J'ai commencé ce livre pour continuer à voir vivre et combattre
Angelo Pardi et savoir comment il ferait pour aimer Pauline de Theus. Pas de Pauline dans ce livre, juste les combats de la guerre entre l'Autriche et l'Italie au XIXe siècle. Je suis un peu déçue, donc, mais toujours admirative de l'écriture de
Giono. Les expressions, les métaphores sont inattendues, et le rythme du récit est celui d'un cheval au galop. On retrouve parfois l'ambiance de la Chartreuse, et le regard tendre du narrateur sur son héros.