Nos étoiles contraires

Les lecteurs du Time Magazine savent que ce roman "frôle le génie". Il est possible qu'il frôle le génie, mais ce qui est certain, c'est qu'il fait bien plus que frôler l'insipide.
Ce livre cumule tellement de défauts que c'est même difficile de les lister. C'est pour dire. Et, pourtant, j'avais un a priori plutôt positif concernant ce livre.
Et finalement, je découvre cet ensemble de pages, fade, sans histoire, sans ton, sans idées, rempli de personnages sans psychologie, plein de propos pseudo métaphysiques sur la vie et la mort.
On l'aura compris, je n'aime pas Nos étoiles contraires. Je me souviens même que hier soir, en pleine lecture de ce roman, je me suis surpris en train de m'endormir. C'est dire à quel point mon avis concernant ce récit est dépréciateur. C'est dire à quel point je rêve mieux. C'est dire à quel point cette lecture fut pour moi désagréable et difficile. Je n'ai même pas eu l'impression de lire de la littérature ; et, si je ne dis pas que cet ouvrage est purement commercial, c'est vraiment par respect pour l'avis estimable de certains lecteurs de ma connaissance, qui ont dû comprendre quelque chose que je n'ai pas compris, hélas !

Hazel a un cancer des poumons incurable...
A la suite d'un groupe de soutien, elle rencontre le beau et drôle Augustus...
Et là s'enchaîne une histoire de cancer, d'amitié, d'amour et surtout d'espoir ! !
Malgré un thème plus que triste, l'auteur arrive à nous donner le sourire...

Malheureusement, je n'ai jamais réussi à m'accrocher aux personnages. Je n'ai pas su entrer dans l'histoire.
J'ai trouvé que toute cette histoire autour du roman de van Houten n'apporte pas un réel intérêt...
J'en attendais sûrement trop étant donné que c'était un vrai succès littéraire et j'en ressors plutôt déçue...

Contrairement à l'engouement qu'avait suscité cette romance, je suis, personnellement, restée de marbre.

Je ne saurai dire comment, quelque chose manquait. Une lecture qui fut pour moi quelque peu plate, voire sans saveur. Une plume qui ne m'avait pas transcendée, et une histoire sans surprise.

J'accorde tout de même la moyenne pour quelques passages attendrissants, et car objectivement le livre n'est pas trop mauvais. Une question de goût.
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J'ai longtemps hésité à écrire mon avis sur ce livre, vu l'engouement général. Puis je ne suis demandée si j'arriverai à expliquer mon ressenti. D'ailleurs cela se remarque (que je n'avais pas forcément envie de l'écrire) quand on voit la date à laquelle je l'ai lu : janvier.

Je dois être l'une des rares à ne pas avoir aimé cette histoire. Enfin ce n'est pas l'histoire en elle même que je n'ai pas apprécié. Bien sur, le sujet est touchant, ne me croyait pas insensible à ce point !

Je pense que j'en attendais trop puisque ce livre a été encensé par les lecteurs. J'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages, je suis restée totalement extérieure et hermétique à leur vie. La fin bien sur m'a touché, j'ai eu la petite larme mais fâcheusement cela ne rattrape pas le tout !

L'auteur nous sert un fil conducteur (sur fond de leur histoire) : un "livre" que nos héros adorent, dont ils parlent souvent et nous servent certains passages. Je suis désolée mais déjà ça m'a plombé le récit. Un "livre" qui ne m'a pas parlé du tout, je n'ai absolument pas compris l'intérêt du bouquin pour nos héros. Désolée je dois être stupide !

Ensuite l'écriture de l'auteur a été le point dérangeant, je pense sincèrement que c'est pour cela que je n'ai pas accroché, que les personnages ne m'ont pas percuté.

Par contre, je regarderai le film pour voir si je suis plus touchée et intéressée par cette histoire.

Je suis énormément déçue de ne pas avoir aimé quand je vois l'enthousiasme de beaucoup de gens. Je suis passée à côté malheureusement, j'en suis la première attristée. Je pense que mon avis est juste personnel que ce livre plaira à quantité de gens, ne vous arrêtez surtout pas qu'à mon ressenti.
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J'ai été déçue. Est-ce que j'avais des attentes trop hautes, ou est-ce que je n'ai tout simplement pas accroché ?

Pendant quelques chapitres, j'ai bien aimé découvrir les personnages, et la façon de raconter d'Hazel (la narratrice) était plaisante.

Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus les personnages me tapaient sur les nerfs :
- J'ai trouvé Hazel pénible et égocentrique (elle se fiche que ses parents sacrifient tout pour elle et ne voit que leurs défauts).
- Ne parlons pas d'Augustus, qui a le prénom le plus éclaté de tout le roman (son seul mérite ?). Il est constamment dans le surjeu, et cherche un sens métaphorique et philosophique à tout ce qui l'entoure pour se donner une contenance et une maturité qu'il n'a pas.
- van Houten, l'écrivain adulé par les deux adolescents est réactionnaire, snob, et je ne comprends pas qu'Hazel et Augustus lui accordent une si grande importance. Il est central dans le récit mais n'apporte vraiment pas grand-chose.

Les événements improbables/incohérents s'enchaînent et vous font lever les yeux au ciel sans arrêt (un baiser dans la maison d'Anne Franck à Amsterdam et les visiteurs qui applaudissent, van Houten qui déteste les deux ados mais vient aux obsèques de celui qui meurt, Hazel qui ne peut pas vivre dix secondes sans sa canule à oxygène mais l'enlève pour faire un aller-retour dans une église et pour discuter ?).

Tout est prévisible et vous n'espérez qu'une chose : que quelque chose vous surprenne.

D'après la couverture, je devais me trouver face à un roman « drôle, poignant et lumineux », mais je n'ai pas ri (au début du roman, quand je ne savais pas encore ce qui m'attendait, j'ai dû esquisser quelques sourires), encore moins pleuré (j'en avais tellement marre que j'avais hâte que quelqu'un meure pour que le récit avance), et éclairez-moi sur ce qui est lumineux ! (jeu de mots, je sens la liesse du public).

Je pense que si j'avais lu ce roman il y a quelques années j'aurais été plus réceptive et j'aurais certainement trouvé moins de défauts et d'incohérences.
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Voilà bien longtemps que je n'avais pas lu un roman d'amour ou à l'eau de rose.... le bouquiniste près de mon lieu de villégiature a peu de choix (quand on n'aime pas les polars) et il fait trop chaud pour aller à la ville.

Bon, soyons clair, l'eau de rose est troublée, la maladie et l'attente de la mort guident l'histoire.
Mais toujours avec une pointe de positivisme.

Et puis, il y a des infinis à l'intérieur des infinis.
La durée de notre finitude peut être courte et intense, ou longue et ennuyeuse.

Ah oui, l'histoire est cousue de fils blancs mais pour se reposer à l'ombre en ce temps de canicule, c'est toujours mieux que la TV ;-)

J'ai été réellement surprise par ce livre (dans le bon sens du terme). Je ne m'attendais pas à ce qu'une histoire comme celle-là soit racontée de cette façon. Les deux personnages principaux se prennent en auto-dérision d'une manière juste sublime. L'histoire est réellement touchante, et on se rend compte de la chance qu'on a de “vivre”.
On ne peut que tomber sous le charme d’Augustus, et je n’y est pas échappé. Son humour est juste parfait, en fait tout en lui est parfait, et on aimerait vraiment connaître quelqu’un comme lui et avoir la même relation qu’il a eu avec Hazel.
Cependant, ce fut seulement une lecture agréable sans plus, puisqu'il y a eu tellement de bruit autour de ce roman que je ne l'ai pas autant aimé que les autres.

Lien : http://book-trip.blogspot.fr/

Ce roman a reçu une tonne d'éloges de la part d'innombrable lecteur, de la presse, mais a reçu également de nombreux prix. Je me risque alors de me faire lyncher en disant à haute voix que je n'ai que très peu apprécié ce livre.

J'étais enthousiaste en débutant ma lecture, mais malheureusement, plus les pages défilaient, plus mon avis divergeait. Pour au final me décevoir.

L'histoire débute directement avec un sujet difficile, un thème difficilement abordable mis en priorité : le cancer chez une jeune fille de presque 17 ans. La mort planant constamment au dessus de sa tête lui laissant peu de temps à vivre selon les statistiques des médecins. Nous sommes avec cette jeune fille, Hazel, qui par ailleurs est notre narratrice, vivant avec un cancer atroce lui compressant les poumons, la respiration et frôle la dépression.

Mais dans ce monde funeste il peut parfois y avoir un brin de lumière, et c'est alors que notre jeune Hazel rencontre Augustus, ce garçon en rémission qui la fera complètement craquer. Une rencontre qui redonne un infime espoir pour elle, d'avoir du soutien et du réconfort. Leur relation n'est pas niaise à la base, elle est même plutôt ironique quand on constate la situation.

Au départ je trouve ça assez drôle, sans pour autant me plier de dire comme me le promettait la couverture et les critiques, mais qui m'a fait sourire à quelques reprises. Je trouvais ça assez adorable sans tendre vers le niais, beau avec une pointe de tristesse. Moi qui ne suis pas fan des histoire d'amour, je trouvais la relation et la retranscription des émotions agréable. Mais voilà…

L'histoire d'amour penche de plus en plus vers le niais, voir l'absurde. Notamment à un moment où les deux tourtereaux se trouvent à Amsterdam et finissent par se « rapprocher » tendrement, et des spectateurs applaudissent en les félicitant (j'avoue ne plus avoir bougé, pendant quelques secondes).
J'ai trouvé ce moment tellement étrange, voir comique (ridicule ?). Je n'en cite qu'un pour ne pas spoiler l'histoire évidemment. Ces passages niaiseux ont mis un frein à la continuité de l'histoire.
Je me suis aussi détachée de leur « quête » mutuelle pour rencontrer le fameux Peter van Houten, personnage qui m'a d'ailleurs dégoûté et qui n'a, à mon sens, pas été exploité comme il le devait.

Les éloges ainsi que l'impact médiatique m'a certainement dupée, j'en attendais tellement plus. Je n'ai pas ressentie la peur au ventre en tournant les pages, me demandant ce qu'il va advenir ou encore, si les lignes suivantes me feront pleurer. Non, je n'ai pas ressentie le flot d'émotion tant promis par la majorité. Enfin, au moins c'est un livre que beaucoup de jeunes (et adultes !) ont appréciés.

J'en attendais simplement trop ?

Lien : http://esquissedesmots.fr/in..

C'est un livre où déambulent "tant bien que mal" des ados atteints du cancer. Pouuaaahh pas évident à lire car dès le début on connait la fin mais bizarrement ce roman ne m'a pas retournée. le destin est bouleversant certes. Des scènes sont insoutenables comme la répétition de l'éloge funéraire lue en présence du futur défunt mais il me semble que j'ai gardé une certaine distance peut-être pour me protéger.

C'est avant tout un livre d'amour. L'amour entre Hazel Grace et Gus ces 2 ados courageux dans leur combat qui font en sorte de ne pas alarmer leurs proches. L'amour des parents pour leur enfant. Comment accompagner celui qu'on a mis au monde, qu'on a aidé à marcher et à grandir. Comment préparer la suite. L'après.

Je ne sais pas si je verrai le film. Je crois que j'ai plutôt envie de rester avec mes propres images de ces protagonistes.

Au risque de choquer quelques âmes sensibles, je m'étais préparée à m'émouvoir plus, rire ou pleurer plus. Malgré un magnifique message genre "vivons pleinement chaque seconde comme si c'était la dernière", ce livre ne restera pas gravé dans ma mémoire.