Le principal apport de l’ouvrage d’Eric Fournier est de montrer la discordance entre l’archétype littéraire et la situation des femmes juives telle qu’elle est révélée par les archives.
Lire la critique sur le site : LaViedesIdees
L’étude, originale et audacieuse, conduit de l’avènement de la «belle Juive», depuis la traduction en 1820 d’Ivanhoé de Walter Scott, qui sublime Rébecca, jusqu’à la proposition en 1938 de Montandon, prêt à mutiler le nez des Juives pour tuer leur beauté.
Lire la critique sur le site : Liberation