Nos étoiles contraires

Livre lu « Meilleur roman de l'année 2012 » et avec un film annoncé pour le 20 août dans nos salles les plus obscures, mais surtout parce que IronBooqueen n'arrête pas d'en parler, puisqu'elle est tellement fan de cet ouvrage qu'elle pourrait vous le décrire et presque vous le réciter mot pour mot (si ce n'est pas le cas, je suis déçu !!). Pour ceux qui suivent mes vidéos, j'avais déjà essayé de le lire en début d'année avant de vite l'arrêté après quelques pages. Mais cette fois-ci, comme l'anniversaire de ladite personne arrive (même aujourd'hui, date du poste de la chronique), je me suis lancé dans cette lecture pour lui faire ce cadeau-surprise. Verdict ? le livre de John Green mérite-t-il son « Meilleur Roman de l'année 2012 » ?

L'histoire nous conte donc celle d'Hazel Grace Lancaster, âgé de 16 ans et atteint d'un cancer des poumons. Elle est donc en permanence avec une bonbonne d'oxygène sous le bras, et branché le soir à un appareil. Elle va aussi a des rencontres entre adolescents attend de multiple cancer et qui sont en rémission. Une sorte de réunion pour anonyme, non-anonyme pour le coup...

Elle y rencontrera Augustus Waters, l'ami de Isaac, qui lui souffre d'ostéosarcome. C'est ainsi qu'il a été amputé de l'une e ses jambes et avance grâce a une prothèse. Les deux personnages vont se passionner pour le livre de Peter van Houten, livrent qui raconte lui-même l'histoire d'une fille atteinte d'un cancer et qui se finit brusquement. Hazel veut connaître la suite avant sa mort, et Augustus va décider de tout faire pour réaliser son rêve. de plus Hazel se refuse à toute relation avec notre héros masculin, persuadé qu'elle sera la première à quitter ce monde.

Voilà en gros rapidement le résumé du livre. Et je vais être rapidement clair sur la question que j'ai posée plus haut, à savoir si à mes yeux le livre méritait son « Meilleur roman de l'année 2012 ». La réponse est non. Je ne suis pas un habituer du genre mis en avant dans le livre, puis qu'il s'agit d'un livre réaliste, dans un monde tel qu'on le connaît avec ses problèmes. On est donc loin du Fantasy, Fantastique ou de la Science-Fiction.

Non je n'ai pas trouvé ce livre sensationnel (et je sais que je vais me faire des ennemis publics), mais à mon sens, l'histoire est certes triste, mais c'est trop prévisible, assez niais sur les bords. Si on a deux sous de logique, on connaît la fin de l'histoire après 2 chapitres, et je n'ai nullement été étonné par la fin. J'en ai même été au final déçu. Pourquoi ? Je pensais voir le livre se finir comme justement au livre qui est présent dans le livre, celui de Peter van Houten (livre fictif sauf si je dis une bêtise..), et ce n'est pas le cas… On nous parle 100 fois de la fin du livre que nos héros suivent, mais pourtant, il n'y a pas de rappel à la fin du vrai livre que l'on tient entre nos mains… Dommage.

Il n'y a pas que des points négatifs, et dans un sens heureusement. Si l'on regarde par rapport à l'aspect réaliste, tout est fidèlement retranscrit et les personnages sont bien construits, même si personnellement ils m'ont un peu tapé sur le système à quelques moments. L'écriture de John Green est aussi fluide et cela se lit sans aucun souci, et l'on n'a aucune difficulté pour le lire et en arriver à la fin. Pour les plus rapides, 4petites heures suffiront pour en venir à bout et connaître la conclusion à l'histoire d'Hazel et Augustus.


En conclusion, un livre qui n'est pas un coup de coeur et qui ne mérite pas son « Meilleur Roman de l'année 2012 », peut-être tout simplement parce que je ne rentre tout simplement pas dans le panel des gens ciblé par ce type d'ouvrage. Un livre qui n'en reste pas moins sympathique à lire, mais qui ne restera pas, pour moi, dans les annales.
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Il faut définitivement que j'arrête de lire les romans pour adolescents, car ils ne sont pas mon truc.

J'ai trouvé les personnages mièvres, j'ai eu l'impression que l'auteur lui-même ne savait pas comment se dépétrer avec son personnage de van Houten.

Alors oui, il plaira aux ados, mais il faut croire que j'ai passé l'âge.

Bref, je n'ai pas aimé.

Est-ce que par hasard je traverserai un passage "bougon" ? Affaire à suivre...
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Hazel Grace, 16 ans , vit avec un cancer de la thyroïde métastasé qui l'oblige à porter une bonbonne d'oxygéne en permanence. Un jour, elle rencontre Augustus, dit Gus, 17 ans, en rémission d'un cancer des os qui lui a pris la moitié d'une jambe....
Quand une oeuvre fait le buzz, cela crée des attentes. Et mes attentes font que je suis restée sur ma faim pendant 2/3 du roman. Toutefois, l'émotion m'a gagné quand même.
Intéressant. J'attends de voir le film qui en a été tiré (notamment avec l'actrice de Divergente: Shailene Woodley)....

Contrairement à de nombreuses personnes je n'ai pas aimé ce livre. Je n'ai apprécié ni l'histoire, ni le style. Je ne me suis pas attaché aux personnages ni à leur destin. J'ai trouvé l'intrigue convenue, le dénouement prévisible et la quête de la suite du livre lu par l'héroïne ennuyeuse. Bref une lecture rapide sans saveur qui ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.

Drôle... Poignant... Lumineux... Superficiel, fade, insupportable.

Sans exagérer, ce livre réussit l'exploit d'être soporifique et hystérique à la fois. La plume est laconique, l'histoire racontée du point de vue de l'héroïne (cancéreuse), se résume à un enchaînement de péripéties sans intérêt : "Je fais ci, il fait ça, nous nous rendons à tel endroit, y'a une balançoire". Au final, l'essentiel du livre se compose de dialogues du niveau de "salut, ça va ?" "Ok." "Ok.".

Parlons-en du cancer, entre Hazel, Gus, Isaac, l'ex de Gus, la fille de van Houten, l'héroïne du livre préféré d'Hazel... On a l'impression que tous les enfants ont le cancer. Ce qui rend ça... bah banal en fait. Mais j'imagine que ça a fait chouiner dans les chaumières. C'est un peu dommage quand c'est à peu près la seule chose qui caractérise ton personnage principal.

Hazel est creuse au possible, c'est un personnage en carton : et vas-y qu'elle est en stade terminal depuis 3 ans, et vas-y qu'à 16 ans, malgré son retrait du système scolaire et sa maladie, elle est à la fac, et vas-y que tout le monde te dit qu'elle est incroyablement courageuse, et unique, et exceptionnelle. C'est cliché sur cliché : bam le mec super canon tombe dans sa vie dès les premières pages, il se trouve qu'il s'intéresse tout de suite à elle, qu'il la fixe au moins 1h, qu'il l'invite le même jour à venir regarder "v pour vendetta" chez lui, qu'elle pète un plomb en le voyant mettre une cigarette à sa bouche parce que tu comprends, elle ne peut pas respirer à cause de son cancer, mais vas-y que c'est, je cite : "Une métaphore, je mets le truc qui tue dans ma bouche mais je ne l'allume pas, je lui refuse le pouvoir de me tuer", donc ça va et elle va quand même chez lui (notez la durée et l'intensité de ce passage), tout vient et se règle en peu d'effort, je pourrais citer tout le livre comme ça.

Et tous les personnages sont en carton, le plus attachant est l'ivrogne imbu de lui-même.

Dans le ridicule : le coup de foudre, le mec canon et la nana qui se trouve moche mais qui ne l'est pas, la fausse subversion, la nana qui ressemble à l'ex décédée du mec, le baiser applaudit par tout le monde, la sempiternelle scène "d'amour" qui s'arrête après que les personnages se soient déshabillés, et qui arrive littéralement 3 pages après ce premier baiser, le "twist" du mec qui meurt avant la nana alors qu'il était en rémission d'un cancer dont on a 80% de chance de survivre.... pffff....

Cela étant, j'admet apprécier le message qu'essaie de véhiculer ce roman si mal écrit. A savoir que souffrir n'entache pas le bonheur qu'on a partagé avec quelqu'un et qu'on ne doit pas s'en priver par peur d'infliger ou de subir cette même souffrance.

Mais ce bouquin m'agace.
Il avait tellement de façon d'être plus intéressant !
Parce que sur le papier, tu me vends l'histoire d'une jeune femme malade qui essaie de vivre un amour comme n'importe qui, j'achète en fait.

Commencez pas virer tous les cancéreux pour ne garder que l'héroïne. Une héroïne qui ne pense qu'à sa mort prochaine, au poids qu'elle inflige à ses parents, qui s'isole. Mais qui finit, d'une manière ou d'une autre, par rencontrer un garçon en bonne santé, un garçon qui se met en tête de la faire revivre et apprécier chaque seconde de son existence, avec qui elle finit par se mettre en danger juste pour profiter, avoir l'impression de pouvoir faire ce qu'elle veut, mais cet instant de liberté est interrompu par sa maladie, elle fait une crise loin de chez elle, elle manque vraiment d'y passer. Mais à son réveil, elle ne regrette rien... 'fin je sais pas, cette histoire là m'aurait plu, elle aurait eu quelque chose de véritablement lumineux et tragique.

Je vais me faire huer mais j'assume:
Je n'ai absolument pas accroché ce livre! J'adore ce genre d'histoire en temps normal mais là... Pas moyen ! Je n'ai pas été emballé par le style d'écriture de Mr Green et cela m'a totalement bloquée, j'ai trouvé ce livre sans saveur, alors même que l'histoire aurait pu être passionnante. le seul point ''positif'' étant que ce n'est pas l'héroïne la première à mourir mais son ami, ça change de livre du même genre où une seule personne est malade et où le livre finit sur son décès
Un livre que j'ai donc beaucoup de mal à recommander alors même que le film m'a paru excellent. Ce qui est plutôt inhabituel chez moi.

J'ai vu le film que j'ai adoré, mais le style de l'auteur est trop jeune pour moi.

Au risque de détonner un peu, je n'ai pas été subjuguée par ce récit. Je suis même étonnée de l'engouement suscité par ce livre car il n'est que clichés, bons sentiments édulcorés de quelques phrases insipides, et d'une grande pauvreté dans le style.
La suite...
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J ai adoré ce livre l histoire l histoire entre deux enfants malade c est très emouvent !