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Demon slayer tome 2 sur 23
EAN : 9782809482324
192 pages
Panini France (18/09/2019)
4.35/5   365 notes
Résumé :
Publié sous le nom de "Kimetsu No Yaiba" au Japon, "Demon Slayer" a été lancé en février 2016 dans les pages du célèbre magazine Weekly Shonen Jump. Véritable phénomène au Japon, dans la pure tradition des shonen nekketsu, cette série aux plus de 7 millions d’exemplaires vendus dans le monde est adaptée en anime, actuellement diffusé sur Wakanim TV sous le nom "Demon Slayer : Kimetsu No Yaiba". Il existe à ce jour 17 tomes au Japon, preuve s’il en faut, du succès de... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (18) Voir plus Ajouter une critique
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Un tome 2 qui accélère brutalement le parcours et la quête du héros pour ensuite les ralentir tout aussi brutalement dans les tomes suivants.
Dans un premier temps Tanjirō Kamado réussit son ordalie en terrassant le monstre qui a tué tous les élèves de Skonji Urokodaki. Mais en éprouvant de la compassion pour celui qui avant d'être un créature puissante et un bourreau fut un être humain faible et une victime, l'auteur confirme que nous sommes sur le fond comme sur la forme dans un shonen mélancolique où le héros est loin de des valeurs virilistes habituellement développés dans les séries de type nekketsu !
Dans un deuxième temps Tanjirō Kamado est missionné par son organisation pour mettre fin aux agissement d'un triple démon passe-muraille amateur de chair fraîche (il ne dévore que des jeunes filles de moins de 16 ans, estimant que passé cet âge elles ont mauvais goût). Et cette fois-ci il combat en duo et non en solo car sa soeur Nezuko est sortie de sa léthargie
Dans un troisième temps, Tanjirō et Nezuko se retrouvent à Tokyo et l'auteur brouillent immédiatement les pistes. Nos héros tombent directement sur le boss de fin Muzan Kibutsuji qui se fait passer pour un être humain, avant de rencontrer les guérisseurs Tamayao et Yushiro qui ont quitté le monde des démons en refusant de consommer de la chair humaine et qui comme eux cherchent un moyen de redevenir humain, et les assassins Yahaba et Susamaru sbires du boss de fin chargés de les éliminer et qui se croient de ranking élevé alors qu'ils ne sont que de la chair à canon corvéable et sacrifiable à merci… To Be Continued !

Ne n'ai pas envie de m'étendre sur le foreshadowing qui est fait sur l'épée noire du héros ou les Douze Lunes Démoniaques qui aident directement ou indirectement / volontairement ou involontairement Muzan Kibutsuji à régner par la terreur sur sa nombreuse et ambitieuse progéniture. Par contre l'opposition est symboliquement très belle entre les chasseurs de démons qui affichent leurs cicatrices et assument leurs états d'âmes et les démons qui cachent leurs cicatrices et n'assument pas leurs états d'âmes...
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• « 𝘋𝘦𝘮𝘰𝘯 𝘴𝘭𝘢𝘺𝘦𝘳, 𝘵𝘰𝘮𝘦 2 » 𝘥𝘦 𝘒𝘰𝘺𝘰𝘩𝘢𝘳𝘶 𝘎𝘰𝘵𝘰𝘶𝘨𝘦 , 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪é 𝘤𝘩𝘦𝘻 𝘗𝘢𝘯𝘪𝘯𝘪 𝘍𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦.

• Je continue à visionner la série animée en parallèle de ma lecture de l'histoire originale en format manga, et je dois avouer que c'est acter, je suis totalement tombé dedans. La série n'a de cesse de s'améliorer, que ce soit sur le plan de la narration ou de l'animation sublime, je n'ai pu qu'y accrocher.

[𝘓𝘦 𝘭𝘪𝘷𝘳𝘦]

• Ce deuxième tome est bien plus entrainant, avec des personnages qui commencent à doucement s'esquisser et des situations plus intéressantes en termes de rythme et d'intérêt. On découvre rapidement le visage du grand démon que recherche Tanjiro et la menace qui l'entoure, ainsi que certains détails intrigants. Un méchant dégageant un certain charisme et qui laisse présager de bonnes choses pour la suite. L'humour est présent dans certains chapitres et offre quelques petits sourire bienvenue.

• Entre les chapitres, la mangaka nous présente quelques petits dessins préliminaires, des projets qui pourrait prendre forme dans le futur (spoiler alert : il me semble que des épisodes spéciaux mettant en scènes nos héros dans un lycée soit bel et bien devenu une réalité ! - à vérifier toutefois, je n'ai vu qu'une image isolée et ne voulais pas me spolier.), ainsi que des anecdotes sur la série et les personnages. Un petit mot de la jeune femme remercie ses lecteurs à la fin du livre.

[𝘜𝘯 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵 𝘮𝘰𝘵 𝘴𝘶𝘳 𝘭'𝘢𝘥𝘢𝘱𝘵𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘦𝘯 𝘴é𝘳𝘪𝘦 𝘢𝘯𝘪𝘮é]

• L'animation de la série ne cesse de nous révéler ses beaux atours, avec des scènes de plus en plus soignées et travaillées. La scène où l'assistant parle du physique de Nezuko, et la réponse furieuse de Tanjiro est encore plus comique que dans le manga, et m'a franchement fait rire ! L'ambiance pesante y est parfaitement transcrite et le rythme un peu lent des premiers épisodes s'efface très rapidement pour offrir une narration plus mouvementée.

Ce deuxième tome est adapté dans les épisodes 5 à 9 de la première saison.

[𝘓𝘢 𝘱𝘦𝘵𝘪𝘵𝘦 𝘷𝘰𝘪𝘹 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘧𝘪𝘯]

• Un deuxième volume qui dynamise les aventures du pourfendeur et qui semble partir dans une bonne direction.

𝔑𝔬𝔫 𝔪𝔞𝔦𝔰 𝔠'𝔢𝔰𝔱 𝔲𝔫 𝔣𝔬𝔲 𝔩𝔲𝔦 ! 𝔅𝔦𝔢𝔫 𝔰û𝔯 𝔮𝔲𝔢 𝔑𝔢𝔷𝔲𝔨𝔬 𝔢𝔰𝔱 𝔧𝔬𝔩𝔦𝔢 !

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Panini Manga fait son grand retour avec la re-sortie de Demon Slayer, qu'ils avaient auparavant publié sous le titre Les Rodeurs de la Nuit avant de mettre la série en pause au bout de trois tomes. Cette re-sortie est d'autant plus attendue que l'adaptation animée du manga est diffusée depuis cette année (en simulcast sur Wakanim en France) avec beaucoup de succès. L'anime a d'ailleurs boosté les ventes du manga d'une façon vraiment impressionnante, en faisant un des très gros titres du Weekly Shonen Jump, qui prépublie le manga depuis 2016 (16 tomes sont sortis au format relié au Japon). Ceci étant resitué, voyons ce qu'il en est concernant ces deux premiers tomes, disponibles au prix d'un seul (une bonne idée pour relancer la série avec succès).

Début du XXe siecle au Japon, un petit marchand de charbon nommé Tanjiro vit une vie sans histoire dans les montagnes. Jusqu'au jour tragique où, après une courte absence, il retrouve son village et sa famille massacrés par un ogre ! La seule survivante de cette tragédie est sa jeune soeur Nezuko. Hélas, au contact de la bête, celle-ci s'est à son tour métamorphosée en monstre… Afin de renverser le processus et de venger sa famille, Tanjiro décide de partir en quête de vérité. Pour le jeune héros et sa soeur, c'est une longue aventure de sang et d'acier qui commence !

Avant d'aborder ces deux premiers tomes, je vais revenir dans un premier temps sur l'édition en elle-même. En effet, Panini étant énormément critiqué à ce sujet, il semble indispensable de revenir sur ce point d'emblée. Et me concernant, je trouve que c'est du très bon travail. Les pages sont assez épaisses, l'encrage me semble très bon, et les jaquettes sont vraiment belles. Bref, on est dans un travail qui m'a l'air dans la norme dans le domaine, et qui devrait bien vieillir (un des reproches souvent faits aux mangas de Panini). Un premier très bon point pour commencer donc.

Ceci étant posé, nous allons pouvoir aborder ces deux premiers tomes plus en détails. Comme l'indique le résumé, le manga se focalise sur Tanjiro, dont toute la famille à l'exception de sa soeur Nezuko a été massacrée par un démon. Et cette dernière n'en est pas ressortie indemne, puisqu'elle a été transformée en démon à son tour. Mais pour une raison inconnue, elle n'est pas un démon sanguinaire dévorant des humains pour vivre, au contraire, elle est protectrice vis-à-vis de son grand frère, et est maintenue en vie grâce au sommeil. Cette particularité va attirer l'attention de maître Urokodaki, qui va se proposer d'entraîner Tanjiro afin d'en faire un Pourfendeur de démons (ou Demon Slayer en anglais). Ceci afin de permettre au jeune homme d'affronter les démons dans le but de découvrir comment guérir sa soeur. Ainsi, le premier tome se focalise sur la présentation de l'univers et l'entrainement de Tanjiro, alors que le second lance pour de bon l'intrigue, nous présentant le principal antagoniste, Musan Kibutsuji, qui au-delà de ressembler étrangement à Michael Jackson, est également le seul capable de transformer les gens en démons.

Ainsi, ces deux premiers volumes ont déjà une belle densité, présentant rapidement et efficacement l'univers particulier dans lequel l'histoire se déroule, son duo de personnages principaux, son antagoniste et le principe des démons. Car parmi les nombreuses qualités du manga, les démons me semblent une des plus importantes. Au-delà du design particulier et réellement effrayant de ceux-ci, ils dégagent quelque chose de vraiment très intéressant. Alors que l'on part du principe qu'ils ne sont que des bêtes sanguinaires (bien aidés par leur aspect peu ragoutant, il faut le dire), on se rend rapidement compte qu'ils dégagent en réalité une forme de souffrance et de mélancolie. On le voit notamment avec le démon que Tanjiro affronte à la fin du premier tome, qui au moment de mourir des mains du héros, se met à pleurer en repensant à son grand frère qu'il a égorgé. Je trouve ce point vraiment réussi, car il évite le manichéisme et rend d'autant plus terrible le sort réservé aux gens qui sont transformés en démons.

Ce point permet également de développer Tanjiro, très différent des pourfendeurs de démons habituels. En effet, on nous explique que ces guerriers ne doivent pas hésiter ni ressentir de choses pour les démons. Or, Tanjiro est un personnage très empathique qui ne peut s'empêcher de partager la souffrance des démons. Ceci le rend vraiment très beau et offre une assise émotionnelle supplémentaire au manga (le regard du personnage étant particulièrement expressif). Assise émotionnelle décuplée par le lien entre Tanjiro et Nezuko.

Un autre élément important dans mon appréciation de ces deux premiers tomes vient de l'univers global et de l'esthétique du titre. La série se passant au Japon du début du vingtième siècle, on a droit à un style très marqué, avec des kimonos amples, des masques tengu, des villages traditionnels et des villes plus modernes, et des katanas ! Personnellement, je trouve que l'univers dégage une ambiance extrèmement réussie, renforcée par l'esthétique du titre. J'ai déjà évoqué la représentation des démons qui tape en plein dans le mille (mention spéciale au premier démon qu'affronte Tanjiro qui ressemble à… Racaillou !), mais le travail sur tous les personnages est du même niveau. Les visages sont très expressifs, les démons exprimant beaucoup de souffrance dans leur représentation, et les émotions de Tanjiro sont également parfaitement retranscrites. Et comme je l'ai dit, le dessin contribue énormément à l'ambiance et nous pose un folklore japonais des plus attrayants.

Ainsi, arrivé à la fin de ces deux premiers tomes, je suis déjà conquis par Demon Slayer. Certes, nous n'en sommes qu'au début de l'histoire, mais la mangaka a déjà introduit avec talent un univers fascinant et un personnage principal très touchant (sans parler de sa soeur). de plus, il y a déjà un certain nombre d'informations données sur les démons, qui mettent en place une aura de mystère et de fascination à leur sujet. de ce fait, je suis déjà très investi dans cet univers, et je suis plutôt ravi que Panini décide de reprendre la série en main et de rattraper le temps perdu, publiant les tomes 3 et 4 simultanément le 9 octobre, le volume 5 le 27 novembre pour ensuite passer à un rythme d'un tome tous les deux mois à partir de 2020. Et même si cela a déjà été dit pas mal de fois sur les réseaux sociaux, je me joins à l'enthousiasme général et vous invite à soutenir la série, afin qu'elle remporte le succès nécessaire à sa pérennité en France.

En résumé, Panini semble vouloir faire les choses bien avec Demon Slayer et donner à la série une nouvelle chance. Il faut dire que le titre a de nombreuses qualités, et s'il joue déjà dans la cour des grands au Japon avec son succès grandissant, ces deux premiers volumes me laissent à penser qu'il a toutes les cartes en main pour s'imposer également en France. Que ce soit son univers, son ambiance, son esthétique, son duo de personnage principaux et surtout les démons, le manga regorge de qualités et d'éléments fascinants. le rendez-vous est donc pris pour le 9 octobre, afin de voir si les tomes suivants confirment cette entrée en matière d'excellente qualité !
Lien : https://apprentiotaku.wordpr..
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Un second tome clairement plus palpitant que le premier dans lequel l'intrigue, au risque de s'enchaîner un peu brutalement, nous entraîne directement dans les premières missions du pourfendeur de démons et surtout de sa rencontre avec le terrifiant bad guy de la série. Profil réussi d'un maître démon qui se cache parmi la foule et dont la froideur nette dévoile légèrement une fureur glaciale. Un antagoniste réussi qui promet de futures et épiques confrontations.
Ce second volume est donc plus trépidant avec quelques séquences de combats plutôt bien mises en cases (sans être spectaculaires non plus) . Cela n'empêche pas ce second opus de privilégier quelques petits moments de douceur mélancolique comme les retrouvailles de Tanjiro et de sa soeur sous l'accolade d'un maître bienveillant. Un shonen toujours aussi ténébreux dans l'ensemble qui prend dans ce second volume un certain coup de fouet .
Mention spéciale à un antagoniste des plus prometteur mais aussi au chara-design des personnages plus approfondies où l'auteur s'amuse à refléter un esthétisme moderne (costume de Muzan) et traditionnel , les kimonos de Tanjiro et sa soeur. Ce qui donne déjà lieu à une opposition symbolique intéressante entre le démon caché dans la foule urbaine et le pourfendeur aux mains calleuses.

Un second tome plus palpitant et nerveux qui propulse davantage Demon Slayer sur les rails d'un shonen efficace et, parfois, assez stylé.
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Avec ce deuxième tome, je pense avoir confirmé que la série n'était pas faite pour moi. Je vois très bien ce qui va plaire à pas mal de monde : une histoire dynamique qui avance bien, avec une mythologie sombre et intéressante. Mais il n'y a rien à faire, je vois les grosses ficelles arriver et ça ne prend pas avec moi. Tant pis !

Je reconnais que c'est chouette de voir l'auteur ne pas faire trainer les choses en longueur. le "pseudo" tournoi de la fin du tome 1 se termine rapidement pour donner le titre de "demon slayer" au héros, ainsi que son épée, qui comme par hasard est très rare... On se tourne ensuite vers le coeur de son nouveau métier, la chasse au démon et en exécutant la première, il va tomber sur celui qu'il cherche et qui sera sûrement sa nemesis tout au long de la série.

C'est classique mais bien mené. Les personnages sont bien caractérisés. le héros gagne peu à peu en puissance et en charisme tout en s'affirmant. Sa soeur l'aide bien dans son combat et il se trouve en quelque sorte des alliés en chemin le méchant qu'il va affronter est sombre et dérangeant comme il faut. J'aime bien l'utilisation du fantastique japonais qui est fait ici.

Mais on est vraiment dans un titre jeunesse où l'on retrouve des mécanismes éculés et l'univers ne me parle pas assez pour me donner envie de poursuivre plus. Je cherchais quelque chose de moins prévisible.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Même quand on a perdu un être cher il faut continuer à vivre à avancer. Quelle que soit la douleur.
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- Yushiro ? Le seul démon que vous avez réussi à créer en plus de deux cents ans ? Mais… Quel âge avez-vous, au juste ?
- On ne demande pas son âge à une dame !
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La couleur d’un sabre du soleil varie en fonction de son porteur, et chaque couleur lui confère des propriétés uniques. Hélas, la couleur noire est tellement rare qu’on ignore tout à son sujet. A tel point qu’elle a acquis la triste réputation d’être la couleur des guerriers voués à l’oubli.
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- Ça n’aurait peut-être aucun effet, mais… Pendant que Nzeuko dormait, j’ai essayé de l’hypnotiser. Je lui ai répété… « Les humains sont ta famille. Protège-les. Ce sont les démons, tes ennemis. C’est eux qu’ils faut punir quand ils font du mal aux gens. »
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L’uniforme des pourfendeurs est, lui aussi, fabriqué dans une matière spéciale. Ses fibres sont à la fois aérées et peu perméables. Ni les griffes, ni les crocs de la plupart des démons ne peuvent les déchirer.
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DEMON SLAYER , Le shonen mélancolique - MENU MANGA #63
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