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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
♫Y en a qui naissent
Dans les plis du drapeau
Au son des hymnes militaires
Et quand la troupe défile sous leurs carreaux
Ils ont l'âme guerrière
Mais pas moi
Non pas moi
Je ne suis pas né militaire
Mais pas moi
Non pas moi
Je suis le fils de Personne♫
-Johnny Hallyday-1971-
---♪----♫----👍---👸---👎----♫----♪---
l'eau qu'on regarde jamais ne bout
trouve les feuilles de l'herbe du loup...
Serf, vagabond, mais avec des principes
armé d'un baton, voyage initiatique
Attention pas de prénom
S'appelait juste Aldobrando !?
L'était bâti comme un moineau
Qu'aurait été malade
On y filait plein d'noms d'oiseaux
"Patte de merle" roi de la cascade
L'était pas bien gros c't'asticot
Pourtant lui qui descend dans l'arêne
Fils de Personne, encore un gosse
MériteRait qu'on pense sa Reine
Je ne sais rien du monde en dehors de la cabane où j'ai grandi !?
Un grand merci au duo Critone et Gipi
A tout problème, une solution claire, simple
Et juste ment fosse...


Petit rappel : pour ceux qui aiment délivrer les princesses sans fosse modestie.
https://www.babelio.com/livres/Smullyan-Le-livre-qui-rend-fou/11867/citations
🤪








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Sous une pluie battante, un homme à cheval se tient face à un vieillard. Pour effacer sa dette, ce dernier n'aura qu'une parole à donner : s'occuper de son fils et en faire un homme. Un terrible combat l'attend dans la fosse et il sait déjà qu'il n'en reviendra pas. le vieil homme n'a d'autre choix que d'accepter tandis qu'Aldobrando regarde partir son père...
Des années plus tard... Aldobrando n'a jamais quitté la demeure de son maître. En ce jour crucial, alors qu'il veut lui enseigner un secret, le maître est malheureusement blessé par un chat récalcitrant refusant de se faire ébouillanter. Griffé à l'oeil, le maître lui somme d'aller lui chercher l'herbe du loup sans laquelle la plaie pourrait s'infecter et le rendre aveugle. Timide et un peu gauche, Aldobrando n'hésite pourtant pas à courir, courir dans la neige et le froid, se réfugier dans un abri pour la nuit … d'où il sera vite chassé par un jeune homme qu'il prend pour un messire. Devenu son écuyer, ils vont ensemble parcourir une longue route semée d'embûches...

Aldobrando, ce jeune homme naïf, parfois benêt, gringalet, ignore le monde qui l'entoure, ayant passé la plupart de son temps cloîtré chez son maître. Mais lorsque celui-ci lui demande, quitte à parcourir le monde, de lui ramener de l'herbe de loup, il n'a d'autre choix que de partir et, finalement, de se heurter à tout ce qu'il ne connaît pas. Si l'on devine que certains, à commencer par ce soi-disant sire Gennaro Montecapoleone de Deux Fontaines, oseront abuser de cette naïveté, l'on imagine sans mal que ce brave et, finalement, courageux Aldebrando sortira grandi de cette épopée. Les multiples personnages qui peuplent ce conte médiéval sont remarquables, riches et très expressifs. Que ce soit Gennaro et ses dents longues, ce roi obèse et paresseux, cette armoire à glace au grand coeur, la douce princesse Bianca ou cet insondable Gueulevice. Toute une galerie de personnages dont Gipi s'amuse, pour notre plus grand plaisir, à faire emprunter des chemins tortueux, n'hésitant pas sur les retournements de situation. Un album dense et original qui aborde, avec intelligence et finesse, le courage, la loyauté, l'amitié, l'amour, l'honneur, entre autres. Graphiquement, le trait, tantôt expressif, tantôt vaporeux ou esquissé de Luigi Critone est remarquable. de même que les couleurs riches et variées de Francesco Daniele et Claudia Palescandolo qui nous plongent dans des ambiances tour à tour sombres ou éclatantes de lumière.
Une belle réussite !
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Gipi et Luigi Critone, deux auteurs de bandes dessinées que je ne connaissais pas encore, nous invitent à découvrir une aventure initiatique fort affriolante. Dans un univers médiéval où la justice des dieux priment encore sur celle des hommes, nous faisons connaissance avec Aldobrando, jeune homme gringalet, orphelin élevé par un vieil homme qu'un chevalier lui a confié avant de mourir. Aldobrando, qui n'a jamais quitté le refuge de son père adoptif, se voit contraint d'en sortir pour trouver l'herbe du loup, seul remède efficace aux blessures du vieil homme. Se sentant coupable, Aldobrando se lance dans le monde extérieur sans n'y avoir vraiment jamais été préparé. Sur son chemin, il fait la rencontre d'un homme qu'il prend pour un seigneur et qui changera sa destinée. Sans jamais oublier sa mission première, il "visitera" les geôles du château royal avant de s'en échapper, il se liera d'amitié avec Lesemeurdesang, le tueur le plus terrible du royaume, et Viola, esclave et servante de la reine. À défaut d'une carrure impressionnante, Aldobrando fera preuve de courage, d'honneur et de loyauté durant toutes les épreuves qu'il traversera.

Par le biais de ce qu'on pourrait appeler un conte médiéval, les auteurs nous entraînent dans des aventures pleines de rebondissements, mettant en scène des personnages épiques. Je suis particulièrement friande de ce genre d'univers, et ce dernier m'a totalement conquise.

On aime les personnages, ou on aime à les détester. On les suit avec enthousiasme, et notamment et bien évidemment Aldobrando. Ce dernier évolue dans un monde qu'il apprend à connaître au fur et à mesure qu'il se voit impliquer dans des événements qui ne le concernaient pas à l'origine mais qu'il assume avec candeur, honnêteté, tout en restant fidèle aux principes qu'on lui a inculqués. Chétif, innocent, il paraît niais aux yeux de tout le monde, mais il n'en est pas moins brave et courageux. Un petit personnage qui ne paye pas de mine mais qu'on a tôt fait d'apprécier.

Quant aux contexte, lieux et décors (moyen-âgeux), les dessins sont là pour les y bien implanter. Sans trop de détails, avec des fonds souvent vaporeux (un peu comme certaines peintures impressionnistes), ils sont tout de même très beaux et représentatifs. Les jeux d'ombre et de lumière, dans les scènes se déroulant dans la nature, et notamment celles près du lac, sont joliment bien dépeints. Les visages sont plutôt réussis, très expressifs.

Des personnages (anti)héroïques aboutis. Un univers stimulant. Des aventures et des rebondissements. Des conspirations et des trahisons. Mais aussi du courage, de la bravoure, de l'honneur et de l'intégrité. Et bien évidemment de l'amitié, et une petite touche d'amour pour mettre un peu de douceur dans tout ça.

J'ai passé un très bon moment de lecture.
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Quand on a adoré un livre, on est irrésistiblement tenté de s'emballer sur sa critique, risquant ainsi de faire miroiter de divines oasis regorgeant d'outres plantureuses, gorgées de nectars infinis, pour d'autres sensibilités que la nôtre et donc d'autres attentes, d'où cruelles déceptions.

Je tenterais donc le braquet en-dessous pour vous parler de ce que j'ai : adoré, (ou "particulièrement apprécié", en se résignant à des précautions oratoires.)

Pour la somme profondément ridicule de 23 misérables euros (ou pour peau de balle dans toute bonne médiathèque) vous pourrez lire 200 pages fantastiques ("particulièrement intéressantes", en langage diminué, auquel je ne me résigne pas), orchestrées par un couple de génies ("très bons auteurs ") italiens, Gipi et Critone (oui, génies ! Maestro…).


Nous sommes il y a fort longtemps, mais les hommes y sont les jouets d'intemporels ballets, hélas bien connus, rythmés par la partition d'airain de la naissance et de la fortune ainsi que par les lois plus fantasques du hasard et de la bonne fortune. L'amour se réservant néanmoins la part du lion, au mépris du PIB personnel ou de toute autre prérogative gonflée à l'hélium du pouvoir.


Par son aspect poussinesque marqué, le jeune et frêle Aldobrando convoque des bouffées adoptives si vous êtes un brin mère poule ou père pélican ; on n'aura de cesse qu'il se sorte de toutes les situations où il va se fourrer, guidé par une loyauté et une candeur peu compatibles avec cet univers si banalement régi par les hyènes.

D'autres personnages magnifiques nous transportent dans la chaleur réconfortante du royaume du bien, les auteurs assumant pleinement un univers où le mal sous toutes ses formes finit en vermisseau courbaturé et anémique, en dépit de toutes nos craintes les plus légitimes. On en ressort huilé de bien-être, un sourire dalaïlamesque aux lèvres et le cerveau vidangé de tous ses miasmes prosaïques.


La subtilité est reine dans l'expression des visages et dans de nombreux retournements de situations et de caractères.
La beauté d'âme d'Aldobrando irradie doucement mais inexorablement et brise la coque des carnes les plus accomplies, dégelant en eux le ruisselet puis le fleuve de la conscience de l'autre.


Réussissant tranquillement à faire du neuf avec des vieilles lunes, les auteurs nous panent dans la chapelure du féerique (ayest je m'emballe encore, donc : "nous convainquent très sûrement") et nous font pâmer d'aise, pour une longue séance de béatitude.
"C'est très réussi" . Non, c'est génial ! :)
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Emballé ! Littéralement transporté !
ALDOBRANDO, j'adore !
C'est une merveilleuse histoire liée à une sorte de malédiction ou de machination : un chevalier veuf se sachant condamné par un suzerain bête et machiavélique remet son très jeune fils à un vieil homme en exigeant de lui la promesse de l'élever comme remboursement d'une dette que le vieillard lui devait.
Le chevalier part au combat, et meurt.
Le vieillard est un peu sorcier. le galopin, naïf et bien benêt…
Un jour que le vieil homme lui enseigne un certain sortilège, celui-ci échappe à tout contrôle. Voici donc notre jeune novice contraint par son maître à courir par tous les chemins de France et de Navarre pour chercher de cette curieuse herbe du loup qui permettra la rémission des torts.
Mais de cette herbe, il n'en trouvera jamais. En revanche, se rapprochant de la ville et des gens, il rencontrera veulerie, violence et duperie, injustice et raillerie, des luttes d'intérêts, de la perfidie, le mensonge et l'asservissement des uns par les autres… Désolations que tout cela.
Il trouvera aussi quelques bonnes gens au milieu d'une foule de maudits et de bourreaux.
Mais il parait que la vaillance d'un coeur pur peut renverser la tyrannie...

Les illustrations de Luigi Critone réalisées à l'encre et colorisées à l'aquarelle par Francesco Daniele et Claudia Palescandolo sont superbes et d'une beauté magique. La reconstitution des décors est soignée et confère au fabuleux scénario de Gipi un charme poétique.
Le duo d'amants maudits formé par Viola et Beniamino me rappelle un peu celui formé naguère par la rayonnante Michelle Pfeiffer qui incarnait Ladyhawke et Rutger Hauer en fier chevalier à la noblesse éclatante.

Et notre jeune novice dans tout ça ?

Vous le saurez en vous ruant - je n'en doute plus maintenant que vous me lisez toujours - en vous ruant, disais-je, sur ce bel album édité chez Casterman.

L'amour est bien le plus puissant et le plus beau sentiment que l'être humain puisse éprouver, non ?
(soupirs…)
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On a l'impression de lire un énième BD d'héroïc fantasy et puis non. Enfin pas vraiment. Plutôt un récit initiatique, mais pas seulement. Alors une sorte de conte médiéval. Aussi mais… Un délicieux mélange de tout ces genres, pluôt !
Aldobrando n'est pas un courageux chevalier, ni même un magicien ou un sorcier. Il est juste un jeune homme très timide, guère débrouillard que son maître a envoyé chercher l'herbe du loup pour le guérir d'une blessure à l'oeil. Mais Aldobrando n'y connaît rien en botanique. Il ne s'y connaît pas beaucoup en pas grand-chose d'ailleurs. Commence alors une série d'aventures dans lesquels le jeune homme simplet et naïf va se trouver entraîner dans des aventures fantastico-héroïques en se faisant manipuler régulièrement par des personnages sans scrupules.
Il se retrouve dans une ville médiévale dirigée par un roi capricieux, enfermé dans un cachot où il fait la connaissance de parias de la société avec qui il va former une belle équipe d'anti-héros.
Gipi nous a mitonné un scénario aux petits oignons. L'histoire nous prend dès les premières pages et, sur un ton léger, avec un joli sens du suspense et du dialogue, l'auteur nous entraîne où il le souhaite en prenant son temps, 200 pages tout de même ! On est surpris à chaque fois par les retournements de situation et les changements de direction de l'histoire et chaque révélation est un vrai plaisir.
Le plaisir vient aussi du dessin de Critone, qui s'est adapté à cette histoire et qui nous rend des planches souvent magnifiques. Il faut observer le visage du héros, qui par touches successives, évolue de la naïveté à la maturité. Tous les visages sont expressifs et les décors, les atmosphères d'hiver ou de combat, rehaussés par ces couleurs à l'aquarelle permettent, une immersion dans la vie de ces personnages avec une sensibilité peu courante.
Un one-shot à mettre dans la main de tous, sans modération.
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Voici un conte de fées d'une terre lointaine et cruelle sous le soleil du sud : le roman graphique "Aldobrando" raconte la victoire d'un garçon naïf sur la tyrannie. Mais , rassurez-vous l'amour s'avère plus fort que toute magie. le roman graphique sous la plume de Gipi, avec les dessins spectaculaires de Luigi Critone , est une aventure médiévale intrigante, ironique et émouvante, l'odyssée passionnante d'un jeune orphelin élevé par un sage et envoyé courir le monde à la rencontre à son sort, sans protection ni préparation d'aucune sorte. Un roman de passage à l'âge adulte, capable de parler au coeur des lecteurs de tous âges.
Dans un environnement hostile, où règne la cruauté, Aldobrando chemine avec loyauté et sacrifice, animé d'un sens profond de la justice. Mais il ignore les embûches qu'il rencontrera en chemin : meurtriers et guerriers brutaux, princesses et demoiselles d'honneur, ruses et intrigues de pouvoir à la cour du Roi des Deux Fontaines...
Ayant grandi en tant qu'orphelin, il n'a aucune idée du monde, des combats, de l'amour ou de la ruse des gens. Mais il possède les trois choses qui font partie de l'équipement de base de tous les héros depuis le "Seigneur des Anneaux" , aussi discrètes soient-elles : du courage, un coeur juste et un mystérieux anneau sur une chaîne...le jeune garçon naïf triomphera avec la force de l'innocence et, malgré l'oppression subie, ne perdra pas sa détermination et sa candeur.

Belle histoire, beaux personnages, même s'ils restent relativement simples, mais très attachants et puis que dire des dessins et des couleurs. J'ai profondément aimé le "changement de scène", nuits pluvieuses, forêts claires, paysages enneigés, donjons sombres, pièces éclairées par des feux vacillants - chaque panneau ressemble à un petit tableau.

Aldobrando est une histoire captivante, adaptée à tous ceux qui sont capables d'apprécier l'ironie, qui cherchent un sens de la justice derrière toute mesquinerie et qui veulent toujours être des héros et partent dans des missions désespérées à la recherche de princesses à sauver.

Aldobrando c'est chacun de nous, quand on a besoin d'une raison pour sortir de sa coquille et découvrir le monde !
Je recommande à 1000 %, coup de coeur!
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Aldobrando est un jeune enfant lorsque son père le confie à un mage pour veiller sur lui et faire son éducation. Il sait qu'il mourra bientôt et que l'enfant ne survivra pas seul.
L'enfant grandit sous le toit du mage, bien éduqué mais très solitaire.
Le mage décide de lui montrer comment faire une potion magique mais se blesse à l'oeil. La seule solution pour le sauver et lui éviter de perdre l'oeil et peut-être la vie, trouver une herbe très spéciale.
Aldobrando doit alors partir en quête d'une plante qu'il ne connaît pas pour sauver son père adoptif.
« Alors cours ! Cours, Aldobrando. Trouve l'Herbe du loup ! Quitte la maison. Cours le monde. »

Eh bien, il en vivra des histoires notre Aldobrando. Il en fera des rencontres, certaines très dangereuses, d'autres plutôt inoffensives mais toujours enrichissantes.
Il est le vrai anti-héros qu'on se plaît à apprécier malgré son physique ingrat et son allure peu délurée. L'époque, d'allure médiévale, donne un ton à la Don Quichotte avec un personnage au coeur pur, une quête initiatique et un écuyer qui varie au rythme des situations.

Critone & Gipi nous offre une oeuvre savoureuse et très divertissante. J'ai retrouvé de belles sensations de lecture, comme lorsque je lisais de la bd adolescente.
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Ce roman graphique est une magnifique surprise, je l'ai dévoré.

Dans un moyen-âge alternatif, un homme courageux sait qu'il va mourir, il confie à un viel homme ayant une dette envers lui son bien le plus précieux : son fils.
L'enfant grandit, devient un jeune homme chétif, maladroit et craintif. Un stratagème de son maître et protecteur va le propulser dans le vaste et cruel monde, où il va se découvrir des qualités de courage, de persévérance et de loyauté insoupçonnées.

J'ai tout aimé dans ce livre, à commencer par son visuel éblouissant. Les couleurs varient les décors et les ambiances, les personnages sont expressifs, chaque nouvelle planche est un ravissement.
Le scénario n'est pas en reste, il se montre haletant du début à la fin tout en faisant la part belle aux valeurs et aux sentiments.

Une lecture que je ne peux que recommander.
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Aldobrando est un jeune homme élevé par un mage. A première vue, il semble un peu niais et peureux. Pourtant, sa naïveté et sa bonté en feront un être courageux et incroyablement perspicace sur le monde qui l'entoure.

J'ai eu un gros coup de coeur pour ce roman graphique porté principalement par le personnage d'Aldobrando. Évoluant dans un monde assez classique où les grands de ce monde dominent par la violence et la ruse, le jeune Aldobrando va découvrir les règles et les contredire par son bon sens. Des personnages entrent dans la danse avec leur lot d'injustices, de violences subies ou exercées, de hasard heureux ou malheureux. Ils vont faire grandir Aldobrando mais celui-ci aussi va parfois changer leurs visions des choses, voire d'eux-mêmes. Aldobrando gravite dans chacune de leurs histoires sans le vouloir mais toujours avec bienveillance et intelligence.

J'ai adoré l'histoire, j'ai adoré Aldobrando, j'ai adoré les graphismes, les propos tenus et le regard sur le monde. Je n'ai pas de critiques négatives à faire sur ce livre, et ça, ça a le mérite d'être rare.
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