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3,94

sur 2788 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un titre qui m'a déjà intriguée... et au final un roman qui doit placer les bases d'une série.

Un livre assez intéressant. Il se situe dans le Paris du XIXème, avec une société instable et des évolutions technologiques assez importantes pour l'époque.

Un personnage principal Valentin Verne très travaillé. Un jeune homme tourmenté et cultivé, mais un policier de génie.
Valentin, malgré un côté très mystérieux arrive a attirer toutes les sympathies.

L'intrigue de ce roman, se tient bien et est prenante, même si on se doute, mais sans certitudes, assez vite d'un pan de l'histoire.

J'ai apprécié la plume de l'auteur, fluide et agréable. J'ai trouvé ce roman très bien documenté et en parfaite adéquation avec l'époque ou se déroule l'histoire.

Je vais surveiller avec attention les prochains écrits de l'auteur.
Une lecture très plaisante, et j'ai hâte de voir ou va nous mener une suite éventuelle.
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Paris 1830. La folle espérance des « trois glorieuses » a porté au pouvoir les affairistes ventripotents de la monarchie de juillet. le peuple de Paris retourne dans ses quartiers miséreux en se demandant, non sans raison, s'il n'a pas été le dindon de la farce.
Le Paris du début du XIXème siècle est encore un Paris moyenâgeux avec ses lacis de venelles nauséabondes, ces cloaques à ciel ouvert. C'est là qu'un assassin pervers surnommé « le vicaire », trouve en toute impunité, ou presque, ses proies : des enfants à qui il va faire connaître l'enfer.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des moeurs, traque ce meurtrier insaisissable. Un lien obscur relie ces deux hommes, au point que ce pistage devient l'ultime but de la vie de Valentin. Son obsession.
Parallèlement à cette poursuite sans fin, son chef le charge de mener une enquête peu banale sur le suicide de Lucien Vergnes, dandy chic et bohème, qui recèle une grande part de mystère.
Cette enquête le fera courir aux quatre coins de Paris, de ses quartiers les plus rupins à ses bas-fonds sordides. Elle révèlera une ténébreuse affaire de folie de mort, de miroirs et de tentative de déstabilisation politique. Valentin y risquera à la fois sa vie et son honneur.
Valentin est un personnage complexe qui cache, derrière une froideur de marbre, une souffrance cachée. Son visage de jeune dieu grec ne rend pas insensibles les femmes dont il se moque éperdument. Il est violent pour ne pas dire sauvage, et s'affranchit aisément des règles. Déterminé et déductif, ses connaissances en médecine et en chimie lui permettent d'appréhender ces crimes d'un genre nouveau qui utilisent la pointe du progrès scientifique.
Un personnage solitaire qui fascine et inquiète. Il verra débarquer dans sa vie en rugissant comme une lionne la jeune et jolie Aglaé. Parviendra-t-elle à soigner ses blessures secrètes ?
Un flic iconoclaste plongé dans une intrigue qui m'a mené par le bout du nez (mais je suis tellement naïf) dans ce XIXème siècle que j'aime tant. Un premier tome d'excellente facture. Vraiment ! Je n'ai pas boudé mon plaisir.

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Un bon "polar" avec un cadre historique précis, ici sous la Restauration, qui nous permettra de nous instruire en cours de lecture sur cette partie de notre histoire, ce qui est un aspect que j'apprécie dans ce type de roman.
J'ai plutôt bien aimé cette lecture avec une pointe de frustration quand même.
Il y a de bonnes choses avec des personnages bien dessinés et notamment Valentin, un contexte intéressant et une enquête qui est suffisamment travaillée pour maintenir l'intérêt tout du long.
Ajoutons des protagonistes au profil scientifique et à la pointe des connaissances de leur époque, un peu de sentiments et il ne manque pas grand chose, ça se lit bien.
Cela-dit j'ai évoqué un peu de frustration car il y a des aspects que j'ai un peu déploré comme :
Le fait que l'auteur nous embarquait dans trop de directions à la fois.
Le fait qu'il y ait pas mal de facilités dans le récit.
Le fait que notre héros ait neuf vies comme les chats et deux ou trois autres petites choses.
Ceci étant ce n'est pas trop outrancier et l'ensemble tient parfaitement la route dans un style agréable et semble être le prélude à une possible série en devenir, pour conclure c'était un bon moment de lecture.
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Embarquement pour… ben, non, pas pour Cythère, loin de là : pour un roman historique pas très sexy, et même un peu sinistre. 
1830, incertitudes pour le nouveau régime de Louis-Philippe : trainent encore dans les recoins certains carlistes (pro-Charles X) bonapartistes et des républicains en éveil.
Parallèlement au changement de régime, à la fois dur et mesuré, la science fait ses premiers pas, avec l'hypnose, et le développement économique.
Pourtant, Paris, qu'Éric Fouassier nous fait visiter avec les noms des rues et les quartiers de la Monarchie de Juillet, se divise entre très riches bourgeois et extrêmement pauvres.
Parmi eux, un enfant de huit ans, orphelin, devient l'esclave d'un supposé Vicaire, en réalité suppôt de Satan, qui va si loin dans les sévices que l'enfant se croit coupable, puis, lui qui est confiné dans une cave, essaie de se protéger en se réservant un territoire secret dans son cerveau. Apparemment docile quand il reçoit coups et sévices sexuels, il survit quand il se rend compte que son maitre ne comprend pas son changement secret.
Tous ces passages, objet du journal de Damien, dont l'amitié qu'il rencontre avec une adorable petite souris sa confidente, nous soulèvent le coeur tout en nous donnant une image claire du Mal véritable.
Malheureusement, l'auteur bifurque vers un roman de cape et d'épée, fait apparaitre Vidocq, l'ancien bagnard devenu policier, puis détective privé mâtiné d'indicateur.
Notre héros Valentin Verne est poursuivi, échappe de peu aux guet-apens, se défend, combat… et nous lasse.
Rebondissement, éclaircissements, corruption policière.

Comme une suite est prévue, nous ne connaitrons pas l'issue de la traque qu'il organise.

Beaucoup de bruit pour peu de choses, à part l'analyse du Mal supporté par un innocent et la visite d'un Paris qui n'est plus.
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Paris, Monarchie de Juillet. La tête de Louis XVI est tombée de même que celle de Marie Antoinette et la couronne qui orne la tête de Louis Philippe semble être en équilibre précaire. Les Bourgeois ont tiré profit de la Révolution tandis que le peuple n'y a pas gagné grand-chose. Bêtes de somme, crèves la faim, prostitués, rien n'a vraiment changé, rares sont ceux qui arrivent à vivre dignement. La colère est latente et le moindre évènement menace de mettre de nouveau le feu aux poudres. C'est dans ce contexte historique tendu et savoureux qu'évolue Valentin Verne, membre de la police des moeurs puis de la police de la sûreté. Une institution à la réputation sulfureuse qui a intégrée sans broncher dans ses rangs cet inspecteur solitaire et mystérieux.

Ce comportement n'est pas gratuit, Valentin n'a que faire de sa réputation, il a un but : arrêter le Vicaire, un monstre qui hante les rues de Paris et les pensées de Valentin. Il mène cette enquête en parallèle de son travail. Justement une de ces enquêtes va se révéler plus prenante que les autres celle sur la mort d'un gamin de la bourgeoisie. Valentin va alors se retrouver aux prises d'une affaire labyrinthique.

Pas de rebondissements haletants mais plutôt une toile de fond tissée avec le talent d'une veuve noire. Les révélations surprenantes vont bon train et le cadre est sombre à souhait. La tension va crescendo tandis que les pièces du puzzle s'assemblent.

Le Paris de l'époque est rendu avec talent par Eric FOUASSIER qui décrit le contexte historique avec justesse et passion. J'ai appris de nombreuses choses sur le quotidien de l'époque. L'auteur maîtrise parfaitement son sujet et inscrit son histoire dans la grande Histoire. C'est ainsi que j'ai croisé le célèbre Vidocq personnage charismatique et tout en contraste. Mais c'est aussi une époque d'innovations et de découvertes et l'auteur n'est pas avare de ses connaissances sur le sujet ce qui est toujours très appréciable.

Je n'en dirai pas plus sur les personnages et l'histoire de peur d'en dire trop et de gâcher le plaisir. J'ai beaucoup aimé cette enquête, la première d'une série semble-t-il, et surtout le contexte historique sans anachronisme ni fausse note. Un vrai dépaysement !
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1830, début de la monarchie de Juillet. Charles-Marie Dauvergne est devenu riche et fête son élection à la chambre des députés. Au cours de la soirée, son fils Lucien meurt. le suicide ne fait, presque, aucun doute.
Valentin Verne, un inspecteur de la Brigade des moeurs aux méthodes peu orthodoxes, hante les bas-fonds parisiens à la recherche du Vicaire, un pédophile notoire. Étonnamment, c'est lui qui est choisi par le commissaire Flanchard pour épauler la Sûreté, un service de police très secret, et mener l'enquête sur la mort de Lucien Dauvergne.

Je ne suis pas un grand fan des romans, et donc des polars, historiques. Mais je dois reconnaître que je me suis laissé porter par le récit d'Éric Fouassier. L'intrique est double : la recherche de la vérité sur la mort du fils Dauvergne et la chasse du Vicaire. Et même triple : qui est ce Damien qui intervient dans la narration ?
Tout ne sera pas résolu lorsqu'on tournera les dernières pages, ce qui laisse augurer une suite...
Le contexte historique, politique et scientifique semble approfondi et bien documenté. Cela donne du corps et de la crédibilité au roman.
Les personnages ont de la profondeur : l'inspecteur Verne, qu'on soupçonne plus complexe que l'image qu'il donne ; Félicienne, la soeur du défunt, effacée en apparence, mais combative ; Aglaé, la jeune et belle comédienne, qui n'hésitera pas à s'engager. Mais que vient faire Vidocq dans cette affaire, sinon apporter des solutions trop simplistes...
L'écriture est facile à lire, même si l'utilisation d'un vocabulaire d'époque peut dérouter. La narration est bien rythmée, alternant les points de vue et distillant à petit feu les découvertes. le livre se lit aisément, agréablement.

Un bon polar historique.


Lien : http://michelgiraud.fr/2024/..
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Pour une fois le résumé de la 4ème de couverture reprend assez bien les tenants et aboutissants de ce livre.

Et c'est vrai que chaque personnage cache, pour un temps au moins, sa véritable personnalité, ou son histoire. Cela permet au récit de rebondir régulièrement et d'accélérer l'action.
Valentin par exemple, se découvre petit à petit, à la fois excellent policier, féru de sciences, ami de Vidocq et malgré tout torturé, pas si lisse que cela.

Cette action, elle se déroule aussi dans le Paris d'une époque particulière, celle de la monarchie de Juillet qui est parfois l'alibi pour évoquer des faits et lieux qui s'ancrent dans une vérité historique. Ce n'est pas trop lourd ni exagéré, ce qui rend le texte à la fois instructif et réaliste.

L'énigme est finalement double : d'abord celle de ces morts qui sont en lien avec des réseaux politiques et qui impactent potentiellement le régime, puis celle du Vicaire, cet homme qui séquestre de jeunes enfants et que Valentin recherche depuis si longtemps.

Malheureusement, si la première énigme trouve son épilogue à la fin du récit, celle du Vicaire nous laisse sur notre faim. Elle annonce forcément une suite aux aventures de Valentin Verne, et il vous faudra patienter (et moi aussi par la même occasion) pour savoir s'il arrivera à confondre ce mystérieux personnage et surtout comment !

En attendant, ce livre se lit avec beaucoup de plaisir, l'action y est constante et l'atmosphère de l'époque bien appréhendée.
Cela vaut bien 4 étoiles sur mon échelle de lecture.

Retrouvez d'autres avis sur d'autres lectures sur mon blog :
https://blogdeslivresalire.blogspot.com/
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Nouvelle série et changement de décor par rapport à Hunger Games. En ce moment, quoique je choisisse comme style de roman, ce sont rarement des one-shot. J'avais repéré ce livre lors d'une critique positive sur Babelio (même si je ne lis jamais tout pour éviter les spoils) et son titre m'avait intrigué. Avant de pouvoir l'acheter, je l'ai trouvé disponible en audio, j'ai donc sauté sur l'occasion (audio de 10h40).

Difficile de décrire ce que je pense de ce roman. le début est intrigant malgré le fait qu'on change de narrateurs. Après quelques pages, on apprend qui ils sont, à part le tout premier du prologue. Nous commençons cette histoire avec un miroir. Va-t-on la finir avec un autre ? Que sont ces miroirs mystérieux ? En parallèle de l'enquête de Valentin Verne, nous avons le journal de Damien, un jeune garçon prisonnier du Vicaire. Valentin Verne doit faire la lumière sur un suicide étrange. Ses pas l'amènent dans différentes directions. Est-ce un suicide ou un meurtre ? À force d'investigations, il se frotte à différents milieux, certains plus aisés que d'autres mais toujours animés de la même volonté, s'enrichir au profit des autres. Au fil des pages, nous en apprenons plus sur Valentin et son enquête, sur Damien et son calvaire. Les évènements commencent à s'accélérer vers la fin de ce premier tome, surtout quand les recherches de Valentin atteignent certaines sphères qui ne veulent pas être dérangées. J'ai beaucoup apprécié cheminer à ses côtés dans le Paris du 19ème siècle avec en prime, certaines expressions de l'époque. On ne peut pas dire que je me sois prise d'amitié ou de sympathie pour Valentin, tant il est particulier, mais son enquête et ses répercussions m'intriguaient au plus haut point. J'ai imaginé différentes fins mais je ne m'attendais pas du tout à celle-ci. J'avais vu venir certaines choses mais j'ai été complètement surprise par bien d'autres. du coup, le tome 2 m'intrigue d'autant plus. Que va-t-il se passer pour Valentin ? Va-t-il uniquement continuer la traque du Vicaire ? Ou avoir de nouvelles enquêtes très spéciales à résoudre ? En tout cas, j'ai apprécié découvrir le personnage d'Aglaé et le Paris du 19ème siècle que l'auteur a su nous brosser dans les moindres détails, même la part historique y est présente.

Comme vous l'aurez compris, malgré un début un peu long et confus, ce premier tome m'a conquise et il me tarde de retrouver Valentin dans de nouvelles aventures. le style de l'auteur est agréable avec quelques termes de vieux français bien appréciables et son histoire complexe à souhait, tout ce que j'aime. Pour les amateurs de romans policiers, je vous conseille donc de découvrir ce premier tome et le style de son auteur, dont c'était ma première lecture car je ne le connaissais pas. Pour ma part, j'enchaîne avec le tome 2.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Il y a des lectures qui sont difficiles à chroniquer, le bureau des affaires obscures d'Éric Fouassier en fait parti. Je précise que cela n'est pas dû au travail de l'écrivain, mais aux circonstances de la vie. Je n'ai pas pu me concentrer et apprécier ce livre comme je l'aurais souhaité et c'est bien dommage.
Roman historico-policier, ce livre nous plonge dans le Paris de 1830, alors que le pays est divisé entre différents courants politiques opposés au gouvernement de Louis-Philippe, Valentin Verne, jeune policier, traque le "vicaire", un dangereux criminel coupable de garder captifs des enfants sur lesquels, on le devine, il se livre à des actes odieux.
Il se retrouve muté à la brigade de sûreté, créée par le célèbre Vidocq où on lui demande d'enquêter sur le suicide d'un fils de bonne famille, mort qui paraît suspecte,  même si les faits ne laissent guère de place au doute.
Éric Fouassier entraîne son lecteur dans un récit rythmé sur les pas d'un intrépide enquêteur qui n'hésite pas à mettre sa vie en danger et aux méthodes d'investigation digne de son mentor.
Le bureau des affaires obscures, titre énigmatique pendant une bonne partie de ma lecture, appelle sans doute une suite, je peux me tromper, mais je pense que les enquêtes de l'inspecteur Verne ne font que commencer...


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J'ai découvert Eric Fouassier avec «Par deux fois tu mourras » que j'avais adoré. Il me tarde d'ailleurs de lire la suite «La fureur de Frénégonde ». Cette fois-ci, avec « le bureau des affaires occultes », l'auteur nous embarque dans un polar historique, genre que j'aime énormément comme vous le savez !

L'intrigue se déroule dans le Paris du XIX siècle, plus exactement à l'automne 1830. Encore sous le choc des journées révolutionnaires, la capitale est fiévreuse et le gouvernement de Louis-Philippe essaye de juguler l'opposition particulièrement virulente.

Valentin Verne, jeune inspecteur du service des moeurs, traque inlassablement le Vicaire, criminel abject coupable d'enlever des enfants qu'il garde captifs et sur lesquels il se livre à des actes odieux. Rien n'a plus d'importance pour Valentin que cette traque.
Raison pour laquelle, lorsqu'il se trouve muter à la brigade de sureté, fondée en son temps par le fameux Vidocq, Valentin n'est pas particulièrement ravi. Mais le devoir étant ce qu'il est, celui-ci va devoir élucider une série de morts suspectes qui seraient peut-être d'ordre à déstabiliser le pays.

Nous voilà plongés dans une double enquête : d'abord celle de ces morts étranges en lien avec l'opposition politique et celle du Vicaire, dont il est hors de question pour Valentin d'abandonner la traque.

L'auteur nous plonge avec talent dans ce XIX siècle particulièrement trouble lié aux différents courants politiques opposés au pouvoir de Louis-Philippe. Époque durant laquelle la science progresse particulièrement vite et voit apparaitre de nouvelles pratiques comme l'ésotérisme et l'hypnose.

Le personnage de Valentin Verne, féru de chimie et de médecine, cultivant un gout pour le mystérieux et l'irrationnel, est particulièrement bien travaillé par le romancier. Bien sûr, nous sommes encore en face d'un policier solitaire, sombre et particulièrement torturé.
Mais l'auteur nous le rend si attachant avec son visage d'ange que nous sommes prêts à le suivre n'importe où, jusqu'au bas fonds de Paris !
Mais que cache ce visage angélique emprunt parfois d'une férocité déroutante ? Quel plaisir également de retrouver le personnage de Vidocq n'hésitant pas à se découvrir pour aider son ami.

Alors oui j'ai adoré ce roman ! J'ai pris un immense plaisir à le lire.
Tous les ingrédients du polar historique sont présents et sincèrement l'écriture d'Eric Fouassier est plus qu'agréable à lire. Il ne manque pas de talent et l'ont sent bien toute la recherche historique qu'il a accompli.

Inutile de vous dire que la fin m'a ravie car elle nous permet de découvrir que ce roman n'est que le début des aventures de Valentin Verne ! Monsieur Fouassier, vite la suite !
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