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sur 201 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ca vous dit une petite balade en camping-car? direction le Montana.
je ne vais pas vous mentir mais le voyage risque d'être mouvementé.
Imaginez un couple de septuagénaire; Céline et son époux Pete Watkins, ils pourraient être à la retraite, profiter d'un repos bien mérité surtout que madame souffre d'un emphysème. Tout parait normal pour l'instant, papi et mamie dans un camping-car on en croise tous les jours mais une mamie qui porte un Glock26 c'est moins courant et quand cette dame d'un certain âge est detective privée il y a de quoi surprendre.
Peter Eller m'a une fois de plus embarqué dans une histoire dont il a le secret.
"Céline" n'est pas un énième polar comme savent écrire les américains. Bien sûr il y a une enquête, un fil rouge qui nous invite dans une chasse à l'homme, il y a un paysage le Montana, un personnage à lui tout seul comme " la constellation du chien" qui grâce à la magie des mots de l'écrivain nous fait redécouvrir nos cinq sens. Et puis il y a Céline et son taiseux de mari. Céline est une personne secrète, elle manie l'humour comme elle manie son arme, elle est très "old school" avec son foulard Armani et ses lunettes façon Jackie Kennedy.
J'ai passé un excellent moment dans ce paysage grandiose et dans l'histoire plus intime de Céline.
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Quel personnage cette Céline !
Une détective de 68 ans qui souffre d'emphysème ne semble pas au premier abord le choix idéal pour enquêter sur la disparition d'un homme survenue vingt ans plus tôt. Pourtant c'est vers elle que se tourne Gabriela, qui veut savoir ce qui est réellement arrivé à son père, soit-disant attaqué par un ours dans le parc du Yellowstone, mais dont on n'a jamais retrouvé le corps.
J'ai retrouvé le souffle d'un Jim Harrison dans ces pages où les grands espaces occupent une place de choix et où la vie des chacun est décortiquée avec minutie pour comprendre ce qu'ils sont aujourd'hui, ce qu'ils aiment, ce à quoi ils croient, ce qui aurait pu les briser et ce qui les fait avancer.
Un road-movie qui va au rythme tranquille du camping-car de Céline et de son époux, deux retraités qui en ont encore sous le capot, malgré l'âge et la maladie.
Un lecture très dépaysante à travers le Wyoming et le Montana et une qualité d'écriture exceptionnelle, ce qui fait du bien après avoir lu plusieurs romans très moyens juste avant.
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Un seul regret: avoir fini ce merveilleux roman. J'ai été transporté par cette histoire. A lire la quatrième de couverture, on pense lire un polar mais je dirais plus un road-movie. L'écriture est magnifique, la description des paysages du Grand Ouest américain est superbe...on s'y croirait. L'héroïne de cette histoire, c'est Céline, artiste et détective privée spécialisée dans la recherche de personnes, une santé fragile mais une détermination qui force le respect. Son mari, Peter, est son Dr Watson avec l'amour en plus et une intelligence certaine, bien que taiseux, il lui apporte sagesse et réconfort. Ce couple me fait penser au film à "La maison du lac", un amour et une complicité à toutes épreuves. L'histoire : Gabriela, une jeune femme, vient voir Céline pour lui demander de l'aide à retrouver son père disparu depuis vingt ans. Gabriela à bien fait des recherches auparavant mais les quelques personnes qu'elle avait contacté lui ont dit qu'il était mort après une attaque d'ours. Elle n'y croit pas et demande à Céline et Pete de mener l'enquête. C'est à travers ce périple en camping-car, que Céline s'interroge sur son propre père qui lui a manqué, que ses deux soeurs viennent de disparaître, de sa mère et de son fils dont le mariage bat de l'aile. Ce n'est pas à proprement parler d'un thriller, loin de là, mais plutôt d'un instantané de la vie. A travers cette enquête, un beau voyage, de belles histoires joyeuses et tristes à la fois, de l'humour et de l'aventure. Un livre, pour ma part que je n'oublierai pas, un véritable petit bijou.
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♪♪♫ Dis-moi, Céline, les années ont passé... ♪♬♫...
Mais non, il ne s'agit pas de cette Céline-là, que certains de ma génération connaissent si bien pour avoir naguère fredonné cette chanson ou avoir été touché de l'entendre... Ici dans ce dernier roman de Peter Heller, pour Céline Watkins, détective privée et accessoirement artiste, réalisant des œuvres artistiques à partir de crânes humains, les années ont également passé.
Elle est encore marquée par la perte récente de ses deux sœurs, mortes toutes deux d'une longue maladie.
Elle a soixante-huit ans, vit à New-York, tout près de l'East River. Parfois elle a du mal à respirer, elle souffre d'un emphysème, conséquence d'avoir fumé quatre paquets de cigarettes durant des décennies, ancienne alcoolique, le corps est usé. Cela ne l'empêche pas d'être élégante, magistrale, pleine d'ironie.
Les années ont passé et le passé est toujours là, qui vient la hanter avec ses fantômes parfois encombrants, ceux qui vous suivent à la trace. Elle vit à présent avec son mari Pete, taiseux remarquable et qui l'accompagne dans ses enquêtes, sorte de fidèle docteur Watson avec l'amour en plus. Quoiqu'on ne sache après tout pas grand-chose de la vie sentimentale de Sherlock Holmes... !
Céline est une détective privée atypique, on ne vient jamais la voir à l'improviste, ni par hasard...
Céline Watkins n'est pas une détective comme les autres. Très sensible à la détresse d'autrui, elle a comme une sorte de passion pour les perdants. Elle prend toujours le parti des plus faibles, des laissés-pour-compte, des enfants, des vagabonds, des sans-abris, des malchanceux, des toxicos... Ceux qui la sollicitent sont le plus souvent des personnes n'ayant aucune ressource ni aucun pouvoir, autant dire aucun moyen de rémunérer ses services. Qu'importe pour Céline !
Céline a un sens très développé de l'empathie et ce qui en fait dès le début du roman un personnage très attachant. Cela dit, elle ne sort jamais sans son Glock solidement arrimé sous son aisselle.
Courir après les criminels n'est pas sa tasse de thé, courir à la recherche de personnes disparues, oui.
Les années ont passé pour Céline et celle-ci veut tirer sa révérence du métier de détective pour se consacrer désormais exclusivement à son mari et à son art.
Aussi lorsqu'une jeune femme, Gabriela, vient la solliciter pour rechercher son père dont elle n'a plus de nouvelles depuis vingt ans, elle y voit ici comme une dernière occasion, une sorte de baroud d'honneur...
C'est à la frontière entre le Wyoming et le Montana, du côté du célèbre parc national de Yellowstone, qu'on perd la trace du père de Gabriela, Paul Lamont photographe au National Geographic ; une mauvaise rencontre avec un ours semble être la cause avancée de cette disparition... Cette version des faits n'a jamais satisfait Gabriela... Enfant, elle fut in extremis secourue de la noyade, par ce même père aimant, mais qui ne put sauver sa mère, portant dès lors ce deuil comme une douleur lancinante et
« Parfois la mort est la forme d'absence la moins douloureuse », pense Céline.
L'histoire de Gabriela ne laisse pas indifférente Céline. le passé de cette dernière revient comme une résurgence. Céline pense que le temps ne guérit pas toutes les blessures, loin de là...
Il serait mal inspiré de réduire ce roman a une simple enquête policière.
Incroyablement pleine de douceur, Céline accueille la demande de Gabriela avec toute l'empathie qui la caractérise. Céline se retrouve dans l'histoire de Gabriela, qui vient réveiller en elle une peur primale. Les enfants payent toujours le prix fort.
Céline semble comprendre ce qu'est l'abandon d'une fille par son père. Elle peut aussi comprendre le désespoir de ces pères qui ont fait le choix de partir.
Alors, nous voilà plongés dans un trépidant road-movie en direction du célèbre parc national de Yellowstone ! Céline et Pete sentent très vite que les contours de cette histoire recèle une atmosphère particulière prête à chaque instant à bifurquer vers le côté le plus sombre du décor.
Faisant alliance avec les personnages du récit, l'appel de la nature prend le relais dans des descriptions majestueuses. Peter Heller a planté le décor de son dernier roman dans les grands espaces aux confins du Wyoming, du Colorado et du Montana et l'esprit qui habite ces pages m'a ramené irrémédiablement vers Jim Harrison et Edward Abbey, vers les courbes d'un paysage familier et en même temps sauvage que je reconnaissais. J'avais joie de retrouver cette ambiance comme une promesse.
Les grands espaces s'ouvrent alors pour laisser passer le camping-car de Céline et de son mari Pete, à la recherche d'un étonnant secret, dont Yellowstone en est peut-être le sanctuaire...
Céline et son mari laconique se fondent avec harmonie dans ce décor grandiose et millénaire. Ils ont cette complicité qui fait mouche, ils sont confiants. J'ai adoré cette intelligence faite d'amour qui les lie et la dimension surprenante de leur couple, apporte une touche de fraîcheur.
« La beauté la plus incontestable est celle peut-être qu'on ne peut jamais toucher. »
Ici il est question de l'enfance, des liens familiaux, de l'abandon, d'une douleur qui ressemble parfois à celle de l'exil. Il y a toujours une émotion à fleur de peau qui traverse le paysage, s'accroche aux rides de Céline.
Par moments, on jurerait que l'espace intérieur qui habite Céline est aussi grand que le parc du Yellowstone.
Parfois Céline a du mal à respirer et tout n'est pas forcément à mettre sur le compte de son emphysème. Mais il y a toujours un humour pince-sans-rire qui sauve la mise, au moment où la terre tremble, où le sol s'ouvre, où les voix du passé resurgissent de ce trou béant, faisant vaciller le monde sur son axe.
Sur les pages de ce livre empli de lumière, d'espace et d'horizon, je me suis senti comme un oiseau qui venait de se poser et qui ne souhaitait pas reprendre tout de suite son envol.
Je découvre ici Peter Heller, sa très belle écriture et son univers unique, une bien belle invitation à découvrir ses autres romans.
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Quel bonheur d'avoir la sensation que Jim Harrison et Edward Abbey soient encore parmi nous ! Peter Heller a, en lui, un mélange d'ingrédients des deux écrivains que j'affectionne : grands espaces, nature, la contemplation de la faune et de la flore, la pêche, la route, l'humour, l'alcool, la bouffe. Un écrivain qui a bien bourlingué dans la vie et ce, pour le plus grand plaisir du lecteur. Céline est un sublime portrait de femme sexagénaire. Cette détective privée, pro de la gâchette, part sur les traces, à la demande de sa fille, d’un photographe disparu, il y a une vingtaine d'années. Enquête qui vont les emmener, elle et son mari, dans le Parc national de Yellowstone. Des êtres qui se sont construits avec leurs passés qui ont des points communs. A la lecture des nouvelles qu'il avait publiées, j'avais hâte de lire une prose de lui. Celle-ci est au-dessus de mes espoirs. Génial !
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Une fois n'est pas coutume chez Actes Sud, la 4e de couverture de Céline de Peter Heller – joliment traduit pas Céline Leroy, comme d'hab' - est étonnement ambiguë. Car on est loin ici, je cite, d'une « aventure haletante » où règnerait le « sens du suspense », mais dans un road movie nostalgique et naturel entre Montana et Wyoming, embarqué par l'attachante Céline Watkins. Est-ce cela, « l'entertainment humaniste » évoqué par l'éditeur ?

Il y a ainsi deux façons de lire ce livre : soit sous l'angle de l'enquête policière, et dans ce cas on est vite déçu par l'absence de rythme (210 pages avant que cela ne démarre réellement) et des relances parfois peu crédibles ; soit en délaissant assez vite l'intrigue-alibi pour se laisser aller à goûter pleinement cette balade en camping-car à destination du parc Yellowstone, qui devient alors prétexte à une délicieuse découverte de Céline. Et là, c'est une réussite.

Car Céline est un sacré personnage ! Par son histoire familiale et ses incroyables ascendants hauts en couleur : l'exubérante grand-mère Gaga ; Baboo la mère délaissée mais fière ; Harry le père qui ne rentre pas, marquant profondément le destin de sa fille ; sans oublier Mimi et Bobby, les soeurs chéries désormais absentes.

Une saga que Céline perpétue à son tour, par la fêlure cachée qui entoure ses jeunes années ou par la relation qui l'unit à son fils Hank et surtout, à son mari Pete, souvent silencieux mais omniprésent. Un couple de littérature dont la force de l'amour et l'intensité de la complicité offrent un shoot de bonheur et d'envie pour tout lecteur normalement constitué. En se mettant au service des autres comme détective privée pour tenter de retrouver (96% de réussite quand même !) un être qui leur fut cher, Céline y pratique en fait une thérapie alternative pour apaiser, le temps d'une enquête, ses propres déchirures.

Et puis il y a la nature, vrai fil conducteur de Peter Heller qui laisse à chaque fois que possible sa plume divaguer pour décrire une forêt, une espèce végétale, une rivière ou un de ces splendides paysages qui vous donnent envie de booker illico votre billet pour Lamar Valley et d'aller y faire un feu au bord de la Yellowstone River en y faisant griller des chamallows… Et lever la tête au passage d'un héron, d'une mergule, d'un renard, d'un coyote, ou d'un élan, d'un bison ou pire d'un grizzly.

La fin est en partie ouverte et pourrait permettre à Heller de donner une récurrence à Céline dans un prochain ouvrage. Si c'est le cas, j'achète !
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Quelle personnage incroyable !!!!! Quelle femme stupéfiante!!!
Peter Heller nous entraine dans un périple haletant sur les traces de sa mère : Céline Watkins Heller-Artiste,Guerrière Spirituelle,Détective Privée- que j'ai adorée . Adorée, pas aimée. Comme une idole.
Ecrit en 2017 , le livre était attendu au tournant après le génial "La Constellation du Chien" et le décevant "Peindre, Pêcher et Laisser mourir".
Il est absolument atypique et tresse des fils narratifs autour d' Hank ( le fils de Céline), de Gabriela (qui va embaucher la détective ) et de la propre histoire de Céline ( de son enfance aristocratique, des ses blessures etc..)
Le point de convergence de tous ces récits est la disparition et/ou le manque du père .
Peter Heller n'est pas qu'un formidable géo-poète et habile faiseur de polar , c'est ( je l'ai découvert au fil de l'oeuvre) un philosophe de la perte et de la rédemption, de la beauté absolue et immanente au delà de la souffrance.
Lecteurs estivaux , babéliotes intrépides , amoureux de la photographie et des armes à feu, ne rater pas l'occasion de ce voyage. Vous irez de la Patagonie chilienne jusqu'au Montana. Vous traverserez le Wyoming et le Vermont.
Vous irez vous frotter aux couleurs automnales qui dissimulent les bisons, aux brumes givrés d'où sortent des louves légendaires, au fin fond de vallées perdues qui resteront après la fin du monde.
Vous aimerez vous faire une petite place entre Céline et Pete, son étonnant compagnon, dans le petit camping-car qui fuira ou précèdera les méchants.....
Il n'y a donc pas de Père dans cette histoire. Mais ils ne sont pas forclos.Ils existent bien quelque part...
C'est pour Heller la cause du Malheur et le prix de la Créativité.
Quel sacré bouquin tout de même.........



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Sous ce prénom que l'auteur a choisi par amitié pour sa traductrice française, se cache une détective privée atypique : soixante-huit ans et une santé précaire, plus portée à secourir les démunis qu'à ramasser de grosses sommes d'argent. Avec son mari Pete, discret mais efficace, elle accepte de partir, à bord de leur camping-car, à la recherche d'un homme disparu depuis vingt ans. C'est Gabriela, la fille de ce photographe du National Geographic, qui souhaite relancer les recherches qu'elle a déjà entreprises avec d'autres privés. Elle ne croit pas à la version de son père attaqué par un grizzli dans le parc de Yellowstone, même si pas mal d'indices allaient dans ce sens.

Tout l'intérêt porté à l'enquête ne serait rien sans l'écriture de Peter Heller et son art de rendre palpables les éléments naturels, la végétation et les paysages. Cela s'est avéré un grand plaisir de lecture, alors que je craignais d'être déçue car La constellation du chien avait placé la barre très haut. J'ai ressenti, là encore, beaucoup de tendresse de la part de l'auteur pour ses personnages et s'il n'y a pas un suspense fou, cela crée une atmosphère plutôt reposante. Quelques péripéties émaillent cependant le roman, tout le monde n'est pas ravi de l'enquête menée par le couple de sexagénaires… Tous deux sont vraiment des personnages attachants, que j'ai eu peine à quitter. Et comme j'ai retrouvé le style qui m'avait emballée dans le précédent roman lu, je déclare que je continuerai à lire cet auteur, sans aucun doute !


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J'ai profité de la dernière Masse Critique de Babelio pour découvrir Peter Heller dont j'avais entendu parler pour son roman La constellation du chien. Difficile de savoir à quoi s'attendre quand la quatrième de couverture parle d'entertainment humaniste. Après ma lecture, je comprends mieux.

L'auteur va nous faire suivre l'enquête que mène Céline et Pete sur la disparition du père de Gabriela. On pourrait s'attendre à un polar où à un thriller. Mais ce n'est pas vraiment ça. Il va surtout se servir de cette enquête pour nous parler des gens, de Céline, de Pete, mais aussi du fils de Céline, de sa famille, de Gabriela….

Ce n'est pas non plus un roman sur un type de personne ou l'humanité. Non, l'auteur va s'attacher à nous parler de ses personnages, de leurs manies, de leur caractère, de leurs envies, avec bienveillance. Il va surtout parler de Céline. Cette femme extraordinaire, qui par son histoire et son charisme peut porter tout le roman sur ses épaules, d'apparence bien frêle. Mais il ne faut pas s'y fier, si elle n'est plus capable de courir le 100 m, elle sera tout à fait à l'aise pour vous descendre à l'arme à feu.

Bien entendu la recherche du père de Gabriela est passionnante, on se demande s'il est toujours vivant, quelle est la raison de cette disparition (politique, attaque d'ours, fuite). Mais j'ai vraiment pris du plaisir en accompagnant Céline et Pete sur la route. J'ai profité avec eux des paysages traversés, de la quiétude de leur routine. L'écriture de Peter Heller donne vie à ce road trip, avec légèreté, fluidité.

Pour conclure, je vous conseillerais ce roman pour le voyage qu'il fait faire au lecteur, pour la compagnie qu'il offre, pour les paysages qu'il traverse, pour son écriture agréable, pour son intrigue bien menée, pour ses personnages. Une chose est sure, je veux maintenant découvrir d'autres livres de Peter Heller.
Lien : http://www.leslecturesdemari..
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J'ai lu ce roman grâce à la critique de @Fertiti65

Superbe road-movie, qui nous emporte comme un ouragan au coeur de plusieurs histoires: celle de Céline et son entourage, Pete, Hank, celle de Gabriela, sa Maman, son Papa.

Les histoires s'entrecroisent. Les personnages sont touchants et attachants. le voyage au centre de leur vie est... impressionnant.

Je n'ai pas de mots, mais je vous invite vivement à le lire!

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