Abandon – Tout avait bien démarré avec un préambule intéressant, un brin mystérieux. le premier chapitre continuait tout gentillet où l'on suivait un professeur d'histoire. Et puis, sans savoir pourquoi, ce fut un gros foutoir.
Ce livre, d'après approximativement les pages soixante-dix (septante pour mes amis Suisse) pages où j'ai décidé de refermer définitivement ce livre, est d'une tristesse et d'une noirceur épouvante. Nous suivons une jeune femme qui vient de perdre son nouveau-né, puis sans que l'on sache pourquoi, on part au service soin intensif, sans oublier qu'un deuil d'un professeur et donc, pas lu, on suivra certainement une cérémonie mortuaire. L'ensemble est entre-coupée de flash-back.
Comme ça m'a saoulé et que franchement, je ne vois pas l'intérêt de m'enfoncer dans les 300 pages restantes, j'ai décidé d'abandonner cette laborieuse lecture. Ce n'est pas le résumé de l'éditeur qui m'a donné l'envie de persévérer.
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«Maman, sanglota-t-il, la respiration entrecoupée. Pa-aapa ?
- Ça va aller, mon garçon », dit la voix épaisse du Général Beurre de Cacahuète.
Sa bouche était pleine de beurre de cacahuète, les abeilles en sortaient et y rentraient chaque fois qu'il écartait les lèvres, bourdonnant à travers les filaments de matière.
Les yeux écarquillés, Nathan retenait son souffle en observant la scène. Le Général essayait peut-être de l'aider, mais Nathan avait encore plus peur de lui et des abeilles que de Longuesdents et Crâne de Pierre.