Cinquième épisode des enquêtes de l'enquêtrice Jess Campbell et du commissaire Carter , lequel aime bien aller sur le terrain, en l'occurence les Cotswolds, en Angleterre.
Et l'on commence ce tome avec "les multiples découvertes" d'un corps dans les bois. Seul un témoin appelera la police, ce qui est normal, il s'agit du médecin légiste , accessoirement meilleur ami de Jess.
On est dans un roman policier cosy, dans le sens où l'on s'y sent bien ( malgré le mort !) . On est dans une petite ville, où les natifs du coin se connaissent tous, où chacun défend son voisin. le début a quelque chose de rocambolesque dans la gestion de la découverte de cadavre. Rocambolesque mais sans humour, on n'est pas là pour rigoler mais pour résoudre un crime avec des professionnels !
La partie policière est parfaitement cohérente et plausible, et je n'ai pas deviné "le "coupable ( je n'ai pas cherché , non plus, préférant me laisser porter et savourer cette petite série bien sympathique à laquelle , il manque un zeste de "piquant" dans les relations entre membres du commissariat ). Jess n'en finit plus d'être célibataire , et le commissaire Carter est un brin, mou du genou ! Aucune action, de ce côté-là, on les a laissé dans le quatrième tome, exactement comme on les quitte au bout de ce cinquième. On n'en a pas plus appris sur eux, et c'est frustrant. Ce qu'ils font en dehors de leur travail demeure un mystère ..Cette série manque un peu de peps.
On devine l'auteure pas très à l'aise avec les scénes émouvantes, les scènes d'amour etc.
Une série un peu trop flegmatique pour moi, mais fort sympathique tout de même .
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Bonsoir les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture. Et bien je ne vous cache pas que je suis content d'avoir fini cette première enquête pour moi de Ian Carter et Jess Campbell.Cest plat c'est lloonnggggg c'est mou,ca tourne en rond ,je n'ai tout simplement pas accroché à ma lecture. Mais comme je dis toujours ceci n'est que personnel.
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Carl, éternel dépensier, est très endetté. Il poursuit sans arrêt sa soeur pour lui emprunter de l'argent. le mari de celle-ci, inventant de grands projets qu'il commence et ne termine jamais, est également un panier percé. Évidemment, les deux hommes se détestent. Quand leur père décède, celui-ci laisse une belle somme à son fils, mais c'est le couple qui hérite du « Vieux Couvent », maison et propriété familiales depuis toujours. S'estimant lésé, Carl pense qu'il y a eu manigance pour détourner sa part d'héritage. Il veut obliger sa soeur à vendre le bien et à partager la somme en deux. Il est pressé car il a des usuriers menaçants aux trousses. Un rendez-vous est donné dans le bois du Bossu. Harriet, sa soeur, accepte de le rencontrer afin de lui dire définitivement qu'elle ne cédera pas, que l'héritage est juste, puisque Carl n'est pas vraiment son frère. le père d'Harriet, veuf, s'était remarié avec une jeune femme, la mère de Carl, alors âgé de neuf ans, et il l'a élevé comme son fils. Dès l'enfance, ce dernier jalousait sa soeur, alors qu' Harriet s'est toujours évertuée à le protéger. Lorsqu'elle arrive au rendez-vous, Carl est mort, un fusil de chasse sur les genoux, la moitié du visage arraché. Suicide ou assassinat ?
Bien vite, la police va avoir des doutes et mener une enquête pleine de rebondissements. Vu le personnage, ce ne sont pas les suspects qui manquent. Roman policier d'excellente facture qui m'a bien passionnée.
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Presque un cosy-mystery anglais dont j'ai aimé l'atmosphère so british.
J'ai eu de la peine pour Carl, la victime, qui a cru toute sa vie qu'il hériterai de son beau-père et qui se trouve déçu au-delà du possible.
Je n'ai pas aimé sa demi-soeur qui ne joue pas franc jeu avec lui et le laisse s'imaginer en futur chatelain.
Nathalie, l'amie de Carl, m'a paru bien caricaturale en Cruella.
Un titre qui promettait une explication philosophique mais dont le contenu m'a déçu : la jalousie seule serait donc à la racine du mal ?!
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- Mais une foule de gens fréquentent la bibliothèque, Desmond ! protesta Ron. Tu ne t'imagines pas le monde qu'il y a, quand c'est ouvert.
- Mike et moi, nous y allons tout le temps confirma Debbie.
- Moi aussi, j'emprunte régulièrement des livres là-bas, renchérit Sally.
La question que je voulais vous poser est la suivante : pensez-vous que certains comportements puissent se transmettre par les gènes ?
(...)
- Tout ce que je peux dire, répondit le commissaire, c'est que les enfants reproduisent le comportement des personnes avec lesquelles ils vivent.
Il faudra que tu fasses bien attentioon, tu sais, que tu restes sur tes gardes. Parce que, dès que les gens savent que tu as de l'argent, il y en a toujours qui veulent t'aider à le dépenser..."
Elle adorait les arbres. Pour elle, ils avaient tous leur personnalité. C’étaient des survivants, dont chaque branche tordue, chaque nœud du tronc racontait une histoire. Elle sortait donc avec son téléphone portable et photographiait tous les sujets possible, afin de travailler ensuite sur la toile avec ses tubes de peinture dans le confort de sa cuisine.
J’ai vu un certain nombre de morts par balle au cours de ma carrière et, pour moi, le tableau suggère plutôt que c’est une tierce personne qui a tiré, d’une distance disons… d’un ou deux mètres… Mais ce n’est qu’une suggestion, attention ! se reprit-il d’un ton qui semblait s’excuser. Il faudra vérifier ça avec la balistique
Ann Granger se lance dans le cosy-crime ! Petits meurtres entre gens de bonne compagnie.
Toutes les informations sont disponibles ici : https://bit.ly/CottageFantomesEtGuetApens