J'ai lu ce livre il y a quatre ans. Il revient dans mon souvenir parce que je suis en train de lire le "
Clovis" de
Michel Rouche - donc même époque - et que je m'aperçois qu'il n'est pas critiqué sur Babelio.
Pas question pour moi de faire une critique basé sur d'aussi vieux souvenirs. Par chance, j'avais fait ailleurs un petit billet que je reprends ici.
"J'ai apprécié cet ouvrage qui sait éviter le miroir déformant d'une vision nationaliste des origines de la France et de l'Allemagne. le cadre social, religieux et politique des mérovingiens, ses origines romaines et germaniques sont très bien décrits et recèlent beaucoup d'originalité.
J'aurais malgré tout aimé un peu plus d'histoire des rois eux-mêmes et de leurs démélées. On décrit très peu Clotaire II ou Dagobert, leur caractère, leurs espérances. "
Voilà, en accord avec une certaine vision de l'enseignement de l'Histoire, le livre travaille sur les structures plutôt que sur les hommes. La mécanique y gagne ce que perd l'imaginaire. Une vision complémentaire mais dont je souhaite qu'elle n'efface pas sa "rivale" qui parle des hommes célèbres.