Ils se présentèrent l'un l'autre et claquèrent joyeusement des talons. En revanche, pour le salut hitlérien, Beewen devrait repasser : l'Hauptsturmführer n'avait qu'un bras.
À la Gestapo, on ne cherchait pas les criminels, on les inventait...
(page 45).
Comment reconnaître l’Aryen idéal ? Facile. Il est blond comme Hitler, grand comme Goebbels, svelte comme Göring.
- Tu sais ce que disait Freud ? « La violence, c’est un manque de vocabulaire. » (Beewen)
[…] les nazis, avec leurs uniformes couleur de diarrhée et leurs ceintures qui n’arrêtaient pas de couiner, comme un garrot de cuir autour de votre cou.