Journal d'Anne Frank

Qui pourrait ne pas être touché par ce témoignage si vivant d'une toute jeune fille qui fut tuée par le régime des nazis? Une telle soif de rires, de bonne humeur, de connaissances, de vie, tout court, tout cela, coupé en plein vol par la folie des hommes?! Quel miracle qu'elle soit restée, malgré tout, vivante, car lue, non oubliée, tant d'années plus tard ! La sauvagerie n'a pas vaincu, tant que nous serons là, nous autres humbles lecteurs, pour poursuivre son oeuvre en la transmettant à nos enfants, petits-enfants. Pour moi, ce journal intime fait partie de ses indispensables lectures pour tout jeune, un bagage aussi bien culturel que moral, une aide à la maturation de nos fruits encore verts que sont nos enfants, pas encore adultes.

J'ai lu ce livre à 13 ans et je n'ai jamais pu oublier la sensation qu'il avait provoquée sur la jeune adolescente que j'étais.

Vingt-cinq ans plus tard, lors d'une relecture, les sentiments sont les mêmes, la force de l'écriture est poignante!

Pour ne jamais oublier!

J'ai détesté ce bouquin que j'ai lu quand j'avais 15 ans. Je me souviens que j'ai eu un mal fou à le finir.

Je n'ai pas aimé ce livre pour diverses raisons. Déjà à cause de son écriture que j'ai trouvé plate et sans caractère, et ensuite pour ce qu'il raconte. C'est à dire pas grand chose... Si ce n'est la vie cachée de ces gens-là, et SURTOUT les états d'âme d'Anne Franck qui sont, je trouve, sans grands intérêts.
Je dois en effet avouer que le fait qu'elle ne s'entende pas avec sa mère, sa soeur, ou encore monsieur un tel, ou le fait qu'elle ait le béguin pour le jeune garçon, me passe carrément au dessus de la tête.
Tout autant que les pages mélangées de son journal ou encore l'épluchage des légumes d'ailleurs.

Certes parfois elle a peur, elle se demande si..., mais cela passe si vite, que là aussi je n'ai rien ressenti. C'est triste à dire mais sincèrement ce livre m'a laissée de marbre.

D'accord elle a eu une mort atroce et j'aurais pu apprécier ce livre pour cela, mais non impossible, ça ne marche pas... Quand je trouve un livre mauvais, rien ne semble le sauver. Et le devoir de mémoire ne me poussera pas à aimer un livre si je le juge mauvais. le devoir de mémoire ne doit pas pousser à aliénation ni à forger une norme.

Pour résumer, je m'attendais à un document sur la guerre, je suis tombée sur le journal intime d'une jeune fille qui ne raconte pas grand chose de passionnant. A passer, il y a d'autres livres bien meilleurs et bouleversants sur le sujet.

Le journal d'Anne Frank raconte la vie d' une jeune adolescente juive allemande, exilée au Pays Bas avec sa famille, où elle va vivre dans la clandestinité jusqu'à sa mort en 1945 dans un camp de concentration. Elle y raconte l'arrivée dans leur abris, puis leur quotidien (les repas, ses lectures, la promiscuité, la radio et l'ennui.) C'est un document passionnant.

Cette histoire est connue par tous et il fallait que je finisse par la lire. Dans son journal, on suit les pensées d'Anne Frank, son évolution au fil du temps, sa maturité pour son âge et les difficultés de leur condition de vie. C'est une lecture enrichissante.

C'est le destin tragique d'une jeune fille juive de 15 ans lors de la seconde guerre mondiale.
Elle décrit sa vie difficile dans la clandestinité (dans "l'Annexe"), et avec une plume parfois acérée, note les travers des adultes qui vivaient cachés avec elle, et se critique quelquefois elle-même sévèrement. Elle note dans son journal ses joies, ses peurs, ses chagrins, ses espoirs, et suit (à la radio) avec lucidité, avec intérêt, les faits de la guerre.
C'est un "témoignage".
Tragique.
Bouleversant.

Livre très fort sur une jeune juive dans sa famille à Amsterdam qui vit la peur de la mort et de la raffle au quotidien. Ici une grande simplicité, pas de pathos mais des rêves des interrogations sur sa place dans la famille, l'éveil amoureux et j 'en passe.
Un indispensable à mes yeux.

Le journal d'Anne Franck est un témoignage riche en émotion. Il est très bien écrit même s'il s'agit seulement un journal intime, elle avait tout de même une belle plume.

Oeuvre de jeunesse et lecture de jeunesse, découverte entre cours d'histoire et explication de texte.
Relue à un âge plus avancé (la quarantaine pour ne rien cacher), à l'occasion d'un séjour à Amsterdam, on ne peut que tomber sous le charme d'un texte lumineux et touchant. Quel talent, quel triste destin. J'en ai pleuré, j'avoue.

Un livre touchant, une histoire touchante et une petite très intelligente, mais promis j'ai pas pleuré !

Ce que j'aime le plus dans ce journal c'est qu'à l'époque où je l'ai lu, j'avais à peu près le même âge qu'elle, je me sentais proche de cette petite, en tout cas l'attachement était rapide.
En le relisant adulte, j'ai eu une autre vision, cette fois je savais comment allais se finir la vie d'Anne Frank, et à chaque page j'avais l'impression de lui faire revivre son enfer. C'est d'ailleurs pour ça que je n'aime pas lire de auto/biographie de personnes ayant une une vie difficile.

En dehors de ça c'est un très bon témoignage, bien écrit et le fait d'être, à la base, un journal intime donne au lecteur, une vision directe sur le coeur.

J'enlève juste une étoile, pour l'édition, ma version n'a pas les annotations de l'auteure.