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EAN : 9782863744772
200 pages
Mazarine (14/03/2018)
3.12/5   21 notes
Résumé :
Avec ses 40 ans désormais bien tapés, une certaine nostalgie du body de bébé, son stress permanent, un semblant de crise de ménopause mentale, la Mère coupable voit surgir une envie de peut-être tout recommencer, en amour comme en benne de couches sales. Baby or not baby ? Telle est sa question. Ses enfants désormais plus grands, elle a le sentiment de ne plus servir à rien. Sauf à faire cuire des pâtes.
Maman : individu givré qui peut rester debout devant so... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Le retour de la mère coupable de Caroline Fourment m'a été envoyé par net galley et les éditions Fayard.
Cet ouvrage s'adresse à moi car j'ai plus de quarante ans (presque 44) et je ne souhaite plus avoir d'enfant. A priori je suis donc tout à fait la cible :)
Je n'avais pas lu le premier volet : la mère coupable mais entre nous, ce n'est pas très gênant :)
J'ai aimé ce livre car cette envie de faire le petit dernier, je me la suis posée quand j'ai eu quarante ans. je n'ai qu'un enfant, alors second après 40 ans ou pas ? Non, définitivement pas, le premier était beaucoup trop âgé pour que je remette ça !
Du coup j'ai demandé ce livre en me disant qu'il me parlerait et oui c'est bien le cas mais je n'ai pas trouvé ça exceptionnel.
Le retour de la mère coupable c'est un peu vous et moi, à la quarantaine quand les enfants grandissent et qu'on continue à se poser des questions.
J'ai souri par moment, j'ai aimé ma lecture mais je doute d'en garder un grand souvenir.
Cela se lit bien, ça peut être une bonne idée de cadeau, mais je n'ai pas été hyper convaincue par ma lecture.
Je met trois étoiles, c'est un livre qui fait sourire et met de bonne humeur, c'est déjà bien vu le monde dans lequel on vit :)
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La Mère Coupable nous déculpabilise ! Même caroline Ingalls va se rhabiller ! LA Mère Parfaite N'EXISTE PAS ! Qu'on se rassure !
Voici donc le second tome des aventures de la Mère Coupable. Les lessives, les ados en crise, les pancartes de la deuxième, les états d'âme du mari, les courses, la bouffe et le frigo … du quotidien quoi ! Alors, il faut faire face parce qu'au milieu de ce désordre, il y a la quarantaine qui dérègle les neurones. Les rides, aïe, les cheveux blancs, aïe et ces fichues prises de conscience : il n'y aura plus de petits à la maison, plus de bébé, une page qui se tourne, la vieillesse qui frappe à la porte. Un cap. C'est difficile ! Rien n'épargne cette mère imparfaite mais dévouée.
Caroline Fourment nous fait rire. Lucide et objective, elle décrit les affres de nos vies, s'interroge, surmonte. C'est vous, c'est nous. Entre le mari et les enfants, il faut jouer des coudes, ne plus s'oublier. C'est drôle. Drôle et vrai.
Une lecture qui fait un bien inouï au moral.
Lien : http://aufildeslivresblogetc..
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La mère coupable je vous en avez parlé l'année dernière, c'était cette maman un peu débordée par ses trois enfants, son mari et son ex qui tentait de revenir. Une maman un peu folle, lunatique mais dynamique, rigolote mais qui pète souvent les plombs et qui vit de lessives, de repas et de mojitos. C'est un peu la maman qu'on connait tous/qu'on a tous, qui se prend la tête mais qui adore finalement ses enfants et sa famille, qui tente d'être parfaite mais qui sait bien que c'est impossible.

Caroline Fourment nous livre, dans le retour de la mère coupable donc dans ce tome la suite des aventures de cette drôle de famille entre la mère coupable, monsieur papa, miss nut, miss tarte aux maroilles (l'enfant du milieu qui brandit tout le temps des ‘'pancartes'' d'ailleurs j'adore cette expression et je pense que je vais commencer à l'utiliser aussi) et John Rambo le petit dernier. Il y a aussi quelques interventions de l'ex, Alex et de la Tante Coupable, compatissante mais encore sans enfant.

Ce récit est donc à la fois vrai, sensible et sensibilisant mais aussi débordant d'humour et de joie notamment avec les hashtags que propose l'auteure ou les chansons de la Compagnie Créole qui accompagnent notre lecture. le pari de rempiler une deuxième fois est largement réussi.

Conclusion :
Comme pour le premier tome, la magie du Retour de la mère coupable a opéré et j'ai éclaté de rire à presque chaque chapitre. Je suis vraiment ravie d'avoir lu la suite du livre de Caroline Fourment et même si je ne suis pas maman j'arrive paradoxalement à me reconnaître dans la mère coupable. Une bonne lecture détente qui fait relativiser et qui dédramatise le rôle et les prérogatives liés à la maternité. Cette lecture est un coup de coeur et je vous le recommande !

Foncez vraiment pour ce livre, je vous garantis des éclats de rire en masse entre les traits d'esprits et les jeux de mots
Lien : http://leschamoureuxdeslivre..
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Comme je vous le disais en début d'article, l'an dernier La mère coupable avait été une très bonne surprise. J'étais donc impatiente de lire ce tome 2 !

L'an dernier, je n'étais pas mère mais Caroline Fourment m'avait emporté dans son récit de mère coupable. Cette année, je ne suis toujours pas mère et j'avoue que je me suis sentie moins concernée par ce tome 2. En effet, notre Mère Coupable fête son 40 + 1 et sent bien que même si elle aurait bien aimé faire son quatrième enfant, en vrai, elle n'a pas envie non plus. Ce n'est donc pas une situation qui me parle mais ce n'est pas pour autant que c'est mauvais. D'ailleurs, ma maman le lit (ou l'a fini ?! Elle ne me l'a pas dit la cachottière !) et se sent carrément en phase avec ce livre ! Preuve en est que c'est seulement une question de génération.

Le retour de la #MèreCoupable est un roman court (200 pages !) qui se lira très vite. Je l'ai lu en une soirée et je me suis quand même bidonnée. Oui, parce que même si notre Mère Coupable est plus mélancolique, il lui arrive quand même des situations bien cocasses. Cette année, pas de Bonnie Tyler et de Total eclipse of the heart, place à la Compagnie Créole dans les lieux confinés ! Attendez-vous à pousser la chansonnette en lisant ce roman.

En bref, le retour de la #MèreCoupable s'adressera plus à un public de maman qui ne veut plus d'enfant qu'à un public plus jeune. Caroline Fourment est toujours aussi drôle et ce roman se lira avec plaisir pour une lecture sans prise de tête ! A découvrir dès aujourd'hui dans vos librairies !


Lien : https://popcornandgibberish...
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Je n'avais pas lu le premier opus, aussi j'étais heureuse de découvrir enfin cette mère coupable dont tout le monde avait parlé lors du premier tome.

La mère coupable a un peu plus de quarante ans, elle s'interroge sur un "petit dernier" alors que ses enfants sont déjà grands et fait un petit bilan des plus des moins et (surtout) des "peut-être".


C'est une lecture sympathique, simple et fluide, qui nous fait une liste de tout ce qu'est une vraie maman. On sourit, on se reconnaît, on s'amuse des situations décrites.

Néanmoins, on retrouve un peu tout ce que l'on trouve ici ou là sur les blogs de mamans, et il n'y a rien de très surprenant. Un livre qui se lit rapidement, qui ne me laissera pas un souvenir impérissable, mais qui est à mon avis tout indiqué sur la plage pour une lecture sans prise de tête! ^^
Lien : http://mademoisellemalenia.o..
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Une oppression d’autrui, l’accablement des autres comme celui de la sage-fermière et de sa collègue, qui ne cessera jamais de vous hanter, comme le mauvais œil au-dessus de votre tête.
Comme si devenir mère se méritait…
Comme si aucune erreur n’était permise…
Comme si l’amour ne suffisait pas.
 
Je n’ai pas apprécié l’allaitement, je l’ai arrêté rapidement, mais je n’ai pas moins aimé ma fille.
Je n’ai pas accepté qu’elle porte ce t-shirt, je l’ai rendu rapidement, mais je n’ai pas arrêté de boire quelques mojitos le samedi soir pour autant.
Et pour cause.
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J’avoue, je n’avais jamais imaginé qu’en devenant mère j’allais devenir, au-delà de l’amour maternel, cette machine éternelle.
Car, après cet épisode de la machine à traire… Je suis devenue aussi la machine à écrire, la machine à laver, la machine à coudre, la machine à sous, la machine à pâtes, la machine à repasser.
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Mais madame la sage-fermière n’était en aucun cas prête à me laisser brouter en paix dans ma pâture.
Il aura fallu que je lui fasse manger de la vache enragée pour qu’elle me laisse m’enfuir avec mon petit veau.
Adieu veaux, vaches, cochons, couvées…
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Un sentiment de fierté et de joie absolues d’avoir mis au monde ce petit machin et, dans le même temps, l’impression de ne pas être toujours à la hauteur de ce cadeau inestimable que la vie m’a offert.
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Je l'accueille de ma voix la plus affectueuse possible, même si, toujours au fond de moi, c'est la voix de Regan, la petite fille possédée dans le film L'Exorciste, qui a envie de s'exprimer.
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Video de Caroline Fourment (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Caroline Fourment
Caroline Fourment revient pour un second opus de ses aventures en tant que maman, pour notre plus grand bonheur !
Avec ses 40 ans désormais bien tapés, une certaine nostalgie du body de bébé, son stress permanent, un semblant de crise de ménopause mentale, la Mère coupable voit surgir une envie de peut-être tout recommencer, en amour comme en benne de couches sales. Baby or not baby ? Telle est sa question. Ses enfants désormais plus grands, elle a le sentiment de ne plus servir à rien si ce n?est cuire des pâtes.
Et voici que réapparaît dans une routine peuplée de lessives et de pantoufles qui traînent, Alex, l'ex. de quoi lui donner envie de se réfugier sur l'île paradisiaque que toutes les mères au bord du gouffre chérissent : Belle-Île-en-Mères-coupables.
Pourquoi regretter les dents de lait perdues, les premiers pas de nos chérubins... quand il reste tant encore à vivre et à partager ?
+ Lire la suite
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