Avon Gale/5
4 notes
Résumé :
Avery Hextall, architecte junior d'un cabinet prestigieux, est ravi lorsque sa conception pour une nouvelle salle de spectacles est choisie, même si cela implique de travailler en étroite collaboration avec son chef de projet, l'insupportablement tendu Malin Lacroix. Une rencontre fortuite dans le bureau de son patron prouve que l'homme est tout sauf froid et Avery est déterminé à en apprendre davantage sur celui qui se cache sous le vernis distant. Malgré leur attr... >Voir plus
Acheter ce livre sur
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après Une ombre dans la lumièreVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (2)
Ajouter une critique
Un employé bisexuel qui a un crush pour son patron qui semble le détester.
Un rival qui devient un meilleur ami.
Un patron froid comme de la glace qui se laisse faire une petite gâterie par l'employé dont il vient de refuser le projet, ce qui peut remettre en cause son hétérosexualité (la gâterie, pas le projet).
Une couverture de roman avec un mignon petit geek à lunettes bien propre sur lui.
Rajoutez un chat et un autocuiseur.
Mixez tout ça et vous aurez une gentille petite romance de gayforyou patron/employé, déjà lue à maintes reprises. Sauf que...
Avery Hextall est un jeune architecte qui bosse dans un cabinet réputé, dans l'équipe de Malin Lacroix, aussi talentueux et célèbre que froid, intransigeant et qui retoque toujours les projets d'Avery, nom d'un chien, pourquoi tant de haine ? le jour d'une énième rebuffade, Avery est pris d'une pulsion et fait une petite gâterie à son patron... qui le prend finalement plutôt bien (tu m'étonnes...) mais dont le comportement plutôt sadique durant la prestation d'Avery va réveiller chez le jeune architecte des besoins surprenants. Et entre les deux hommes va se mettre en place une relation très intense, mais plutôt malsaine, entre Avery qui n'ose pas exprimer ce dont il a besoin ou envie et Malin qui semble ne pas vouloir d'autre chose qu'une satisfaction physique. Bref, no limit... ce qui dans une relation sm peut être carrément dangereux.
Mais quand Avery, poussé par un couple d'amis et un ex sexfriend, finit par mettre une sorte d'ultimatum dans les mains de Malin, il pourrait être fort surpris de la réaction de son patron...
Ce roman est une vraie surprise, j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ça. J'ai eu un peu peur au début de la relation des deux hommes, où aucun des deux ne semblait avoir de limites dans leurs actes, étant l'un et l'autre aussi inexpérimentés dans ce domaine. Mais j'ai persisté, aidée en cela par la plume de l'auteur, et je ne le regrette pas : peu à peu, Avery finit par percer la muraille de Malin et leur relation trouve un fonctionnement qui leur convient à tous les deux (et c'est bien le principal). Et quand Malin donne à Avery la clé de son passé, ça m'a retourné le coeur.
La personnalité d'Avery est un coup de coeur : il est solaire, tout le monde tourne autour de lui et ne peut que l'apprécier, il est drôle, dans ses raisonnements, dans ses réactions, dans ses répliques qui font mouche... J'ai trouvé la dynamique du jeune homme avec les personnages secondaires très intéressante : Brandon et Justin, Harlan, et même l'ex (et toujours...) Madame Lacroix.
Bref une lecture surprenante mais diablement intéressante qui m'a embarquée. le coup de coeur n'est pas loin, il m'a manqué un peu plus de travail sur la psychologie des deux hommes dans leur relation je pense. Mais une vraie jolie surprise et une découverte de cet auteur dont je lirais d'autres romans avec grand plaisir.
Un rival qui devient un meilleur ami.
Un patron froid comme de la glace qui se laisse faire une petite gâterie par l'employé dont il vient de refuser le projet, ce qui peut remettre en cause son hétérosexualité (la gâterie, pas le projet).
Une couverture de roman avec un mignon petit geek à lunettes bien propre sur lui.
Rajoutez un chat et un autocuiseur.
Mixez tout ça et vous aurez une gentille petite romance de gayforyou patron/employé, déjà lue à maintes reprises. Sauf que...
Avery Hextall est un jeune architecte qui bosse dans un cabinet réputé, dans l'équipe de Malin Lacroix, aussi talentueux et célèbre que froid, intransigeant et qui retoque toujours les projets d'Avery, nom d'un chien, pourquoi tant de haine ? le jour d'une énième rebuffade, Avery est pris d'une pulsion et fait une petite gâterie à son patron... qui le prend finalement plutôt bien (tu m'étonnes...) mais dont le comportement plutôt sadique durant la prestation d'Avery va réveiller chez le jeune architecte des besoins surprenants. Et entre les deux hommes va se mettre en place une relation très intense, mais plutôt malsaine, entre Avery qui n'ose pas exprimer ce dont il a besoin ou envie et Malin qui semble ne pas vouloir d'autre chose qu'une satisfaction physique. Bref, no limit... ce qui dans une relation sm peut être carrément dangereux.
Mais quand Avery, poussé par un couple d'amis et un ex sexfriend, finit par mettre une sorte d'ultimatum dans les mains de Malin, il pourrait être fort surpris de la réaction de son patron...
Ce roman est une vraie surprise, j'avoue que je ne m'attendais pas du tout à ça. J'ai eu un peu peur au début de la relation des deux hommes, où aucun des deux ne semblait avoir de limites dans leurs actes, étant l'un et l'autre aussi inexpérimentés dans ce domaine. Mais j'ai persisté, aidée en cela par la plume de l'auteur, et je ne le regrette pas : peu à peu, Avery finit par percer la muraille de Malin et leur relation trouve un fonctionnement qui leur convient à tous les deux (et c'est bien le principal). Et quand Malin donne à Avery la clé de son passé, ça m'a retourné le coeur.
La personnalité d'Avery est un coup de coeur : il est solaire, tout le monde tourne autour de lui et ne peut que l'apprécier, il est drôle, dans ses raisonnements, dans ses réactions, dans ses répliques qui font mouche... J'ai trouvé la dynamique du jeune homme avec les personnages secondaires très intéressante : Brandon et Justin, Harlan, et même l'ex (et toujours...) Madame Lacroix.
Bref une lecture surprenante mais diablement intéressante qui m'a embarquée. le coup de coeur n'est pas loin, il m'a manqué un peu plus de travail sur la psychologie des deux hommes dans leur relation je pense. Mais une vraie jolie surprise et une découverte de cet auteur dont je lirais d'autres romans avec grand plaisir.
Je viens de terminer ce livre et je dois bien avouer que je ressors agréablement surprise. Car au vue du résumé, je ne m'attendais pas du tout à avoir ce genre de lecture.
Un univers que je découvre...
... et qui contre toute attente me plaît bien. Avec une plume fluide et attrayante, Avon Gale nous offre une romance bien singulière. Au début de ma lecture, je m'attendais à une lecture des plus basiques entre un employé à la langue bien pendue et son control freak de boss avec de délicieuses joutes verbales, de situations cocasses et/ou délirantes et une bonne dose de tension palpable. Bien que cela fut clairement tout au long de ma lecture, ce à quoi je ne m'étais pas attendue c'est que l'auteure aborde le thème du BDSM.
Je préfère vous prévenir dès maintenant c'est très différent de ce que j'ai pu déjà lire. le BDSM est un style de vie à part voir dérangeant. Il est vrai que pour beaucoup d'entre nous cela semble incompréhensible l'on puisse éprouver de la jouissance avec ce genre de pratique. Et pourtant il est fascinant de voir ce que ressentent ces Doms ainsi que ces Soumis... et ce que cela apporte à leur vie.
Mais ici les scènes sont extrêmement rudes avec de la colère et d'autres interdits. Alors petit conseil très importante âmes sensibles s'abstenir. J'ai été littéralement abasourdie par la première scène. Je n'en revenais pas. J'ai même pensé à abandonner ma lecture. Car oui même moi j'ai mes limites. Et pourtant j'ai continué car d'autres facteurs entraient en considération... comme les personnages...
Un duo atypique qui vous réserve bien des surprises
L'histoire suit celle d'Avery. Un mec intelligent et droit mais très extravagants sur les bords. C'est le genre de mec super sympa qui n'arrête jamais de parler, qui fait des blagues bizarres, qui dit tout haut ce qu'il pense même et qui se fait facilement des amis. Bref, un type bien sur qui on peut toujours compter. Il s'éclate aussi bien avec les femmes que les hommes. Cependant il a toujours eu cette impression qu'au fond de lui il lui manque quelque chose sans savoir clairement ce que c'était... Jusqu'à ce qu'il le découvre ironiquement avec son importable et détestable patron Malin Lacroix...
Que dire de Malin ? Au début, il m'a perturbée. Il est tellement froid, insensible et antipathique. Je l'ai même trouvé répugnant à un moment précis de l'histoire. Je ne savais jamais sur quel pied danser avec lui. Cependant quand on voit l'ouragan Avery débarquer et dévaster sa vie de la meilleure des façons possibles et la raison de son comportement cela change tout...
En bref
Une lecture déroutante. Soit on aime soit on déteste. Malgré le côté très brutal du BDSM, j'ai passé un très bon moment. L'histoire en elle même est hyper drôle. J'ai adoré ce côté excentrique et impertinente. Et les personnages sont attachants à leur manière. C'est mon premier roman d'Avon Gale et certainement pas mon dernier...
Lien : http://wp.me/p5AuT9-39L
Un univers que je découvre...
... et qui contre toute attente me plaît bien. Avec une plume fluide et attrayante, Avon Gale nous offre une romance bien singulière. Au début de ma lecture, je m'attendais à une lecture des plus basiques entre un employé à la langue bien pendue et son control freak de boss avec de délicieuses joutes verbales, de situations cocasses et/ou délirantes et une bonne dose de tension palpable. Bien que cela fut clairement tout au long de ma lecture, ce à quoi je ne m'étais pas attendue c'est que l'auteure aborde le thème du BDSM.
Je préfère vous prévenir dès maintenant c'est très différent de ce que j'ai pu déjà lire. le BDSM est un style de vie à part voir dérangeant. Il est vrai que pour beaucoup d'entre nous cela semble incompréhensible l'on puisse éprouver de la jouissance avec ce genre de pratique. Et pourtant il est fascinant de voir ce que ressentent ces Doms ainsi que ces Soumis... et ce que cela apporte à leur vie.
Mais ici les scènes sont extrêmement rudes avec de la colère et d'autres interdits. Alors petit conseil très importante âmes sensibles s'abstenir. J'ai été littéralement abasourdie par la première scène. Je n'en revenais pas. J'ai même pensé à abandonner ma lecture. Car oui même moi j'ai mes limites. Et pourtant j'ai continué car d'autres facteurs entraient en considération... comme les personnages...
Un duo atypique qui vous réserve bien des surprises
L'histoire suit celle d'Avery. Un mec intelligent et droit mais très extravagants sur les bords. C'est le genre de mec super sympa qui n'arrête jamais de parler, qui fait des blagues bizarres, qui dit tout haut ce qu'il pense même et qui se fait facilement des amis. Bref, un type bien sur qui on peut toujours compter. Il s'éclate aussi bien avec les femmes que les hommes. Cependant il a toujours eu cette impression qu'au fond de lui il lui manque quelque chose sans savoir clairement ce que c'était... Jusqu'à ce qu'il le découvre ironiquement avec son importable et détestable patron Malin Lacroix...
Que dire de Malin ? Au début, il m'a perturbée. Il est tellement froid, insensible et antipathique. Je l'ai même trouvé répugnant à un moment précis de l'histoire. Je ne savais jamais sur quel pied danser avec lui. Cependant quand on voit l'ouragan Avery débarquer et dévaster sa vie de la meilleure des façons possibles et la raison de son comportement cela change tout...
En bref
Une lecture déroutante. Soit on aime soit on déteste. Malgré le côté très brutal du BDSM, j'ai passé un très bon moment. L'histoire en elle même est hyper drôle. J'ai adoré ce côté excentrique et impertinente. Et les personnages sont attachants à leur manière. C'est mon premier roman d'Avon Gale et certainement pas mon dernier...
Lien : http://wp.me/p5AuT9-39L
Citations et extraits (5)
Ajouter une citation
— C’est excitant et sexy. Ce n’est pas des graphiques à barres et des mathématiques, c’est tout ce que fait Lacroix, expliqua-t-il en adoptant un accent français désagréable pour prononcer le nom de son patron. Il est ennuyeux. Il a un objet sur son bureau et c’est un presse-papier. C’est tellement intéressant. Je parie que chez lui tous les murs sont blancs et semblables et que ses appareils sont énergivores…
— Avery, tu devrais peut-être te redresser…
— Non, répondit-il en maintenant sa tête sur ses bras, mais il se tourna pour que Harlan puisse encore l’entendre, parce que ce qu’il disait était important. Il a probablement un de ces lave-vaisselle qui utilise deux cent quarante litres d’eau. Et je parie qu’il ne sépare jamais ses déchets du recyclage.
— Il est très ivre, dit Harlan en toussant.
— Hein ? dit Avery en levant la tête pour regarder tristement son ami. Lacroix ? Non, non. L’alcoolisme mondain le rendrait intéressant et lui donnerait peut-être une personnalité.
Il lui fallut au moins trois secondes pour se rendre compte que Harlan ne lui parlait pas. Il parlait de lui. Il tourna la tête, vit qui se tenait debout à côté de la table et gémit.
— Merde. Je déteste tout. Bien sûr que c’est vous.
Pourquoi diable Lacroix était-il debout là ? Il devait être maudit. Il n’y avait pas d’autre explication.
— Allez-vous-en, dit-il en reposant sa tête sur ses bras. Je suis en vacances. Je n’ai pas besoin d’être gentil avec vous.
— Je n’ai pas de lave-vaisselle, dit-il d’un ton plat.
— Avery, tu devrais peut-être te redresser…
— Non, répondit-il en maintenant sa tête sur ses bras, mais il se tourna pour que Harlan puisse encore l’entendre, parce que ce qu’il disait était important. Il a probablement un de ces lave-vaisselle qui utilise deux cent quarante litres d’eau. Et je parie qu’il ne sépare jamais ses déchets du recyclage.
— Il est très ivre, dit Harlan en toussant.
— Hein ? dit Avery en levant la tête pour regarder tristement son ami. Lacroix ? Non, non. L’alcoolisme mondain le rendrait intéressant et lui donnerait peut-être une personnalité.
Il lui fallut au moins trois secondes pour se rendre compte que Harlan ne lui parlait pas. Il parlait de lui. Il tourna la tête, vit qui se tenait debout à côté de la table et gémit.
— Merde. Je déteste tout. Bien sûr que c’est vous.
Pourquoi diable Lacroix était-il debout là ? Il devait être maudit. Il n’y avait pas d’autre explication.
— Allez-vous-en, dit-il en reposant sa tête sur ses bras. Je suis en vacances. Je n’ai pas besoin d’être gentil avec vous.
— Je n’ai pas de lave-vaisselle, dit-il d’un ton plat.
Pourtant, il était vraiment fier de lui au sujet de son dernier projet et il était sûr qu’il arriverait au moins sur le bureau du Chef de Projet. Il avait passé trois semaines de sa vie dessus, vivant de café et de barres énergétiques, sans rien manger à part des flocons d’avoine. Il était à peu près sûr qu’il avait dessiné ce fichu projet dans son sommeil , s’il avait réellement dormi. Il n’était toujours pas certain de cela.
Ce dont il était sûr, c’était qu’il avait examiné les plans de chaque immeuble qu’il aimait et de tous ses projets d’études supérieures. Bon sang, il avait même regardé le truc merdique qu’il avait fait dans sa classe d’art en cinquième et avait demandé à sa mère si ses créations en Lego lui avaient paru particulièrement novatrices et durables. Elle lui avait répondu très calmement de dormir un peu et elle avait ensuite raccroché. Avery avait pris cela pour un non. Il avait envoyé tout le dossier à Blake Everett, son ami de l’école d’architecture, lui-même associé dans une société renommée de Seattle. Il avait ensuite déambulé lentement dans sa salle de séjour, fumant cigarette sur cigarette en attendant qu’Everett lui réponde.
Celui-ci lui avait répondu quelques heures plus tard par e-mail, bon sang, tu es un putain de génie, et Avery avait donné un coup de poing triomphant soit dans un oreiller, soit à son chat. Peu importe, il était vraiment fatigué. Il s’était ensuite rapidement couché même si c’était samedi et qu’il était quatorze heures.
Ce dont il était sûr, c’était qu’il avait examiné les plans de chaque immeuble qu’il aimait et de tous ses projets d’études supérieures. Bon sang, il avait même regardé le truc merdique qu’il avait fait dans sa classe d’art en cinquième et avait demandé à sa mère si ses créations en Lego lui avaient paru particulièrement novatrices et durables. Elle lui avait répondu très calmement de dormir un peu et elle avait ensuite raccroché. Avery avait pris cela pour un non. Il avait envoyé tout le dossier à Blake Everett, son ami de l’école d’architecture, lui-même associé dans une société renommée de Seattle. Il avait ensuite déambulé lentement dans sa salle de séjour, fumant cigarette sur cigarette en attendant qu’Everett lui réponde.
Celui-ci lui avait répondu quelques heures plus tard par e-mail, bon sang, tu es un putain de génie, et Avery avait donné un coup de poing triomphant soit dans un oreiller, soit à son chat. Peu importe, il était vraiment fatigué. Il s’était ensuite rapidement couché même si c’était samedi et qu’il était quatorze heures.
— Laissez-moi vous montrer quelque chose.
Il tourna son écran d’ordinateur pour qu’Avery puisse le voir et ce qui était sur le moniteur n’eut pas beaucoup de sens pour lui au début. Il se pencha en avant, les yeux écarquillés. Il sortit instinctivement ses lunettes de sa poche avant et les mit sur son nez.
— Fascinant. Est-ce que ce sont ces « feuilles de calcul » dont j’ai tant entendu parler ?
— Étiez-vous si ennuyeux dans tous vos cours, Hextall ?
— Oh, oui, rétorqua-t-il sans détacher ses yeux de l’écran. C’est une bonne chose que ce cabinet ait seulement eu besoin de deux lettres de référence ou j’aurais été en difficulté.
Il entendit un reniflement qui pourrait être un rire et puis Lacroix continua.
Il tourna son écran d’ordinateur pour qu’Avery puisse le voir et ce qui était sur le moniteur n’eut pas beaucoup de sens pour lui au début. Il se pencha en avant, les yeux écarquillés. Il sortit instinctivement ses lunettes de sa poche avant et les mit sur son nez.
— Fascinant. Est-ce que ce sont ces « feuilles de calcul » dont j’ai tant entendu parler ?
— Étiez-vous si ennuyeux dans tous vos cours, Hextall ?
— Oh, oui, rétorqua-t-il sans détacher ses yeux de l’écran. C’est une bonne chose que ce cabinet ait seulement eu besoin de deux lettres de référence ou j’aurais été en difficulté.
Il entendit un reniflement qui pourrait être un rire et puis Lacroix continua.
— Justin te semble familier parce qu’il est architecte.
Pour une explication, celle-là était assez terrible.
— Oui. Et nous nous connaissons tous au travers de l’Association des Architectes gays. J’ai oublié. Étais-tu au repas le mois dernier ?
— Oui. J’ai apporté la salade de pâtes, répond Justin sans hésitation.
— C’était vraiment bon, continue Avery en le saluant avec sa bière. J’ai aimé le bacon.
— Elle l’était vraiment. Les architectes hétéros sont les seuls à mettre des morceaux de bacon dans leur salade de pâtes, dit-il en souriant. Je suis à fond dans la vraie viande.
— Ne le sommes-nous pas tous ? rit-il en claquant sa bouteille contre celle de Justin.
— Oh, c’était une bonne idée de vous présenter tous les deux, dit Brandon en soupirant. Et, Avery, tu te souviens de ce contrat pour ce stade dans le New Jersey ? Le très gros projet qui a eu lieu, il y a quelques années ?
Pour une explication, celle-là était assez terrible.
— Oui. Et nous nous connaissons tous au travers de l’Association des Architectes gays. J’ai oublié. Étais-tu au repas le mois dernier ?
— Oui. J’ai apporté la salade de pâtes, répond Justin sans hésitation.
— C’était vraiment bon, continue Avery en le saluant avec sa bière. J’ai aimé le bacon.
— Elle l’était vraiment. Les architectes hétéros sont les seuls à mettre des morceaux de bacon dans leur salade de pâtes, dit-il en souriant. Je suis à fond dans la vraie viande.
— Ne le sommes-nous pas tous ? rit-il en claquant sa bouteille contre celle de Justin.
— Oh, c’était une bonne idée de vous présenter tous les deux, dit Brandon en soupirant. Et, Avery, tu te souviens de ce contrat pour ce stade dans le New Jersey ? Le très gros projet qui a eu lieu, il y a quelques années ?
— Tout d’abord, pourquoi est-ce qu’il ne le fait pas lui-même ? Ensuite, pourquoi le fais-tu pour lui ?
— C’est la même question, Avery.
— Dommage, rétorqua ce dernier.
Son cerveau était à la limite de l’explosion et il savait qu’il devait régler pronto son problème de sommeil.
— C’est la même question, Avery.
— Dommage, rétorqua ce dernier.
Son cerveau était à la limite de l’explosion et il savait qu’il devait régler pronto son problème de sommeil.
Lire un extrait
Les plus populaires : Roman d'amour
Voir plus
Livres les plus populaires de la semaine
Voir plus
Acheter ce livre sur
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Avon Gale (9)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Mordus de vampires, crocs en tous genres
Quel écrivain est le papa du célèbre Dracula?
Shakespeare
Bram Stoker
Anne Rice
William Blake
Emile Zola
13 questions
129 lecteurs ont répondu
Thèmes :
vampires
, bit lit
, fantastiqueCréer un quiz sur ce livre129 lecteurs ont répondu