles se sont écoulés, inscrivant les personnages des Piliers de la Terre parmi les figures de légende. Assurément Un monde sans fin n'est pas une suite mais l'occasion de rencontrer un récit nouveau qui utilise avec succès les mécaniques qui ont assuré le succès de Ken Follett.
L'histoire en elle-même est bien travaillée. Il n'y a pas vraiment de pierre angulaire (sinon Kingsbridge) et pourtant l'ensemble est une chronique d'un seul tenant. Les bâtisseurs n'occupent plus la première place. S'ils attirent un premier temps l'attention du lecteur, celle-ci ira en refluant avant de mieux revenir tel le mouvement d'une vague. Dans ce nouveau (long) roman médiéviste il est davantage question d'économie, de marchands, de politique religieuse, d'enjeux de pouvoirs, de médecine et… de condition féminine. Cette démarche qui privilégie la société peut être qualifiée d'anglo-saxonne, elle n'en demeure pas moins fort appréciable et fort distrayante. Les tribulations des personnages principaux se suivent avec plaisir. Leurs traits de caractère rappelleront invariablement des souvenirs, même si chacun garde son identité. Il est toutefois difficile de se départir du spectre des Piliers de la Terre.
Le corps du texte réserve une surprise qui justifie à elle seule l'achat et la lecture de cette oeuvre de qualité : un passage par la France en proie à la Guerre de Cent Ans. La bataille De Crécy vue par les yeux de Caris et de Ralph nous livre un grand moment de plaisir. le contexte politique du XIVème siècle et le règne de Édouard III sont cités à plusieurs reprises et peuvent être une manière de raviver autrement des souvenirs laissés là par la geste du regretté Maurice Druon, Les Rois Maudits. L'évocation de la Peste et son exploitation romanesque sont un autre temps fort de ce livre.
Hélas, certains traits ne pardonnent pas. L'auteur se permet de nombreuses gloses se voulant historiques du plus mauvais aloi. Certains commentaires sont dénués d'intérêt au point que le lecteur est amené à s'interroger « L'auteur m'imagine-t-il aussi ignorant ? ». Autre bémol : l'histoire d'amour entre Caris et Merthim, leur(s) séparation(s) et retrouvailles viennent gâcher le plaisir. Ce point est d'autant plus incompréhensible que les autres amourettes sont habilement négociées. Enfin, malgré de nombreux rebondissements, le dénouement tarde peut-être un peu.
Un livre à retenir et à lire mais à condition d'avoir su pleinement apprécier auparavant Les Piliers de la Terre.
Lien : http://kriticon.over-blog.co..
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Bien des années après avoir lu (et beaucoup aimé) « les piliers de la terre », je me suis enfin lancée dans sa suite, « Un monde sans fin ».
En toute honnêteté, ce pavé de 1300 et quelques pages au titre qui ressemble à un avertissement me faisait un peu peur.

Comme pour son précédent opus, Ken Follett réussit à ferrer son lecteur en lui proposant un voyage dans le temps, instructif et palpitant. Même recette que dans « les piliers de la terre » : un contexte historique détaillé, des personnages attachants, avec leurs failles et leur complexité, un récit riche en rebondissements (parfois même un peu trop) et l'impression de se cultiver tout en se divertissant.
Peut-être que « Un monde sans fin » souffre un peu de la comparaison avec « Les piliers de la terre » et qu'il aurait sans doute pu compter moins de pages sans que cela nuise à sa qualité, mais il n'en demeure pas moins qu'il ne devait pas être évident de donner une suite à ce roman devenu culte et que l'auteur s'en tire plutôt très bien.

Challenge multi-défis 2018
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C'est une radioscopie de la petite ville de Kingsbridge au moyen- âge, au 14 ème siècle. Ken Follett détaille la vie des marchands, des artisans, des serfs, des religieux hommes et femmes car il y a un couvent et un prieuré côte à côte, on voit le rôle de chacun, les moines, les sœurs, le prieur, la mère supérieure, les luttes intestines, les complots. Tout est détaillé avec minutie, la place de la femme dans la société, le statut des serfs, le rôle du seigneur. L'auteur aborde la guerre de 100 ans, l'épidémie de peste qui sévit et fait des milliers de morts, les soins que les religieuses du couvent prodiguent aux malades, tout d'abord installés dans l'église à même le sol, puis l'initiative de Caris la religieuse d'ouvrir un hospice à part pour séparer les malades des bien portants. Les limites de la médecine de l'époque réfractaire aux apothicaires et guerisseuses condamnées en tant que sorcières. L'ingérence de l'église est très importante à cette époque, aucune décision ne peut être prise sans l'accord du prieur, les habitants sont lourdement taxés par le seigneur et par les religieux en échange de prières....
Ce roman plaira aux amoureux de romans historiques, il faut un peu de courage pour aborder ce lourd pavé de 1300 pages, pas très confortable à lire ou à transporter dans son sac...
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Audiolivre.
Près de 50 heures d'écoute. Je peux vous dire que ce livre m'a accompagner près d'un mois dans l'habitacle de ma voiture... Je n'y croyais pas au début. Allais-je réussir à tenir le rythme, à ne pas m'y perdre, à suivre l'histoire ? Et bien oui. Comme pour Les piliers de la terre. Bien que l'écoute fut un brin moins intéressant. J'avais eu un énorme coup de coeur, comme beaucoup, pour le premier opus. Ici, ça y était presque, mais au final, je me rends compte qu'il y manque quelque chose... Peut-être le personnage de Aliéna, ou bien celui de Jack le Bâtisseur... Il y a quand même des personnages que j'ai beaucoup apprécier, notamment, celui de Clarisse, jeune femme en marge de son époque, dévorer par la passion pour Merthin, qui est également un personnage phare de ce roman. Leur histoire d'amour est à briser le coeur. Et puis, l'histoire de bâtir des monuments qui marqueront l'histoire a déjà été exploité dans Les piliers de la terre, dont, un peu moins captivant également. C'est un peu du réchauffé... Mais il n'en reste pas moins que toutes ses histoires de pouvoir, de règlements de compte avec la religion et les faits historiques marquants de l'histoire ont été bien traités et au final, intéressants... Bref, je suis tout de même très contente de mon écoute, et je vais tenter Une colonne de feu, question de...
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Il aura fallu un confinement bis pour que je sorte enfin ce livre de ma pile à lire et pourtant j'ai beaucoup aimé les Pilliers de la Terre mais le nombre de pages d'Un monde sans fin a de quoi effrayé même pour de grand lecteur avec ses 1286 pages.


Et quel plaisir j'ai eu a retrouvé l'écriture de l'auteur à me replonger dans ce Moyen-Age et le fait de pouvoir bien lire en continu ce livre m'a vraiment fait du bien , qu'es ce que j'ai aimé suivre les personnages de Carris et Merthin que l'on suite durant une paire d'années; la première soigne des blessés dans un couvent et le second devient bâtisseur de cathédrales. J'ai vraiment aimé suivre également d'autre personnages comme ceux de Gwenda et d'autres sont cependant beaucoup moins agréable à suivre comme Ralph et Philémon mais qui montre également bien l'époque.

J'aime lire les romans historiques de temps à autres afin de plonger dans d'autres époques même si ici la période de la peste évoqué ressemble sur certains points à la nôtre.
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Ouf, ça y est, j'ai enfin terminé cette épopée de presque 1300 pages!! Mais, encore une fois Ken Follet sait faire voyager son lecteur. Certes, Les Piliers de la Terre restent tout même le chef d'oeuvre qu'il ne pouvait réitérer avec le monde sans fin mais un bel ouvrage romancé.
Je me suis donc retrouvée au Moyen-Âge, XIVème siècle, en Angleterre et plus précisément à Kingsbridge, en compagnie de Caris, Merthin, Ralph, Gwenda et les autres et je les ai suivi pendant quelques 35 ans, en traversant la terrible Grande Peste de 1348 qui ravagea l'Europe, en vivant dans les tavernes, sur les champs de batailles, dans les masures, mangeant du gruau et des ragouts avec quelques quignons de pain et buvant moultes chopes de bières anglaises et autres cidres... On vit au travers de l'amour qui porte nos personnages, de leurs mesquinerie, des trahisons, des petits bonheurs et des grands malheurs. On ressent la pression religieuse, celle des nobles sur les serfs, la montée du commerce, l'organisation en guilde, bref, Ken Follet nous raconte une société de très belle façon, dans sa violence, sa brutalité mais aussi dans ce qu'elle a de plus beau, l'espoir, le rêve, l'amour.
J'ai vraiment beaucoup apprécié, malgré quelques longueurs que l'on ne trouvait pas dans les Piliers, mais suivre les amours contrariés de Caris et Merthin, la volontaire Gwenda dans son combat pour une vie meilleure et les manoeuvres malsaines de Godwyn et Philémon fut un plaisir.
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Ce livre est une brique. Il m'aura fallu 8 ans pour que je me décide enfin à m'en emparer et un peu plus de 3 semaines pour en venir à bout. J'ai lu le premier opus Les piliers de la Terre quelques années auparavant et j'avais adoré ! Ayant laissé trop d'espace entre ces deux tomes, je n'ai pas ressenti de déception face à cette “fausse” suite. En effet, le lien entre ces deux romans est assez ténu puisque nous sommes plusieurs décennies plus tard, toujours à Kingsbridge et en compagnie de la descendance partielle et supposée de Jack le Bâtisseur…

Me voici donc plongée dans une fresque historique foisonnante et immersive peuplée de très nombreux personnages qui m'ont été, au départ, assez complexe à retenir. Je l'avoue, j'ai parfois eu quelques difficultés à les resituer ou me souvenir de leur rôle, surtout en ce qui concerne la myriade de personnages secondaires… L'idée de prendre des notes m'a même effleurée ! (Bien que je sois trop flemmarde pour cela…) Il m'a donc fallu un temps d'adaptation. le temps de me familiariser avec Kingsbridge, son architecture, ses ruelles et les noms et fonctions de ses habitants.

On suit ici la vie de 5 personnes en particulier : Caris, Gwenda, Merthin, Ralph et Godwyn appartenant tous à des castes spécifiques (marchands, paysans, noblesse, ecclésiastiques, etc.) et ayant suivis des voies bien différentes. Autour d'eux gravitent encore de nombreux autres protagonistes. le récit ne permet aucun temps mort, survient toujours un événement, un rebondissement. Et l'on est entraîné dans la vie de l'un ou de l'autre, alternant les points de vue en fonction des chapitres, leurs actions ayant des répercussions et leur destin lié autour d'un récit commun : la vie à Kingsbridge et son lot d'intrigues. Guerre, accidents, famine, épidémie, conflits : les maux s'abattent tels des couperets et en tant que spectatrice, je me suis souvent demandée quand les habitants pourraient enfin avoir la chance de trouver une vie paisible et sortir la tête de l'eau. J'avais envie de souffler un peu et j'ai parfois trouvé l'ambiance pesante, néanmoins difficile de m'arrêter une fois immergée dans ma lecture, la nécessité d'en connaître la suite ayant raison de moi.

Le récit alterne entre descriptions, narrations et dialogues, ce qui en fait une lecture fluide et plaisante, les chapitres ne sont ni trop courts, ni trop longs, et les pages défilent sans que l'on ne s'en rende compte ainsi que les années. D'enfants, ils deviennent adolescents puis adultes chacun poursuivant son propre destin, ses propres rêves, partagés entre joie, crainte, déception et coup du sort. La quatrième de couverture n'est pas forcément fidèle au contenu du récit, en effet, le secret censé les “lier” flotte dans leurs souvenirs, sans pour autant prendre une place prépondérante. Il ne ressurgit qu'aux dernières pages du roman.

Je n'ai pas trouvé de longueurs, bien que mon esprit n'ait su conceptualiser comme il se devait les nombreuses descriptions architecturales dont regorgent le récit. Seul bémol selon moi, le nombre trop important de personnages, je ne me suis pas attachée aux protagonistes comme je l'aurais souhaité. Ces derniers sont d'ailleurs assez manichéens : il y a d'un côté les méchants, de l'autre les gentils. Et l'on se retrouve face à de véritables méchants, sans nuances, que l'on finit par apprécier détester ou qui nous exaspèrent jusqu'à la toute fin...

Hormis cela, je suis ravie de mon voyage au temps des Cathédrales et c'est toujours un réel plaisir de lire du Ken Follett !

Challenge Les Globe-Trotteurs
Challenge ABC 2020-2021
Challenge Multi-Défis 2021
Challenge Pavé 2021
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Ce livre, je dois dire que j'ai mis un temps fou à le lire, non pas parce qu'il est inintéressant, mais parce qu'il est vraiment très très très gros (et qu'avec mon job d'été, ben... je n'ai plus vraiment le temps de lire...).

L'histoire d'Un monde sans fin est vraiment très sympa : on entre totalement dans une autre époque, le Moyen-Age... C'est tellement différent de ce qu'on pourrait vivre, mais pourtant on s'identifie et reconnait facilement nos connaissances dans les différents personnages ! C'est très agréable de se sentir à sa place dans un livre !



On s'attache vraiment très facilement aux différents personnages, ils sont nombreux mais facilement reconnaissables. Ils sont vraiment crédibles : je ne doute pas qu'ils puissent exister dans la vraie vie !



L'histoire est également très crédible. On voyage vraiment très facilement dans le temps et l'on ne peut pas douter que ce qui se passe aurait pu être vrai. D'un autre côté, le Moyen-Âge est une période tellement à part que quand une histoire se situe à cette époque, il est difficile de dire qu'elle ne peut pas être crédible...

Il y a de l'action et des sentiments. Je crois que chacun peut trouver son compte dans Un monde sans fin. Bon l'histoire est à dominante policière mais même si on est pas fan du genre, l'histoire reste magnétique.

Ce livre est comme une micro-société : les personnages sont tellement différents les uns des autres et leurs histoires également qu'on a l'impression que tous ce qui pourrait ce passer se passe dans Un monde sans fin. C'est très étonnant mais c'est très agréable !



Mon seul regret est le nombre de page... 1300 c'est beaucoup trop, du coup la qualité du papier s'en ressent et c'est dommage. Sans compter qu'un livre qui "traine", ce n'est pas ce que je préfère... Trois semaines à le lire, c'est un sacré record ! Ça aurait pu me dégouter de l'histoire (mais ce n'est pas le cas !).

Cependant, je ne vois pas du tout quels passages Ken Follett aurait pu supprimer... Tout dans ce livre est utile, c'est vraiment très agréable !

Si vous n'avez pas peur des pavés, n'hésitez pas, Un monde sans fin est un livre très sympa !
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
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C'est avec grand bonheur que je me suis plongée dans cette fresque historique de Ken Follett, qui nous ramène en Angleterre 200 ans après les « Piliers de la terre » et qui nous fait voyager pendant 37 ans au moment de la guerre entre la France et l'Angleterre et l'épidémie de Peste.

4 enfants, un chevalier, une poursuite meurtrière et une lettre très mystérieuse. 4 ingrédients qui sont le point de départ de ce roman.
10 ans ont passé et nous retrouvons les 4 enfants Gwenda, Caris, Merthin et Ralph. Nous allons suivre leur histoire pendant 27 ans, pendant lesquelles, bonheur et malheur, espoir et déception vont se succéder dans temps morts.

Comme dans « Les piliers de la Terre », les personnages sont nombreux mais ne présente qu'un voire deux traits de caractères, pas plus et sont soit du coté des bons soit du coté des mauvais.
Ils sont tous attachants pour les gentils et très détestables pour les méchants.
J'ai surtout vibré grâce à Caris, jeune femme indépendante qui rêve de devenir médecin alors qu'au moyen-âge seuls les prêtres peuvent obtenir ce titre. La vie ne lui épargne rien pendant les ¾ du livre. Dès que le bonheur s'approche très prêt d'elle, bang !!! un rebondissement que l'on ne voit pas venir et bonjour tristesse et déception. Mais j'ai adoré le fait qu'elle ne baisse pas les bras et se bat pour ses idées jusqu'au bout.
J'ai aimé aussi Merthin dont le destin est lié à Caris. Je l'ai trouvé très attachant. Lui aussi à un but et ferra tout pour l'atteindre malgré les embuches et les déceptions.
J'ai aussi suivi Gwenda avec plaisir qui ferra tout pour que Wulfric l'épouse. J'ai adoré son courage et sa détermination.
Par contre, m'ont fortement agacé Ralph, trop imbu de sa personne qui ne veut que réussir à n'importe quel prix, Godwin, prieur fourbe et manipulateur et Philemon dont l'espièglerie et la fourberie m'ont très fortement sorti par les yeux.

Au fil de la lecture, on ressent tout le travail, encore une fois, de recherche sur cette époque et particulièrement sur les méthodes médicales qui nous paraissent aberrantes et dénuées de tout bon sens, surtout face à la peste. On se rend bien compte du poids de l'église, de son pouvoir et aussi de sa « connerie ».
Le style de l'auteur est toujours aussi agréable à lire. Il sait y faire pour que toutes les descriptions passent bien et ne soient pas barbantes.
Par contre, en ce qui concerne la lettre, ne vous attendez pas à la voir surgir très vite; elle n'est la que pour servir les desseins de certaines personnages vers le milieu du livre et ensuite vers la fin.

Donc j'ai adoré cette nouvelle fresque de Ken Follett qui se finit bien pour les personnages gentils après énormément d'embuches et de rebondissements et qui n'épargne pas les méchants.

J'ai un seul conseil : N'ayez pas peur du nombre de pages de ce livre. Foncez. Vibrez avec les personnages. Soyez triste avec eux. Plongez dans ce roman.
Lien : http://les-lectures-de-didin..
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