L’approche de Philippe Herzog fait reposer la crise existentielle du projet européen sur une défaillance culturelle des sociétés européennes, comprise comme l’interaction de sociétés civiles trop passives et d’États trop imbus de leur puissance passée. Cette approche, originale de la part d’un économiste, a le mérite d’un rapport ouvert à la dynamique du monde contemporain et à l’émergence des pays autrefois rabaissés par l’hégémonie du capitalisme occidental.
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La question sociale comme celle des relations de travail font donc partie intégrante et sont structurantes d’un modèle productif réinventé par la globalisation, la réussite allemande nous le rappelle chaque jour.