L'Épée de vérité, tome 10 : Le fantôme du souvenir

J'ai l'impression que je vais encore me répéter dans cette critique du dixième tome de l'Epée de vérité. Je trouve que c'est beaucoup trop long. Enfin, je n'ai rien contre les romans longs quand cela permet d'apporter des qualités au récit. Mais là, l'auteur aurait pu supprimer beaucoup de chapitres sans que cela nuise au récit. Plus ça va et moins j'aime cette saga.

Contrairement au tome précédent, qui est vraiment excellent, celui-ci est beaucoup plus fouillis.

ATTENTION SPOILER!!

En effet, on retrouve beaucoup de défauts qui existaient dans les tomes du milieu, à savoir des descriptions beaucoup trop détaillés des sévices qu'infligent l'ordre impérial ( à force, on a compris, ce sont des barbares sanguinaires qui pillent et qui violent, pas la peine de passer cinquante pages pour le redire!), des longs passages techniques sur le fonctionnement de la magie (qui ne sont pas vraiment intéressants)...
Cependant, j'ai apprécié de revoir Kahlan et j'ai suivi son histoire avec beaucoup d'intérêt. de son côté, Richard continue ses recherches, rencontrant comme par hasard presque tous les personnages de la série.
C'est vrai que c'est intéressant de regrouper tous les personnages de la série pour le final, mais je trouve cela un peu gros parfois.
Enfin, j'ai bien aimé le fait que Richard et Kahlan soient prisonniers tous les deux dans le même camp, avec Jagang. Qu'ils soient si proche du danger (et si proche l'un de l'autre) donne du piquant à ce tome un peu fade à mon goût.

Ce tome assez long et parfois ennuyeux m'a beaucoup frustré, car juste avant le final, j'aurais préféré un peu plus d'action et moins de bla-bla. Je mets quand même quatre étoiles (car ce tome fait tout de même partie de ma saga préférée), même si je pense qu'il en vaut moins

Après l'émerveillement des premiers tomes, le cycle de l'Epée de vérité continue sur sa lancée. Ce dernier volume fonctionne bien, j'ai eu plaisir à retrouver des personnages attachants et la fin laisse attendre encore un (ou deux) volumes qu'il me tarde de lire. Cependant, le souffle des premiers volume n'est plus là. L'auteur parvient certes, à reprendre d'une manière cohérente ses précédentes intrigues et à les intégrer dans un ensemble plus complexe et mystérieux, mais au prix d'un ralentissement de l'intérêt. Beaucoup de passages sont des résumés (ou réinterprétation) des épisodes précédents, un peu ennuyeux pour qui a encore l'intrigue en tête. Beaucoup d'autres sont visiblement destinés uniquement à préparer le prochain volume. Et je m'avoue gênée par le côté "démonstration" que l'auteur donne de plus en plus à son roman...

Ce tome me semble être essentiellement une mise en place.
Il n'est pas inintéressant, loin de là, l'action se déroule à un rythme bien moins soutenu, bien que l'on continue d'apprendre et (re)découvrir des éléments et autre clés.
Personnellement, j'espère que le prochain tome (ou les 2 prochains si l'intrigue devait tenir en 2 volumes) sera/seront le(s) dernier(s), et que les questions seront (définitivement :) ) résolues.
Bien que j'ai énormément apprécié ce cycle (tout ce travail sur la vérité et sur les façons de la biaiser est bougrement génial :D ), je crains qu'il ne finisse par s'étioler et ne se dilue à force de 'rallonger la sauce'.
Bref, il faut savoir finir :)

Salut les Babelionautes
Comme a son habitude Terry Goodkind en fait voir de toutes les couleurs à Kahlan et Richard.
Cette fois c'est un sortilège d'oubli qui rend Kahlan invisible aux yeux des humains qui la côtoient.
Richard quand à lui est aussi dans la panade la plus complète, et on se demande comment ils vont s'en sortir chacun de leur cotés.
Mais l'affrontement final n'aura pas lieu, Richard a donné une autre mission a son armée, qui de toutes façon n'aurez pas pu battre ou même endigué les millions de soldats formant l'armée adverse.
Cette Saga, que je compte bien finir, est parfois un peu répétitive car au fil des tomes nos deux héros sont toujours malmenés.
de leur cotés, Nicci, Cara et Zed cherche un moyen pour enrayer la disparition de la magie, qui est du selon Richard aux Carillons.
Comme d'habitude je n'oublie pas de remercier le traducteur, Jean Claude Mallé, qui a assuré la traduction de toute la Saga, cela a du être un sacré boulot !!!

Kahlan disparaît mystérieusement de la mémoire de chaque personne qui la connue mais aussi de chaque personne qui a connu son statut. L'inquisitrice n'est plus, elle n'a plus de consistance ni d'existence.

Une seule personne a gardé son souvenir, il s'agit de Richard, il va être la seule personne envers et contre tous à la rechercher à convaincre son entourage de son existence.

Même sans sa mémoire ni ses pouvoirs (parce qu'évidement Kahlan les a perdu), elle reste fidèle à elle même, un peu fragile au début, on retrouve rapidement sa force de caractère

Joli tome (si je puis me permettre), un petit clin d'oeil peut être à l'âme soeur qui là quelque part pour nous.

Que de blabla au départ de ce 10ème tome. Je philosophe; les méchants sont pas beaux et les gentils sont si intelligents. Bref l'action addictive de la première leçon du sorcier est bien loin.

Pour la fin de la série, Terry Goodkind a décidé d'écrire une fin "filée" sur trois tomes - 9, 10, 11. Des tas d'enjeux sont soulevés par l'intrigue qui sous-tend ses trois tomes, et chaque chapitre apporte - comme d'habitude - son lit de surprise, de retournements et de suspense. Dans cette longue fin donc, Terry Goodkind joue encore plus avec la frustration de ses lecteurs. Quand à la fin des autres tomes, l'intrigue centrale dudit tome était close, dans les tomes 9 et 10, ce n'est pas vraiment le cas et il faut attendre le tout dernier tome pour le dénouement. L'auteur nous sert des questions et des réponses, la guerre entre Jagang et Richard s'intensifie des deux côtés... Oui mais ce que nous on veut, c'est que Richard et Kahlan se retrouvent ! Hélas, la Mère Inquisitrice a disparu de la mémoire de presque tous les protagonistes et le lecteur est aussi frustré que Richard qui lutte pour affirmer le souvenir de son épouse et ne pas la condamner à l'oubli.
En dehors de cela, Terry Goodkind en remet une couche avec les Boîtes d'Orden. On croyait qu'elles étaient le joujou de Darken Rhal, mais en réalité, elles servent un autre but. Complexe, cette intrigue magique ? Un peu, peut-être... Mais si on se laisse porter par l'écriture toujours aussi fluide de l'auteur et par son style haletant si brillant, ce tome 10 est - encore ! - un grand moment de lecture fantasy !

Un peu déçue que ce tome se traîne un peu en longueur, comme si l'auteur voulait vendre un tome de plus et de ce fait, au lieu d'en faire un avec de la concision en avait fait deux avec cet intermédiaire qui se traîne en longueur.

Il a du bon, surtout de savoir que Richard et Kahlan sont prisonniers de jajang, si près et si éloigné. Pour le reste, j'avais TRÈS bien compris que l'empereur était une bête sanguinaire, un être assoiffé de sang et sans scrupules, pillant, tuant et violant tout ce qui bouge. Pas la peine de le répéter à toutes les pages, j'avais compris. A la fin, cela déforce le personnage.

Je ne me suis pas trop tracassée, Richard se sauve de toutes les situations, même s'il n'a plus son épée.

Ma foi, il est temps que la saga finisse parce que elle commence à retomber dans ses travers et à tirer en longueur.
Lien : http://the-cannibal-lecteur...

La suite directe du volume 9.

Richard continue à rechercher Kahlan, mais la trame s'enrichit et se complexifie. On retrouve le rythme des premiers tomes et aussi de nombreux personnages précédents (Rachel, Chase, Jebra….

En fait, on a l'impression que les tomes 9 (la chaine de flamme) et celui-là sont les 2 premiers tomes d'une trilogie. En effet, au cours de ce volume, l'intrigue progresse, le héros se comporte de manière plus mure, acceptant son rôle de sorcier de guerre. Certes, à la fin de ce tome, Kahlan et Richard sont tous les 2 prisonniers, Richard a perdu ses pouvoirs, l'armée de Jagang est aux portes du Palais du Peuple et les boites d'Orden ont été remises en jeu !!

Rien que cela !! de quoi donner un superbe onzième tome.

J'espère juste que Terry Goodkind s'aura s'arrêter là.