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3,72

sur 616 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Une lecture laborieuse, pourtant, sur le papier, ce livre avait tout pour me plaire : une trame historique, une secte, des éléments francs-maçons. le problème est que j'ai trouvé ça très poussif, le mélange n'a vraisemblablement pas pris avec moi. L'enquête se traîne, le héros principal n'a pas d'épaisseur, les retournements de situation sont peu crédibles. Bref, j'ai surtout eu l'impression de perdre mon temps alors qu'il me reste tellement d'autres livres bien plus intéressants à découvrir.
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Fan des aventures du commissaire Antoine Marcas, j'avais attaqué cet Opus n°2 avec mon appétit habituel pour ce type d'histoire, mêlant habilement ésotérisme, franc-maçonnerie bien documentée, intrigue à tiroirs et suspense jusqu'à la dernière page.

Heureusement pour moi, je n'ai découvert les romans d'Eric Giacometti et Jacques Ravennes que sur le tard, avec "Le frère de sang" car si j'avais commençé la série par ce tome, je serais certainement passé à côté de ces auteurs...

Dans cet ouvrage, nous retrouvons un commissaire Marcas solitaire, désabusé par son métier, qui se lance à la poursuite du grand méchant patron de secte Dyonisos, seul contre tous, désavoué par sa hiérarchie, avec un manque de professionalisme flagrant.

On se demande encore pourquoi le frère obèse lui accorde cette aide si précieuse (et si efficace !), qui lui permet de se sortir sans encombre des situations les plus improbables.

La révélation de l'identité du leader de la Secte atteint le sommet du ridicule de mon point de vue.

Encore surabondant d'explications sur la franc-maçonnerie, bien documenté en revanche sur Casanova et l'histoire des loges qui ont dérivé vers le mystico-sexuel, ce roman me laisse un goût insipide, mais c'est parfois le cas des deuxièmes tomes qui ont du mal à trouver le ton juste entre les différents ressorts du personnage et du contexte initié dans un premier roman très réussi, "Le rituel de l'ombre"
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Je me dis toujours que les couvertures des Ravenne et Giacometti ne donnent pas envie de lire ce genre de roman mais bon, force est de constater que je me laisse toujours prendre par la lecture des tribulations d'un flic chez les francs-maçons. C'est seulement à la moitié du livre que l'intrigue devient intéressante car le début est grisant et sans humour, plat et sans intérêt.

Tout devient palpitant lors de la visite du commissaire Marcas dans un hôpital où il découvre la portée des sectes sur le psychisme de leurs membres. Un sujet passionnant que les auteurs ont décidé de détourner en inventant une loge maléfique qui brûle ses membres au nom de l'amour vrai.

Sexe, meurtre et quand même un poil d'amour mais surtout de l'humour noir, ce sont les ingrédients des romans de Ravenne et Giacometti et cet opus ne manque pas de rappeler qu'il faut toujours les mêmes ingrédients pour faire un bon polar mais sans négliger le contenu qui se renouvelle toujours au sujet des francs-maçons. La fin est surprenante (on oubliera le passage final avec la romance à deux balles) on préfère voir Marcas célibataire bon sang!
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Déjà, au fil de la lecture, on s'étonne du choix adopté pour l'accroche en 4e de couverture. On aurait tout aussi bien pu évoquer la manière atroce dont s'est achevée cette soirée dans une demeure cossue de Sicile, où des couples trouvèrent la mort sur un brasier dont les flammes goulues régalaient les pupilles de Dionysos, l'être malfaisant qui traverse tout l'ouvrage de sa silhouette particulière et sa détermination sans faille.
Conjuration Casanova ne s'embarrasse en effet pas vraiment de discrétion, ni de prudes subtilités : les auteurs ont choisi de décrire de façon suffisamment explicite les décès soudains comme les rapports amoureux. Oh, rassurez-vous, on ne baigne ni dans le gore ni dans la pornographie : on en est même plutôt loin. Tout au plus jugera-t-on qu'il s'agit de la volonté manifeste d'aller au fond des choses (sans jeu de mots laid) – à moins qu'on ne soit devant une stratégie plus bassement commerciale. Difficile à dire. D'autant que le style n'est guère élégant, s'alourdissant parfois inutilement dans des excès de maniérisme alors que les scènes d'action peinent à convaincre.
De fait, et très vite, on se rend compte que la maçonnerie, la vraie, celle qui fut tant vilipendée par le passé, accusée de tous les maux et de toutes les accointances malvenues, cette franc-maçonnerie est bien au coeur de l'ouvrage qui se présente comme le palimpseste populaire d'un guide didactique. D'ailleurs, un glossaire maçonnique et quelques dossiers en annexe nous permettent de mieux naviguer dans ce milieu d'initiés unis par quelques principes surannés et des rites qui nous échappent. A la lecture du roman et des suppléments, on veut bien croire aux vertus de ces confréries dont la plupart mettent le partage, la fraternité et la solidarité en avant, au-delà même du secret et de la confidentialité qui sont leur apanage. On voudrait réhabiliter les « frères » qu'on ne s'y prendrait pas mieux. [...]
Lien : http://journal-de-vance.over..
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Des bûchers en Sicile, un ministre qui sombre dans la démence après le décès brutal de sa maîtresse, et une loge maçonnique qui semble pratiquer des rites tantristes.
Une autre enquête du commissaire Marcas, qui suivra la piste d'un mystérieux manuscrit signé de la main du sulfureux Casanova.
J'avais lu et plutôt aimé, dans la même série, « le frère de sang », cette « conjuration » ne m'aurait pas incité à en lire un autre.
Un commissaire pas très motivé, à part pas la seule rescapé du massacre en Sicile, elle-même particulièrement vite remise de son traumatisme, beaucoup trop d'invraisemblances, du spectaculaire qui frise le grand guignol, ce volume ne m'a pas convaincu.
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Ceci est mon premier livre de Giacometti et Ravenne, je n'ai pas été transportée.
On sent que l'intrigue a été bien documentée, ce qui donne lieu à de nombreuses explications au sujet de la franc-maçonnerie (on n'est même pas obligé de se référer aux annexes pour comprendre).
Ce qui m'a gêné, c'est l'histoire en elle-même. Elle semblait prometteuse sur la quatrième page de couverture. Malheureusement, j'ai mis beaucoup de temps à entrer réellement dans l'histoire, à comprendre les liens entre les différents évènements, les personnages. Et finalement aucune surprise, l'histoire fut plate.
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En bref, un second tome qui n'a pas vraiment réussi à me convaincre malgré une tentative d'immersion dans les milieux sectaires...

Ce tome-ci m'a d'emblée semblé beaucoup plus fluide que le premier, notamment, car nous avons déjà les bases de la franc-maçonnerie et que les passages théoriques sur l'organisation et les rituels des confréries sont beaucoup plus rares. de plus, les changements de points de vue avec, en supplément, des passages du manuscrit de Casanova donnent un rythme intéressant.

[...]

Concernant l'intrigue de cette enquête, j'ai trouvé le thème des sectes intéressant. Néanmoins, j'aurais aimé que les auteurs développent encore plus l'aspect psychologique des personnes impliquées dans les dérives sectaires, l'emprise ainsi que les motivations. de plus, le groupe imaginé pour le récit est basé sur la recherche du plaisir sexuel, mais s'éloigne très vite du fameux Casanova, l'illustre romantique n'étant qu'un prétexte pour entrer dans les hautes sphères internationales. le dénouement est assez haut en couleur, rempli de rebondissements plus ou moins crédibles, des révélations qui tombent comme un cheveu sur la soupe.

Pour résumer, j'ai trouvé l'ensemble de cette lecture très survolée dans les sujets traités, c'est dommage.
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Après le rituel de l'ombre, qui m'avait bien plu, celui-ci m'a laissé sur ma faim, et du coup, j'ai laissé tomber le commissaire Marcas. J'espère qu'il ne m'en veut pas trop, surtout que je suis plutôt bon public, car j'évite autant que possible de m'engager dans des livres où je vais me barber.

Donc dans celui-ci, au bout d'un moment, j'ai eu l'impression de tourner en rond, au milieu de grosses ficelles.

Je ne suis pas franc maçon, je préfère ne pas m'aliéner. Et ce monde opaque m'intéresse peu.
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