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4,18

sur 16853 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Il y a des choses qui resteront de grands mystères de la vie: pourquoi les tartines au beurre tombent elles toujours sur le coté beurré? pourquoi sommes nous sur terre? mais surtout pourquoi les gens aiment ils "Nos Etoiles Contraires" ?

Les quatrième de couverture devraient laisser les critiques enflammées aux adolescents prepubescents car qualifier ce livre de "chef d'oeuvre" est non seulement exagéré mais complètement délirant.

Le roman mise tout sur son theme central, j'ai nommé: le cancer avec un grand C et une romance du genre "je t'ai aimé dès l'instant où t'as fait tombé ton stylo par terre et que j'ai croisé tes yeux en le ramassant pour toi".

L'histoire est cliché après l'autre et les personnages aussi plats qu'une limande.


Voici quelques scènes des plus comiques:

* Deux adolescents malades traînant la nuit dans une ville inconnue et un pays étranger, sont servis -sans mot dire- du champagne en plein public.

*Des inconnues applaudissent nos deux tourtereaux qui s'embrassent au musée Anne Frank. (sérieusement!)

* "Je voudrais juste être assez pour toi Gus!". (que quelqu'un me reveille de ce cauchemar sans fin)

Je vous passe les details affligeants parce que je vous aime bien.


Dans l'ensemble cette lecture ne fut pas veine, ce livre est devenu au fil des mois mon baromètre de crédibilité littéraire, si qui que ce soit m'en parle avec les étoiles dans les yeux, c'est tout simple, je ne lui parle plus jamais de ma vie.
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J'annonce que cette critique sera négative, tout en évitant le spoil, mais négative tout de même, n'ayant pas aimé ce livre. Pour moi, TFIOS ne mérite pas son titre de "Meilleur roman 2012". Pourquoi?

Déjà, le speech de base. Très sincèrement, je n'ai pas compris où voulait en venir l'auteur. Nous suivons Hazel, atteinte d'un cancer des poumons à l'âge de 16 ans, qui rencontre Augustus (Gus), en rémission. Dès le premier regard, ce sera le coup de foudre (elle, parce qu'il est beau -syndrome d'Anastasia Steele- et lui parce qu'elle ressemble à son ex qui est morte d'une tumeur au cerveau -glauque-). Hazel ne veut pas sortir avec lui, car c'est une grenade, un jour ou un autre, elle finira par mourir, ce qui le fera souffrir (comme tous, Hazel, même les non-cancéreux ne sont pas immortels). Mais un jour elle dit oui, et elle se rend compte qu'elle est heureuse.

Voilààà. Déjà, ça. Rien que ça. Aller, je cale ici un point positif: c'est bien écris, c'est fluide. Vous vous attendiez à une histoire d'amour épique entre deux cancéreux qui vont se soutenir mutuellement dans la maladie? Ahah, fuyez donc, bande de fous.

Si l'histoire avance, c'est parce que l'auteur se base sur un petit tas de pièces rapportées au livre, comme la pyramide de Maslow, et les deux livres fictifs Une impériale affliction et un roman SF qui m'a tellement peu marquée que j'en ai pas retenu le nom. Sans Une impériale affliction, l'histoire n'est rien. Car ce roman est le roman préféré d'Hazel, celui qu'elle relit 10 fois dans le mois, parce que l'héroïne, Anne, vit le cancer comme elle. le rêve d'Hazel, c'est de connaître la fin de ce roman, car il n'y en a pas. Et donc, grâce à son nouvel ami, elle va pouvoir rencontrer l'auteur, Peter van Houten. Et là c'est le drame, c'est le moment où l'auteur passe en mode freestyle, et que ça devient vraiment n'importe quoi...

Ça se sent que John Green ne sait pas trop quoi faire du personnage de Peter, et pourtant, il y aurait eu matière à faire. Après leur rencontre avec Peter, les rencontres/interactions avec ce dernier vont être plus invraisemblables que les autres, au point de faire d'Hazel un pauvre personnage harcelé par un pauvre type alcoolique qui tente d'oublié qu'il a perdu sa fille qui avait le cancer (tous les enfants de ce livre ont le cancer, visiblement) en écrivant un bouquin totalement fictif mais dont sa fille est le personnage principal (vous suivez? Une impériale affliction?).

Hazel et Gus sont des caricatures sur pattes des personnages que l'on croise régulièrement dans la romance, de ce côté-là, John Green ne s'est pas foulé. Il a essayé de faire passer des sentiments, mais de la manière dont il a installé leur histoire, ça sonne complètement faux et a côté de la plaque. Leur rencontre transpire le WTF à grand seaux, désolée mais si un mec me fixe pendant toute une réunion, ça me ferait flippé. D'un autre côté, si cette même fille est limite sur le point de m'égorger car j'ai des cigarettes sur moi, je ne l'invite pas voir V comme Vendetta chez moi. Juste une simple question de bon sens.

Mais on sent que l'auteur s'est renseigné avant d'écrire son livre. Sur le cancer, la philosophie de la vie pour les nuls, la pyramide de Maslow, sa culture cinéma, oui on la sent. Mais d'habitude, les auteurs l'intègrent bien à leur histoire. Pas avec John Green. J'ai eu l'impression qu'à travers le personnage d'Hazel l'auteur me disait "tu la sens ma culture? tu le sens que je me suis renseigné et que je connais des choses? TU LA SENS MA GROSSE CULTURE BOURREE D'ACRONYMES?" Oui parce que l'auteur aime les acronymes et nous en colle partout. Conseil: prenez des notes, sinon vous serez perdus comme moi.

Pour conclure, j'ai lu quelque part, que "oui mais c'est un bestseller ce livre, qui va être adapté au ciné, il est donc bien." Souvenez-vous que Fifty Shades of Grey aussi.
Lien : http://onceuponatime.ek.la/n..
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Extrêmement affligeant ! Pourquoi la littérature pour ados doit-elle être si calamiteuse, pauvre et insipide ? Si j'avais une ado qui tombait elle aussi comme une mouche devant cette histoire, je serais franchement inquiète.

"On rit, on pleure et on en redemande". Que nenni ! On s'énerve devant tant de nullité, on grimace ou on jette le livre tant c'est insupportable. Au mieux, on reste de marbre, froid et impatient de finir.

Je n'ai eu aucune sympathie pour les personnages, cancéreux ou pas. Il semblent avoir été taillés dans le plus primitif et caricatural des moules, puis dotés du cancer comme un attribut qui suffirait à lui tout seul à les rendre aimables et attachants pour le lecteur. Raté pour moi. Leur sort m'indifférait complètement et leur préoccupations aussi : quel ennui leur roman fétiche et leur amourette platonique très esthétique, trop esthétique même pour être crédible.

Bref, je suis encore tombée dans le piège des best-sellers-arnaques. Je ne m'y aventurerai plus jamais, même si on nous harcèle visuellement partout avec !
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Malheureusement, j'étais très impatient d'en finir avec ce roman qui m'a donné l'impression d'être seul au monde... Seul à ne pas l'aimer... Seul face au torrent d'applaudissements et d'émerveillement des lecteurs...

Mais je le dis à voix basse pour que l'on ne me piétine pas!!!

Bref, je trouve l'auteur fort intelligent de miser sur ce genre de sujet qui hôte à quiconque le courage de critiquer un roman parlant de gamins dotés de cancers!!!! chapeau bas au grand aventurier futé.

Bon, à voix basse... chut chut..

L'histoire d'amourette pour adolescents est fort ennuyeuse et manque d'originalité... Les personnages sont tirés d'un téléfilm ennuyeux, très peu attachants et percutants.

Je préfère m'en tenir à cette modeste critique avant que l'on me torpille de toutes sortes d'injures...
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Nos étoiles contraire... Ou le bouquin ou "je vous mets deux kilos de pathos" ... "ah y en a un peu plus je vous le laisse?"...

Alors je ne sais pas.... mais c'est même pas que j'ai détesté ce livre... non c'est pire ( parce que pour moi quand on déteste c'est qu'il s'est passé quelque chose émotionnellement)... et là rien.. mais rien une sorte de désert... Si on me demande mon avis
"... ça n'a aucune importance, pour rien..."

Je sais que j'ai un coeur de pierre, je le sais...

Pitch:
Le cancer, la pire maladie, qui laisse aucune chance.... bon là on se dit ok... déjà on peut sortir le mouchoir.. non.. c'est pire: une ado... l'ado choupette, qui sait qu'elle va mourir.. ça l'en rend pas moins stupide... non...
donc une ado cancéreuse qui va tomber amoureuse, d'un gars ( à ce niveau elle fait comme elle veut).... et il est là le rab...
malade aussi... où la chronique d'une mort annoncée. Et peut importe qui crève d'ailleurs...
y va y avoir des morts (sur l'air d'y va y avoir du sport)...

Mouais...
et je me demande comment on peut se faire avoir par ce livre... Sérieusement.
Tout est visible, toute la sueur de l'auteur, tout est téléphoné, enfermé dans le cliché '( et peut importe lequel... ils y sont tous...)
Les clichés de merdes d'un romantisme à deux balles...
La totale méconnaissance de l'auteur sur comment ça se passe en vrai ailleurs... Sa vision d'Amsterdam m'a fait frémir...
Le rab encore dans le pathos avec une dédicace à cette pauvre Anne Frank qui n'avait rien demandé à personne.. et le parallèle pourri entre ces deux adolescentes...

L'écriture laborieuse, pleine là aussi de toutes les règles, clichés de l'écriture qui fait que j'ai l'impression de lire toujours le même auteur, toujours la même chose (on pense déjà au film alors qu'on a pas encore fini le livre..) Cette fluidité ou rien n'accroche, faut pas fatiguer le lecteur ce pathos là... Ce truc mièvre, bien pensant, bien dans les clous ... et qui me fait en général vomir.. désolée c'est épidermique..

Comme dans les films où on nous balance un coup de violon au cas où le spectateur ai pas compris "là tu pleures".. et bin non... là je pleure rarement.. et si je pleure j'ai pas besoin de ton violon à la con... Mais c'est plus difficile à faire, faut du doigter... et là on est plus bourrée en sabot avec violon histoire de rendre ça plus boooo....

A un moment j'ai même pensé "bon elle y passe qu'on en finisse"..

Nan ouais je sais que je suis sans coeur... et je soupire...
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Un conseil; c'est dimanche, il pleut, vous vous sentez BOF; n'ouvrez pas ce bouquin, jetez le plutôt votre cheminée et faites un bon Sodoku.
D'accord c'est super original d'écrire (pas de spoiler c'est sur le dos du roman) sur le cancer , qui plus est sur celui qui touche des gosses. Muumm, l'auteur aurait -il osé des gosses handicapés, maltraités et qui louchent avec en plus le cancer? Je crois que là, on tiendrait un Pulitzer...
Bref, faut-il saluer l'auteur de s'être attaqué à ce tabou glauque? Allez, c'est pas aussi controversé que les versés sataniques, mais pourquoi pas? J'ai bien peur que tout le ramdam autour de ce livre ne tienne qu'à cela ...Pour ma part,
j'ai détesté ce livre, il est ennuyeux et tiède comme un vidal.
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Si vous avez aimé, mon avis va être très difficile à lire pour vous. Ce roman n'est ni laid, ni beau. Il ne laisse pas insensible, mais il ne m'a pas touchée non plus. J'en ressors avec un mal de tête, abrutie de trop de détails philosophiques absolument pas essentiels à l'histoire. J'ai trouvé l'histoire intéressante, le rythme bon, la dynamique parfaite. Mais le rendu général est plat et beaucoup trop pessimiste. Dans ce livre le cancer, c'est la mort. Mais la vie, elle, est occultée. En bref, avec un tel sujet, je pensais vraiment avoir une boule au ventre, les yeux humides et la peur de tourner les pages. Mais rien, pas une larme, pas un mouchoir. Ni chaud, ni froid. Ce roman ne restera définitivement pas dans ma mémoire...
Lien : https://mes-reves-eveilles.b..
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Mais comment ai-je pu tomber dans le piège grossier de la 4ème de couverture aux envolées dithyrambiques ?
Mince m'écriai-je! Je serais passé à côté d'un chef d'oeuvre et sans même en avoir vu le film !!!
Prenez une chaise et asseyez-vous ! Je tiens à vous éviter la chute. Pas celle de l'histoire car celle-là on la devine dès les premières pages mais la déconvenue, la déception, voire même le jet par la fenêtre de l'imposture au risque de blesser le passant innocent.
L'éditeur aurait au moins pu signaler quelque part "Littérature pour ados" enfin littérature n'est pas le mot correct ! disons plutôt "Ratures pour ados" !!!
La totale: tout y est, la mièvrerie, les clichés, la niaiserie.
Je ne le recommande même pas à vos enfants !
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J'ai lu « Nos étoiles Contraires » de John Green, et j'en suis très déçue… Je n'ai pas aimé ma lecture.

Dans cette histoire nous retrouvons Hazel une jeune fille qui a le cancer, qui va rencontrer Augustus aussi atteint de la maladie, dans un groupe de soutien.

Je suis tellement, mais tellement déçue de ce livre, j'en ai tellement entendue parler comme quoi il était « incroyable », « triste », « exceptionnel », je suis désolée mais non.
Je m'attendais à être bouleversée, à être très émue de ce livre, à ressentir leur souffrance mais rien de cela.
J'ai eu du mal à m'attacher aux personnages.
L'écriture je l'ai trouvée ennuyante.. malheureusement. C'est dommage car la plus part de l'histoire c'est sur le livre fictif préféré d'Hazel et sur cet auteur qui fait que boire. J'ai pas trouvé ça intéressant. Je me suis clairement ennuyée. Je n'ai pas dutout accroché. J'ai ensuite lu en diagonal, mais l'histoire m'a perdue.

Le thème du cancer m'émue beaucoup, mais ce livre non…

Je ressors de ma lecture déçue, je regarderai le film pour essayer de m'en faire un avis différent.
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Ce que j'ai ressentis en lisant ce roman, c'est que j'ai déjà ressentis devant certains films biographiques réalisés uniquement pour avoir l'Oscar.
Oui certes, il est très correctement écrit, il y a tout ce qu'il faut de pathos et "d'éros mature inaccomplis" pour que cela fonctionne comme un ressort.

Mais pour ma part j'ai eu cette désagréable d'avoir dans les mains un produit de consommation et pas d'une oeuvre littéraire qui tente de nous faire pénétrer au coeur de l'humain, de l'angoisse de la mort et de la pulsion de vie. Ce roman n'est pas parvenu à me rendre familier les personnages.

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