Nos étoiles contraires

Je me suis vraiment ennuyée pendant tout le livre. Je n'ai ressenti aucune émotion et c'est bien dommage. J'ai ensuite regardé le film et là j'ai beaucoup plus apprécié. Désolée de devoir faire un comparatif. Nos étoiles contraires n'est pas un livre que je recommanderais.

Livre intéressant et émouvant car la maladie est très très bien résumé. Je trouve cependant qu'il est très long à lire.
Pour ma part je ne le trouve pas addictif.
Le personnage de Hazel Grace la protagoniste est super intéressant je la trouve très courageuse et la tête sur les épaules.
Je peux le recommander !

J'ai dévoré le livre en 2 jours. J'ai pleuré, j'ai rêvé, j'ai ressentie. Quel coup de poing ce livre. Ces deux adolescents, fou l'un de l'autre, près a vivre l'instant comme si c'était le dernier. Ils ont de quoi vivre l'instant présent, puisque, confronté à la maladie, ils savent que tout est fragile pour eux. Elle a un cancer incurable qu'elle traîne depuis des années, lui sort de sa maladie, et ne peux que la comprendre et la soutenir dans cette épreuve, mais le destin et parfois cruel, et va changer la donne.

bonjour
Ce livre ma été conseiller par une amie qui à eu raison de me le recommander. Je l'ai dévoré en 4 jours. On se projette tout de suite. le livre ma beaucoup émue, toucher je me suis mis a la place de Hazel. Je recommande a 1000000% c'est un livre pour adolescents je trouve mais un adulte comprend aussi l'histoire.
Le livre nous racontes des épreuves de la vie.
Bonne lecture😊

Drôle, touchant, poignant et déprimant.
Ce livre a tout pour plaire ! "Nos étoiles contraires", une histoire racontée par John Green dans la peau d'une adolescente (cancéreuse) qui parle de voyage, de littérature, de maladie et d'AMOUR !!!
Un livre à mettre entre toutes les mains. . .

Drôle... Poignant... Lumineux... Superficiel, fade, insupportable.

Sans exagérer, ce livre réussit l'exploit d'être soporifique et hystérique à la fois. La plume est laconique, l'histoire racontée du point de vue de l'héroïne (cancéreuse), se résume à un enchaînement de péripéties sans intérêt : "Je fais ci, il fait ça, nous nous rendons à tel endroit, y'a une balançoire". Au final, l'essentiel du livre se compose de dialogues du niveau de "salut, ça va ?" "Ok." "Ok.".

Parlons-en du cancer, entre Hazel, Gus, Isaac, l'ex de Gus, la fille de van Houten, l'héroïne du livre préféré d'Hazel... On a l'impression que tous les enfants ont le cancer. Ce qui rend ça... bah banal en fait. Mais j'imagine que ça a fait chouiner dans les chaumières. C'est un peu dommage quand c'est à peu près la seule chose qui caractérise ton personnage principal.

Hazel est creuse au possible, c'est un personnage en carton : et vas-y qu'elle est en stade terminal depuis 3 ans, et vas-y qu'à 16 ans, malgré son retrait du système scolaire et sa maladie, elle est à la fac, et vas-y que tout le monde te dit qu'elle est incroyablement courageuse, et unique, et exceptionnelle. C'est cliché sur cliché : bam le mec super canon tombe dans sa vie dès les premières pages, il se trouve qu'il s'intéresse tout de suite à elle, qu'il la fixe au moins 1h, qu'il l'invite le même jour à venir regarder "v pour vendetta" chez lui, qu'elle pète un plomb en le voyant mettre une cigarette à sa bouche parce que tu comprends, elle ne peut pas respirer à cause de son cancer, mais vas-y que c'est, je cite : "Une métaphore, je mets le truc qui tue dans ma bouche mais je ne l'allume pas, je lui refuse le pouvoir de me tuer", donc ça va et elle va quand même chez lui (notez la durée et l'intensité de ce passage), tout vient et se règle en peu d'effort, je pourrais citer tout le livre comme ça.

Et tous les personnages sont en carton, le plus attachant est l'ivrogne imbu de lui-même.

Dans le ridicule : le coup de foudre, le mec canon et la nana qui se trouve moche mais qui ne l'est pas, la fausse subversion, la nana qui ressemble à l'ex décédée du mec, le baiser applaudit par tout le monde, la sempiternelle scène "d'amour" qui s'arrête après que les personnages se soient déshabillés, et qui arrive littéralement 3 pages après ce premier baiser, le "twist" du mec qui meurt avant la nana alors qu'il était en rémission d'un cancer dont on a 80% de chance de survivre.... pffff....

Cela étant, j'admet apprécier le message qu'essaie de véhiculer ce roman si mal écrit. A savoir que souffrir n'entache pas le bonheur qu'on a partagé avec quelqu'un et qu'on ne doit pas s'en priver par peur d'infliger ou de subir cette même souffrance.

Mais ce bouquin m'agace.
Il avait tellement de façon d'être plus intéressant !
Parce que sur le papier, tu me vends l'histoire d'une jeune femme malade qui essaie de vivre un amour comme n'importe qui, j'achète en fait.

Commencez pas virer tous les cancéreux pour ne garder que l'héroïne. Une héroïne qui ne pense qu'à sa mort prochaine, au poids qu'elle inflige à ses parents, qui s'isole. Mais qui finit, d'une manière ou d'une autre, par rencontrer un garçon en bonne santé, un garçon qui se met en tête de la faire revivre et apprécier chaque seconde de son existence, avec qui elle finit par se mettre en danger juste pour profiter, avoir l'impression de pouvoir faire ce qu'elle veut, mais cet instant de liberté est interrompu par sa maladie, elle fait une crise loin de chez elle, elle manque vraiment d'y passer. Mais à son réveil, elle ne regrette rien... 'fin je sais pas, cette histoire là m'aurait plu, elle aurait eu quelque chose de véritablement lumineux et tragique.

Encore un chef d'oeuvre de John Green ! Un livre auquel on s'attache ; on retient sa respiration jusqu'à la fin… Triste mais joyeux ! Poignant et réaliste relatant une histoire qui peut à tous nous arriver. Un gros coup de coeur à lire ABSOLUMENT !!!!

Le pitch : On suit des jeunes atteints de cancer.

Mon avis : un livre touchant qui m'a marqué, je me rappelle très bien où j'étais en train de le lire. J'ai versé ma larme.
L'écriture est belle et fluide. On se plonge dans cette histoire avec plaisir malgré le thème.
Aborder le thème du cancer infantile/ado est lourd mais c'est contrebalancé par de l'humour bien placé et une très belle histoire d'amour.

Le moins : l'histoire autour de l'auteur préféré de la narratrice. Je n'y vois pas l'intérêt vue son exécrabilité, il n'apporte rien.

Ce livre m'a brisé le coeur.
La force d'Hazel est si prenante, si exemplaire. Et le fait qu'elle ne veuille pas être une "bombe" pour son entourage me donne l'envie d'hurler. Leur amour avec Gus est si beau, j'aimerai tant vivre une histoire comme la leur.. Si belle, si voyageuse..
L'amour, pour le meilleur et pour le pire est bien représenté dans ce bouquin..

SPOIL

Tout d'abord ce livre est juste incroyable ! J'ai vraiment beaucoup pleuré sur les 50/60 dernières pages et j'ai eu beau chercher je ne trouve toujours pas de défauts dans ce livre. Dans cette histoire. La fin m'as beaucoup surprise car je pensais que ça allait être Hazel qui allait mourir en première mais quand j'ai vu '' AUGUSTUS Waters est mort huit jours après (...) j'ai vraiment était choqué et j'ai pleuré tout le long. Encore plus quand j'ai lu sa lettre. Ce livre est destructeur mais comme le derrière du livre le dit: '' Quand on pense en le refermant ne ressentir que de la tristesse, ce livre nous fait aimé la vie plus que jamais.'' eh bordel quesque c'est vrai ! 5 étoiles