C'est l'hiver et c'est la saison où il fait bon rester chez soi, emmitoufflé dans un plaid, un livre à la main et une tasse de thé pas loin.
Tableau: Darcy, trentenaire, célibataire et férue de littérature ; Aidan, un beau gentleman aux yeux noisettes et avec un petit accent irlandais (graou), et un Husky, sur un fond de Manhattan ennéigé, en plein dans la période féérique et effervescente de Noël. Un matin, alors qu'elle s'était laissée aller à rêver plus longtemps de «Mr. Darcy», Darcy est en retard au travail. C'est catasptrophée qu'elle enfourche son vélo pour se rendre au travail ; dans sa course effrénée, elle percute de plein fouet un beau jeune homme passant par là et qui promenait son chien, un superbe Husky répondant au nom de Bailey. Rongée par la culpabilité, Darcy se met en tête d'aider le jeune homme à retrouver son chien, mais aussi sa vie. D'indices en indices, Darcy semble se rapprocher de plus en plus de son but, ...ou s'en éloigner.
Ce qui est sympa avec la chick lit, c'est que c'est le genre de livres que l'on retrouverait facilement en films, dans les éditions « Hallmark », diffusés en période des fêtes. Totalement addictif, on a du mal à lâcher le récit avant la dernière page. Ici, on prend un certain plaisir à suivre Darcy dans son épopée, malgré quelques longueurs parfois. Cela dit, le mystère autour d'Aidan est très bien tenu puisqu'il n'est révélé que dans les toutes dernières pages (une des raisons qui font qu'on ne lâche pas le bouquin avant la toute fin). Même si on se figure bien une «happy ending » (un peu niaise sur les bords à mon avis, m'enfin, ça fait du bien aussi de temps en temps n'est-ce pas ?), il est assez plaisant de se plonger dans l'univers cosy de Melissa Hill.
Un joli moment de chick lit, au parfum de cidre à la cannelle.
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une jeune femme libraire, renfermée, va percuter en bicyclette un bel homme, qui en perd la mémoire ! Rongée par la culpabilité, elle se charge d'abord de son chien et ensuite de l'aider à retrouver sa vie.
Une romance bien tenue, parfois longuette, mais qu'on ne lâche pas bien qu'on devine la fin !
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I was so taken with the version of the man I believed him to be, and the narrative I've formed - imagining mystery and romance where there was none-that I completely failed to see that he was just an ordinary guy with a family and a whole other life.
Anyone who says that money can't buy happiness has clearly never been inside a bookstore.