Le chirurgien du diable

Attention, amis lecteurs, si c'est L Histoire qui vous intéresse, voyez les documentaires et ouvrages d'historiens et évitez la collection de roman de guerre "Gerfaut" parce qu'elle concerne des romans de fictions !!!

Les histoires sont romancées et peu fidèle à la réalité, surtout lorsque qu'on apprend que certains auteurs ne sont que une seule et même personne, on utilisé pas moins de 36 pseudos et même pas allemande...

Bref, après cette mise en garde, je vous donne la critique de ce roman (gardez à l'esprit que ce n'est qu'un roman !).

Ce livre est le récit de la révolte des gueules cassées de Chatovka à qui on venait d'enlever ce qui constituait encore leur unique raison de vivre. Ils n'avaient plus aucune pitié envers un monde qui les avait condamnés à vivre comme des parias et ils étaient bien décidés à tout exterminer sur leur passage...

Ce livre, c'est l'histoire d'une poignée de mutilés de la face, relégués dans un petit village isolé au milieu de la steppe soviétique, et qui sombrent lentement dans le désespoir.

En filigrane, il y a les ombres du docteur Konrad Wennigger, l'un des plus habiles chirurgiens de son temps, et celle de son infirmière-assistante, Erika von Kargy.

Deux êtres exceptionnels, mais qui avaient une conception radicalement opposée du devoir...

Ce livre, ce sont des hommes cassés par la guerre et qui tentent de survivre avec leurs gueules cassées, sachant que leur réinsertion dans la vie civile est impossible.

Leur seul rayon de soleil, c'est la gentille et jolie infirmière qui les soigne. Donc, quand on tente de s'en prendre à elle, ces hommes courageux se battent pour elle.

Beau récit d'héroïsme, de courage, de souffrance à cause de leurs blessures dues à des éclats d'obus et une jolie histoire d'amour entre une gueule cassée et la jolie infirmière.

262 pages de récit non historique, mais je ne les lisais pas pour leur respectabilité, c'était juste des romans et certains étaient bien.