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sur 16930 notes
Hazel a 16 ans. Elle est atteinte d'un cancer mais son dernier traitement a stoppé l'évolution du vilain crabe et lui laisse un peu de répit. Elle participe à contrecoeur à un groupe de soutien où elle va faire la connaissance d'Augustus et d'Isaac.

C'est poignant, très émouvant, sans pour autant tomber dans le mélodrame. Oui c'est triste. Oui j'ai pleuré. Mais parce que c'est touchant. L'histoire d'Hazel et de Gus est terrible et magnifique. Une histoire forte d'amour et d'amitié infaillible. Oui, la maladie et la mort sont omniprésentes. Mais l'histoire ne ressasse pas que le malheur ou la détresse des personnages. C'est un formidable hymne à l'espoir. Comme d'autres l'ont si bien dit, « une ode à la vie ».

Une très belle lecture.

(Je n'ai pas vu le film. Je vais très rarement voir les adaptations car en général je ne croche pas. Paraît que cette adaptation est un peu décevante. Trop patos justement. J'ai vu des comparaisons avec Love Story.)

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Une fille nommée Hazel âgée de 16 ans souffre du cancer des poumons. Pendant son temps libre, elle pense à la mort. Sa mère l'encourage à rejoindre un groupe qui lutte contre le cancer. Elle s'y fait des amis. Elle est tombée amoureuse d'un garçon qui se nomme Auguste Water qui souffre d'un terrible cancer à la jambe. Grâce à Auguste, Hazel a pris l'habitude de sortir plus souvent. Hazel a lu un livre qui lui a plus, elle veut savoir la suite du livre. Mais l'auteur refuse de dire la fin du livre. Elle décide d'envoyer un mail à van Houter (auteur). Il lui répond en disant de le rejoindre chez lui à Amsterdam.

Ce livre m'a plu. le passage que j'ai préféré est celui où Issac devient aveugle car cela m'a beaucoup ému. L'émotion vient du fait que tous essayent de lutter contre cette maladie qui pourrit leur vie. Emouvant, poétique, étonnant, vivant, réaliste, triste, intéressant.
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Récit bouleversant d'Azel, 16 ans, atteinte d'un cancer de la thyroïde, métastasé aux poumons. Lors d'une réunion de groupe de soutien, elle rencontre Augustus, en rémission d'un ostéosarcome, qui lui a coûté une jambe. Entre les 2, une amitié se crée très vite. Ces deux-là étaient faits pour se rencontrer. Oui, mais voilà, entre les deux, il y a cet ennemi sournois et intransigeant nommé cancer. Ce petit quelque chose qui est en nous et qui parfois devient ce qui nous dévore petit à petit jusqu'à nous anéantir complètement. On pourrait penser que l'amour est plus fort que tout, que leur volonté de vivre est décuplé et que forcément, vu que c'est une fiction et que l'auteur décide du sort de ces personnages, tout va bien se terminer... Eh bien, non, ce n'est pas le choix de John Green! Ce livre n'est pas un conte qui se termine par "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Non, la fin sera tout autre, mais peut-être pas celle qu'on imagine...Ce roman nous met face à une réalité bien triste qui touche des milliers de gens. Je ferme ce livre, les larmes aux yeux...
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Nous allons suivre la vie d'Hazel pendant quelques mois de sa vie, son quotidien, son suivi médical, ses différentes relations et surtout ce qu'elle ressent et pense.

La lecture est fluide, facile et rapide. le livre se lit très vite tellement on est pris dans l'histoire. On sourie, rit, pleure. le roman nous fait passer par toute une palette de sentiment.

Très belle tranche de vie.
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Attention, lecture boule dans la gorge et coeur serré en perspective.

Ma curiosité avait été incroyablement attisée par les éloges que John Green recevait d'un peu partout sur le net, et je suis tombée amoureuse de sa plume avec le Théorème des Katherine.
Quand j'avais commencé à entendre parler de ce dernier titre, qui récoltait encore plus d'avis passionnés, je n'en pouvais plus d'attendre de le voir débarquer en version française.
Nathan a écouté les prières des fans (en prenant l'excellente initiative de nous offrir la même couverture), et dès qu'il est arrivé chez moi, je me suis confortablement installée et j'ai laissé la magie opérer.
Quelques heures plus tard, j'étais en larmes, mais heureuse.

Ce qui m'a le plus séduite, dès le début, c'est Hazel. Cette jeune fille caustique et cynique, avec son ton désabusé et sa vision froide et réaliste du cancer sont, en fait, le principal élément d'humour mêlée de philosophie du livre.
Elle ne mâche pas ses mots, est très intelligente, possède un humour noir sans failles, aime autant les beaux livres et la poésie que les émissions de télé-réalité débiles.
Pour elle, il n'y a aucun courage à vivre avec un cancer, on essaye juste de continuer à se lever tous les matins pendant que le corps tombe en ruines.
C'est un énorme plaisir que de suivre ce récit porté par ses mots à elle.
Qui plus est, les personnes l'entourant sont toutes aussi géniales à découvrir qu'elle. Entre la mère qui s'occupe de tout et l'inonde d'amour et de bonnes intentions (souvent quand Hazel en a marre), le père trop émotif mais adorable, l'ami de thérapie tout aussi cynique, et même Patrick, l'animateur des sessions, m'a été sympathique et m'a laissé une chouette impression.
Ils ont tous quelque chose à apporter, parfois un simple détail qui va augmenter la richesse de l'histoire. Chacun y appose sa marque, aussi petite soit-elle, elle n'en reste pas moins visible et donc, importante.

Et puis il y a Augustus, jeune homme en rémission, véritable tornade de motivation, de bonne humeur et de projets qui va souffler un vent de perspectives, de peurs et d'envies dans la vie d'Hazel.
Comment laisser entrer quelqu'un dans son quotidien quand on sait qu'il peut s'achever d'un jour à l'autre ?
Tout en sourires narquois, en citations mémorables et en attentions riches en significations, il est impossible de ne pas craquer pour lui, et on n'attend qu'une chose, que la jeune fille en fasse autant.
C'est une relation merveilleuse qui se tisse sous nos yeux, toute en nuances, elle est exubérante et et discrète, puissante et fragile, elle hurle autant qu'elle murmure.
Elle est la découverte de soi et la découverte de l'autre. La découverte de la vie et de ce qu'elle peut apporter, même quand on n'attend plus rien de celle-ci.

Cette histoire m'a réellement transportée, elle est absolument formidable, dans tous ses aspects.
Les personnages sont incroyablement attachants et c'est un énorme plaisir de faire un bout de chemin avec eux. le scénario est beau, bien ficelé, réserve son lot de surprises et est d'un réalisme douloureux. Les dialogues sont tout simplement savoureux, on reconnaît l'amour de John Green pour les mots et les échanges riches.
Il y a un parfait équilibre entre la tristesse, la douleur, et tout ce qui est moche et effrayant avec la maladie, avec la beauté, la poésie, l'humour et la superbe philosophie que dégage ce livre.
L'auteur ne nous épargne rien, est franc et parfois brutal. Mais c'est pour mieux nous ouvrir à la réalité du quotidien et de la pensées de ces jeunes malades, et pour nous permettre d'entrevoir qu'il y a quand même de la vie, de l'amitié, des découvertes, de l'amour.
Après tout, c'est dans le noir le plus complet que la plus petite source de lumière est la plus brillante.
C'est l'effet que m'a fait ce roman. Comme je l'ai dis au début, je l'ai terminé en pleurs, mais heureuse.
Un mélange d'émotions qui prend aux tripes, qui vous laisse pantelant mais gorgé d'amour et d'espoir, de merveilleuses images plein la tête et le coeur.

Voilà un titre que je ne peux que conseiller très chaleureusement au plus grand nombre. Ça fait mal, mais vous allez voir, c'est incroyablement bon.
Lien : http://archessia.over-blog.c..
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Houa!
C'est juste le meilleur livre dramatique que j'ai pu lire!
C'est juste une admirable leçon de vie et pas besoin d'avoir le cancer pour lire ça!
Non vraiment c'est une magnifique histoire qui mélange moment de rire et de larmes, tristesse et joie, et tout cela avec tellement de subtilité que ça en devient un chef-d'oeuvre!
Comment résister à l'histoire de cette jeune fille âgée de 17 ans seulement et dont le destin est déjà fixé. Comment résister à ce jeune garçon, à peine un ans de plus qui a perdu une jambe pour le cancer et qui est en voie de guérison, mais pour combien de temps? Comment résister à cette histoire?
C'est juste impossible!
Et dès le moment où j'ai commencé la première ligne, j'ai su que ce livre deviendrai mon livre dramatique préféré.
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Quelle beauté. On reste sans voix devant un chef d'oeuvre et pourtant, comme j'aurais envie de dire ce qui m'a plu dans ce superbe livre, loué par de nombreux lecteurs depuis plusieurs mois et ô combien à raison. Car raconter l'histoire de deux jeunes gens cancéreux, en phase terminale et amoureux fous, sans tomber dans le pathos ou le dégoulinant, relève bien du tour de maître, du tour de force. Ce livre recèle une force, une lumière et une originalité sans pareilles, qui me donne envie de découvrir les autres oeuvres de John Green. Bien sûr, l'histoire est immensément triste, c'est la plus triste de toutes, mais il y a tant de beauté, de sensibilité et de sens, tout court.... Lisez-le.
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« Difficile », voici le premier mot qui me vient à l'esprit. le premier mot que j'arrive à écrire pour débuter cette critique. Pourquoi difficile ? Pour un nombre incalculable de raisons… Difficile de décrire ce que j'ai ressenti à la lecture de ce livre, difficile de parler de cette pourriture de maladie, difficile de se battre contre cette maladie, mais c'est aussi difficile, difficile de passer derrière vous, lecteurs et lectrices, parce qu'à ce jour, je vois que 553 personnes se sont lancées avant moi…

C'est un livre qui a fait un tabac, lorsqu'une amie l'a acheté, je me suis tout de suite empressée d'aller à la librairie pour me le procurer, et là, le drame : rupture de stock. Ce n'est pas grave, je file ailleurs, je cours, toute la matinée, pour l'avoir enfin entre les mains. Puis, c'est parti, je me lance, tout en restant sur mes gardes…

L'histoire commence, avec deux personnages : Hazel, 16 ans et Augustus, 17 ans. Une terrible maladie les unit : le cancer. Lorsque je lis cela, je me dis « Merde, va falloir aller chercher les mouchoirs ! » Alors, une fois que le paquet est à côté de moi, je continue, je tourne les pages, sans jamais pouvoir m'arrêter. J'ai envie d'en savoir plus… J'apprends donc qu'Hazel et sa bombonne d'oxygène, oui, parce que finalement, l'une ne va pas sans l'autre, est en rémission, mais que ce drôle d'Augustus aussi, avec son humour, son vocabulaire bien à lui et sa jambe en moins.
Va s'en suivre une histoire merveilleuse, dont je vous laisse le soin de découvrir vous-même…

Inutile de préciser que le paquet de mouchoirs y est passé, et bien plus encore… J'ai été vraiment touchée par cette histoire, qui pourtant, est totalement fictive. Mais ici, John Green a su prendre mon coeur, et le tourner dans tous les sens. Je suis passée du rire aux larmes, en quelques secondes, sans même avoir le temps de comprendre ! Parce Hazel et Augustus sont tellement différents mais en même temps si proches ! Ils sont tellement beaux ensemble, tellement attachants, que j'ai eu l'impression qu'ils étaient là, avec moi pendant la lecture de ce livre, et j'ai même eu l'impression que parfois, ils se moquaient de moi…

John Green a réussi à la perfection ses personnages. Vraiment ! Et ce sujet, d'ordinaire si difficile à aborder, malgré qu'il se banalise de nos jours… Qui ne connait pas cette maladie ? Que ce soit de près ou de loin, on a malheureusement tous perdu quelqu'un de ce « crabe »… Cela devient monnaie courante… Mais tout le monde n'a pas la même approche de la maladie, la même vision des traitements, la même vision de la mort qui, il faut se l'avouer, est bien trop souvent à mon goût, l'issue de ce foutu cancer… Ici, John Green nous donne la chance d'en avoir deux différentes, et pour moi, c'est quelque chose que j'ai beaucoup apprécié. Effectivement Hazel se considère comme une bombe à retardement, et elle fait tout son possible pour faire le moins de mal possible pour son futur probable départ. A l'inverse, Augustus, lui, s'autorise à vivre, à profiter, autant que possible…

Même si le sujet est triste, même si j'avoue avoir pleuré, ce n'est pas pour autant que je pense que ce livre est fait seulement pour ça. Effectivement, Hazel et Augustus nous foute une bonne claque en pleine figure, et nous font comprendre que malgré tout : « La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie ».
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Lettre G pour le Challenge ABC

Déjà plus de 2 000 lecteurs et presque 600 critiques, que dire de plus sur cet ouvrage?!

Pour moi, Nos étoiles contraires fait partie de ces livres qui entrent en se faisant tout petit et qui ébranlent tous sur leurs passages. Dès les premiers mots, j'ai su que se livre ferait partie de ceux qui changent une vie. Et ce livre m'a chamboulé...

J'ai ri, j'ai beaucoup pleuré. J'ai passé 330 pages à osciller entre rire et larmes. Une boîte de mouchoir plus loin, cette lecture m'a donné du courage. le courage d'avancer, de se dépasser, de ne surtout pas accepter la fatalité, le courage de profiter de chaque instant. Et surtout, de ne pas oublier que partout dans le monde il y a une Hazel qui se bat ou un Augustus qu'on enterre. Cet ouvrage donne une voix à tous ceux qui se battent contre le cancer sur cette planète.
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Que vous dire, sur ce roman que vous connaisez-tous tout du moins sa trame principale! Je l'ai adoré, mais pas au point qu'il soit un coup de coeur, peut-être tout simplement parce que j'ai vu le film avant de le lire et que si j'ai trouvé que le film nous donnait des émotions, le livre le faisait, mais moins, en tout cas moins directement. 

Cela dit, ce livre, c'est comme les HP ou les âmes vagabondes, je pourrais le relire beaucoup de fois, j'ai beaucoup aimé la plume de John Green, l'histoire qui est tout de même merveilleurse et je suis déçue qu'il n'y ait pas la phrase du film " Dans la vien on souffre on a pas le choix. Mais on peut choisir qui nous fait souffir" d'Augustus à Hazel dans le restaurant à Amsterdam alors bien sûr elle est présente mais pas dans cette forme là et pas dans le même "moment".

Que de critiques, mais j'ai bien évidemment adoré ce livre même si j'ai préféré le film, je pense que c'est juste parce que je l'ai vu en premier! 
Lien : http://leslivresdedidine.blo..
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