Nos étoiles contraires

Nos étoiles contraires parle des personnes atteintes de cancer(s), mais ne parle pas tant que ça du cancer en lui même. On découvre la vie de Hazel Grace Lancaster, ou Hazel-tout-court, qui va rencontrer Augustus Waters (ou Gus), lors d'une des sessions du groupe de soutien auquel sa mère la force à aller. Augustus est beau, charmeur, n'a qu'une seule jambe et plus de signe de cancer dans son corps. Il y a une différence importante entre Hazel et Augustus. Lui a un futur, pas elle.
Le style d'écriture est simple, clair, franc et percutant, avec des touches d'humour intelligemment placées. Pendant la lecture, on rit, on garde un sourire sur les lèvres, mais John Green arrive à en faire pleurer plus d'un. Pas parce que l'on parle du cancer, mais parce que l'on s'attache beaucoup aux personnages et parce qu'on les admire.
Plusieurs critiques de ce roman disent que les personnages principaux se comportent et parlent comme des adultes alors qu'ils sont des adolescents, mais je ne suis pas d'accord. Ce sont des adolescents normaux, bien que fictifs, même si le personnage d'Hazel est inspirée d'une vraie jeune fille.

Mais, le principe d'un livre est que des tas de personnes puissent le lire sans ressentir et comprendre les mêmes choses.
Et la meilleure façon de découvrir ce que ce livre vous apportera, c'est de le lire vous-même!

Attention, ce livre est très beau mais aussi plutôt triste. Sans l'être trop. Malgré la maladie, qui est quand même plutôt présente, le roman ne sombre jamais dans le pathos exagéré. Oui, ils sont malades, gravement malades, mais ça ne les empêche de vivre comme (presque) tous les ados. Et si la mélancolie ou la peur les rattrapent parfois, l'humour est leur meilleure arme.

Que dire de plus ? Si l'histoire est superbe, remarquablement bien écrite et construite, préparez cependant les kleenex. Et ne vous laissez pas rebuter par un premier chapitre, très direct, ce n'est pas non plus si brutal, mais bon, il appelle un chat un chat et c'est bien normal.

Même si j'étais un peu réticente à l'idée de lire encore un livre traitant du cancer, j'ai totalement dévoré ce livre.
Et même si j'ai certains reproches à lui faire : j'ai trouvé que l'histoire de la rencontre avec l'écrivain n'était vraiment pas indispensable, et le style un peu pédant parfois agaçant, je pense que c'est un livre important, à présenter à nos élèves...

Une lecture qui m'a échappé, dans le sens positif bien sûr. En effet j'ai trouvé le vocabulaire, les phrases complexes, mais quand j'ai pu prendre du recul j'ai compris la vérité de ce récit, la beauté des mots que l'auteur nous partage. Mais pas seulement ; j'ai découvert la vraie souffrance. J'ai admiré cette intensité, la profondeur que John Green inscrit, il nous transporte dans des émotions fortes.

Pourtant il n'y a pas que ça dans ce roman, c'est aussi une romance et une amitié que tout le monde rêve de connaître. Je me suis vraiment senti proche d'Hazel, pas par son cancer, mais par sa personnalité. Les deux aussi. Parce qu'on ne peut pas dissocier quelqu'un de sa maladie, elle fait partie de lui, c'est ce que j'ai saisi avec ce livre.

Hazel est plus qu'admirable ; non elle n'est pas courageuse, on ne peut pas dire cela, elle n'est pas forte non plus. Elle n'a juste pas le choix, mais surtout elle fait toujours semblant d'aller bien et dans un sens elle a raison ; parce que qu'es ce qu'elle peut faire à part survivre ?
Augustus –Gus- il est juste formidable ce garçon, c'est quelqu'un d'entier ; lui aussi survit, il est drôle, sensible et tellement romantique. Je me suis vraiment attaché à lui.
Deux personnages qui apprennent à se connaître, qui s'unissent malgré leur maladie, en sachant qu'un des deux souffrira, coûte que coûte. C'est une histoire d'amour bouleversante, elle m'a chamboulé. J'ai rigolé et pleuré avec eux, c'est tellement bon de ressentir les sensations de la joie et de la tristesse ensemble, c'est un sentiment très rare quand ils sont mélangés.
L'espoir, c'est ce que ce roman renferme.

On rencontre aussi Isaac, protagoniste que j'ai adoré. Touchant et marrant, il est l'un des personnages clé de l'histoire, sans aucun doute.

L'écriture de l'auteur comme je l'ai dis plus haut, est parfois difficile à cerné, à mettre un sens dessus ; mais il faut prendre un peu de recul après avoir lu cette merveille pour justement pouvoir la vivre pleinement.

C'est évidement un coup de coeur, pour certaines métaphores qui m'ont réellement marquées et qui seront gravé à jamais dans mon esprit. Mais aussi pour l'histoire d'amour et d'amitié, par le fait que c'est un livre sur le cancer, rien que pour ça c'est émouvant, c'est vivant et unique. Parce que les émotions sont toutes englobées en un seul souffle ; l'amour nous conduit toujours vers la douleur, c'est ce que je peux en retenir. Mais aussi que le courage ce n'est pas de survivre, c'est de faire comme « si » tout allait bien. Et bien sûr tout ça avec des personnages attachants. Un récit fondamentalement puissant et pleins de vérités.
Lien : http://lesfaceslitteraires.b..

le livre "young adult"a ne pas manquer!!
Hazel rencontre Augustus au centre de parole des jeunes cancéreux dans une église ..tout ceci est une histoire banale d'ado, mais en faite quelque chose de magique les lie. Non seulement leur maladie qui n'est pas banale mais leur réflexion face à la vie, face à leur maladie, face à leur bataille. Ils veulent s'aimer avoir eux aussi le droit à un espoir d'avenir sans oser,mais l'amour est plus fort que la vie.... cela parait assez banale, mais nous entrons dans le quotidien de ces 2 jeunes sans être des voyeurs mais en vivant leur passion pour eux et pour la vie. on rit avec eux sur la façon sarcastique dont ils voient leur maladie, on pleure car c'est à hurler.

COUP DE COEUR ! /!\ SPOILER SPOILER /!\

Quand on a fini ce livre en le dévorant d'une traite, on ne peut s'empêcher de se dire qu'on aimerait bien faire comme Hazel qui envoie une lettre à van Houten pour connaître la suite de l'histoire.
Oui, on enverrait bien une lettre à John Green pour savoir :
- Que devient Hazel ? Va-t-elle vivre encore longtemps ? Rencontrera-t-elle un autre garçon pour qui elle tombera amoureuse ?
- Est-ce que les parents d'Augustus resteront-ils ensemble malgré le décès de leur fils ?
-- van Houten réussira-t-il à sortir de sa dépression ? Sera-t-il tenté de reprendre contact avec Hazel en découvrant enfin la lettre de Augustus ?

Ce livre m'a chamboulée ! le jeune couple nous montre une autre façon de voir le cancer. Ils accusent le pouvoir du regard extérieur, et démontent toutes les idées préconçues qu'on s'en fait. Ils croquent la vie à pleine dents, profitant du présent à chaque fois tout en catégorisant leur cancer avec humour.

J'ai pleuré, au moins 4 fois ! Mais quelle belle histoire !
Je concluerai cette critique par 2 mots ... :

Ok.
OK !

Bon je ne vais pas vous résumer ce livre dont tout les monde (ou presque) ici connait. C'est bien sûr les multiples coups de coeur que j'ai pu lire qui m'a poussé à lire ce livre. Il est resté quelques temps dans ma wish-list puis dans ma pile à lire avant que je me décide à le lire.

Certes c'est un roman dont les deux héros sont atteints d'un cancer mais pourtant ils sont tellement vivants que j'ai parfois oublié la maladie qui a ravagé leur corps. C'est une ode à la vie. Et puis leur histoire d'amour m'a touché. Et ce que j'ai le plus apprécié c'est qu'ils aient pris le temps de la construire même s'ils se savent tous les deux condamner.

Les deux héros sont tous les deux très attachants. Hazel est une jeune fille passionnée par la littérature et la poésie et qui réapprendra à vivre et à s'ouvrir aux autres grâce à Augustus. Augustus est synonyme de joie de vivre, beauté, charme et intelligence, que l'on ne peut que l'aimer et s'attacher à son personnage. Par contre, j'avais envie de baffer Peter van Houten tellement il est le contraire de celui que je m'attendais à voir. Mais un écrivain parfait ne peut pas être un homme parfait.


La fin est émouvante et triste mais pas assez pour me tirer des larmes (en même temps il m'en faut beaucoup pour voir mes larmes). Et puis ce n'était pas la fin à laquelle je m'attendais. J'avoue avoir même un peu décroché dans les dix dernières pages alors que j'avais totalement accroché jusque là.

J'ai passé un très beau moment rempli d'émotions en lisant ce livre à une vitesse folle mais pourtant ce n'est pas un coup de coeur, les dernières pages du livre ont eu raison de celui-ci. Je pense quand même aller voir le film parce que justement c'est une belle histoire où pour une fois il n'y a pas de "happy end".
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Hazel Grace Lancaster est une adolescente de 16 ans, atteinte d'un cancer. Elle est sous traitement et doit constamment être sous bonbonne d'oxygène afin de pouvoir respirer. Elle assiste à des réunions de soutien pour enfants malades et elle va faire la connaissance d'Augustus Waters le garçon le plus canon qu'elle est jamais vue.

Ils vont tomber amoureux l'un de l'autre et Gus va utiliser son voeu (cadeau cancer) afin de permettre à Hazel de rencontrer son auteur préféré à Amsterdam. Mais la rencontre est loin de se passer comme prévue.

Je ne sais pas vraiment comment commencer mon avis sur ma lecture et ça fait déjà 2 jours que j'ai terminé ma lecture. Toutes les personnes que je connais qui ont lu le livre ont adorés, d'ailleurs c'est le cas de mes deux binômes Tahicha et Sacha (c'était un coup de coeur pour chacune d'elles), et bien pour moi, je n'ai pas ressenti ce truc qui a fait que je ressorte transportée par ma lecture.

L'histoire en elle même est très bien écrite et l'auteur arrive vraiment à surprendre par moment malgré le thème abordé. Mais pour moi, il manquait quelque chose. J'ai trouvé que tout c'est passé trop vite, mais encore une fois, avec la maladie c'est compréhensible que tout se passe rapidement.

Mon avis restera donc assez court, parce que je n'ai pas vraiment accrochée à ma lecture de ce livre. Peut-être que le film qui sortira courant septembre 2014 me plaira mieux.
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Le thème est posé dès la 4ème de couverture et on se dit que ça ne va pas être gai... Pour être honnête, je n'aurais jamais ouvert ce livre si je n'avais pas lu les critiques si enthousiastes.... et je serais passée à côté d'un petit bijou !!! Une écriture limpide, de l'humour, de la fraîcheur, une très belle leçon de vie... et de mort ! ça n'est jamais larmoyant, on évite le pathos et la gravité est quand même présente. C'est une très belle alchimie !

Ah, depuis le temps que je l'avais acheté et que j'en lisais de très bonnes critiques, il était temps de m'y mettre. Dans l'ensemble, ce livre m'a fait penser à Wonder, de R.J Palacio, mais il m'a moins séduite.

On suit donc Hazel, atteinte d'un cancer de la tyroïde, qui bénéficie d'une aide respiratoire et ne peut s'en passer. Elle fréquente un groupe de soutien pour personnes atteintes du cancer, où elle côtoie Isaac. Un jour, ce dernier ramène son meilleur ami, Augustus, en rémission. C'est alors le début d'une grande amitié qui se transformera rapidement en histoire d'amour entre nos deux adolescents. Mais Hazel se considère comme une grenade, qui explosera un jour et laissera des impacts dans tous ses proches, y compris sa famille dont elle est très proche, c'est pourquoi elle est moins confiante quant à leur romance.

Ce livre ne traite pas seulement de la maladie et de la romance entre deux jeunes, il va bien au-delà. C'est un cri du coeur des malades, un désir de vivre, de vivre à fond et le plus normalement possible, de ne pas être considérés comme anormaux.

J'ai trouvé ce bouquin vraiment profond. Beaucoup de questions existentielles y sont posées. Des cadeaux-cancer aux traces que laisseront les malades dans l'histoire, une sacrée philosophie se place en trame de fond.

Le fil rouge avec Peter van Houten et son « Impériale affliction » m'a beaucoup plu. Je me suis reconnue, en tant que grande fan de littérature. Un de mes souhaits les plus fous pourrait être de rencontrer un de mes auteurs préférés. Hazel s'accroche à son livre préféré et Augustus va lui sacrifier son voeu (accordé aux malades du cancer) pour qu'elle puisse connaître l'histoire inachevée de l'auteur. Et ce, en l'amenant lui-même le rencontrer.

Ce livre est vrai, sincère, que ce soit au niveau des malades qui sont ultra conscients de leur situation, lucides et réalistes, qu'en ce qui concerne les familles qui luttent et ne peuvent que redouter le jour où tout basculera…

J'ai aimé le côté paradoxal des ados, qui sont à la fois rêveurs et terre-à-terre. Un livre très pittoresque, facile à se représenter visuellement. du chariot d'Hazel qui transporte ses bonbonnes d'oxygène, aux parties de jeux vidéos enflammées que disputent les trois amis, jusqu'au groupe de soutien et au milieu froid et glauque de l'hôpital.

Triste et drôle. Honnêtement, je l'ai souvent trouvé plus drôle que triste. On sent tellement le désir des malades de ne pas être considérés que comme des boules de métastases, qu'on en vient à se les représenter comme des gens sains, juste plus réalistes et réfléchis. J'ai aimé la lucidité de l'écriture, sa fluidité, son honnêteté et son absence totale d'hypocrisie.

Dur et touchant.
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