Sixième tome du cycle un « la troisième force ». Par le couple mythique de la série : Darlton et Scheer.
Rhodan, désormais, heureux possesseur d'un croiseur de classe impériale, s'oppose toujours aux Topsides sur Vega, bien décidé à délivrer les Ferroliens de l'invasion des vilains sauriens. Ne voulant pas faire de carnage et risquer la vie de ses hommes, il va utiliser sa brigade de mutants afin d'abuser les Topsides pour qu'ils quittent Véga et ne découvrent pas la Terre. Il doit par ailleurs récupérer des Ferroliens les plans d'un transmetteur que même les Arkonides ne possèdent pas.
Les mutants font leurs cabots et s'amusent. Nous aussi par la même occasion. On passera allègrement sur les méthodes de Rhodan qui arrive à faire des omelettes sans casser des œufs.
Distraction et détente sont toujours au rendez-vous.
Allez tiens, j'irais de ma critique un peu mesquine : ça manque un poil de réalisme et de cadavres sanglants les guerres de Rhodan. Mais en même temps, je n'ai qu'à me rabattre sur Warhammer 40k pour être servi. Perry Rhodan est aux fantômes de Gaunt ce que sont les bisounours à Walking dead.
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Dans ce tome 6, Perry continue la lutte contre les Topsides. Avec l'aide des rebelles, il parvient à les faire fuir sans faire de victimes grâce aux mutants. Les topsides se sont réfugiés sur les 6 lunes de la 39eme planète de Vega. Pour s'en débarrasser sans les exterminer, il monte une intox pour les faire fuir vers une zone de l'espace sensée être la terre. Ce que font les topsides mais Krest à changer les coordonnées pour qu'ils émergent dans un soleil. En parallèle, Perry a trouvé des indices pour localiser la planète de jouvence. Toujours autant d'actions et de naïveté : faire une guerre propre contre le réalisme froid des Arkonides. Il faut bien que le héros ait toutes les vertus…
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Personne n'a jamais pu ni ne pourra jamais construire un Empire galactique par la douceur, le pacifisme et la diplomatie. Pour faire de la bonne politique, il faut un peu plus que de bons sentiments.
Perry Rhodan ne s’était pas résigné de gaieté de cœur à cette plongée dans l’hyperespace. Un cerveau électronique assurerait automatiquement la manœuvre : elle n’en restait pas moins des plus risquées, avec un équipage trop réduit, à bord d’un navire qu’il connaissait mal.
Le croiseur avait été construit par les Arkonides, dont la race, jadis puissante, régnait encore sur un immense empire stellaire. Mais des ennemis, toujours plus nombreux les menaçaient à présent de toute part.
Il venait, un instant plus tôt, de dépasser l'orbite de Véga XLII. Sa vitesse atteignait celle de la lumière ; il avait alors plongé dans l'hyperespace, pour un "saut" de vingt-sept années lumière, qui le ramènerait au large de Sol III.