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3,83

sur 185 notes
En empruntant le comics Lock&Key pour mon fils à la bibliothèque, j'ai découvert Joe Hill, ce qui m'a donné envie de découvrir un de ses romans. Je me suis donc retrouvée avec L'homme feu entre les mains, c'est de circonstance nous voilà au beau milieu d'une pandémie, ici c'est une spore qui contamine les hommes causant la mort par combustion (étrange). On va suivre, non pas les survivants, mais bien une communauté de malades qui apprend à vivre avec la spore créant une espèce de symbiose avec. Des personnages très travaillés, et une histoire qui va encore une fois nous montrer la nature humaine dans sa splendeur et son horreur... J'ai adoré.
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Joe Hill a réussi à se forger un nom dans le monde littéraire, non pas grâce à celui de son père, mais à son talent. Réputé pour ses comics, il a également écrit quatre livres dont Cornes qui a été adapté au cinéma par Alexandre Aja avec Daniel Radcliffe dans le rôle principal. L'homme feu, son dernier livre, a obtenu le pris Locus du meilleur roman d'horreur.

Dans un monde pré-apocalyptique, les humains sont frappés d'une sorte de virus qui provoque des combustions spontanées. Harper, une jeune infirmière, contracte la maladie peu de temps après être tombée enceinte. Elle fera alors tout pour sauver son enfant des flammes, grâce à l'aide d'un homme qui parvient à maîtriser le feu. Tel est le point de départ de ce roman foisonnant. On y voit la société telle qu'elle est : une humanité qui ne supporte pas la différence et ce qu'elle ne comprend pas, qui rejette plus facilement qu'elle n'aide. L'auteur dresse un portrait au vitriol des travers des Hommes et dessine des personnages à la psychologie profonde et tiraillée. Les nombreuses références à la pop culture raviront par ailleurs les fans de ces univers adorés.

Il est toutefois dommage que l'Homme-feu soit sous-exploité alors qu'il s'agit du personnage le plus charismatique et intriguant du récit, trop souvent mis en retrait, au profit de Harper. le roman s'alourdit également de longs dialogues parfois contraignant à lire.

Roman sociologique et psychologique, L'Homme feu est un récit sombre qui brûle d'originalité.

www.lullyfabule.fr/chroniques-litteraires/lhomme-feu-joe-hill
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Bon, comme d'habitude, je n'avais pas lu le résumé et c'est totalement à l'aveugle que je me suis lancée dans cette histoire, et quelle histoire!

Parties 1 à 3:

Dès le départ, j'ai plongé dans ce roman grâce à une écriture fluide, simple, addictive. On va droit à l'essentiel.

Nous faisons donc ici, connaissance avec Harper, l'infirmière mais aussi avec Jakob, son mari, avec Renée, une infectée au grand coeur et avec d'autres qui prendront une plus grande place par la suite. J'ai beaucoup apprécié cette sorte de grand prologue avec les parties 1 et 2, car finalement, on se doute que c'est après ça que les choses sérieuses vont commencer. On sait tout de suite qui aimer, qui détester et je vous avoue qu'il y a des coups de pelle qui se perdent… Ma préférence est pour John, ce pompier qui dompte l'écaille et la contrôle. Par contre, les personnage d'Harper me dérange beaucoup plus. Elle est trop lisse, trop gentille, trop indispensable dans le roman. Elle part en expédition, elle prend des risques inconsidérés… Ça en parait presque surréaliste et stupide.

Soyons franc, le camp et tout ce côté religieux, chant, osmose, prière… ça m'a surtout fait penser à une secte. Chanter pour dompter l'écaille, je valide l'idée mais je n'aime pas cette tournure. Alors oui, c'est très américain, en soi, c'est presque logique, mais j'ai du mal avec ce côté sectaire.

A la fin de ces trois parties, beaucoup de questions restent en suspend, à propos de l'écaille, de John, de la vie dans le camp, sur ce que va faire Harper… On sent que les choses vont avancer par la suite…

Parties 4 à 6: Je ne m'attendais pas à ça. Sans dire que j'ai été déçue par cet axe, comme je le disais, il y a un côté très américain pieux avec congrégation, chant, osmose et autres qui me gênent un peu et qui prend une grande place dans cette seconde partie. Oui, bien sûr, c'est utile à notre histoire, on va découvrir plein de choses très intéressantes à propos de l'écaille de dragon et à son mode de transmission et sur l'évolution de la maladie, sur les gens aussi, sur l'effet de groupes, sur la soif de pouvoir, l'obéissance ou l'aveuglement. J'ai eu l'impression de voir surtout une secte et non plus un camp de réfugiés bienveillants…. Ça se lit toujours aussi bien et on est toujours très pris dedans mais faire la distinction entre les gentils et les méchants est peut être trop simple et certains personnages vraiment trop gentils.

Je ne vous ai pas parlé de Mary Poppins… vous vous dites, ça y est elle craque, non, c'est juste que les références à Julie Andrews sont tellement récurrentes que je vous préviens le prochain qui m'en parle, je ne réponds plus de rien.

Parties 7 à la fin: Oui bien sûr, tout suit une continuité logique et si tout le reste passe facilement la fin m'a fortement déçue mais alors, complètement de chez complètement. Oui, c'est une dystopie, oui c'est post-apo mais l'écriture de Joe Hill a rendu ce livre tellement facile à lire que je n'y ai pas vu de noirceurs ni d'acceptation, mais de l'espoir et j'y ai cru. Jusqu'au bout, j'ai oublié que je lisais un post-apo. Dommage pour ma pomme.

Bref, vous l'aurez compris, je n'ai pas du tout été convaincue. C'est un livre qui se lit très bien, avec de l'action, mais finalement, il y a tellement de clichés et de niaiseries à certains moments que ça devient pénible. Et la fin m'a achevée….


Lien : https://loeildesauron1900819..
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Est-ce que j'ai lu un roman parlant d'une pandémie alors qu'on est en plein COVID-19 ? Oui. Est-ce que je regrette ? Non. Depuis le temps que je lis toutes ces critiques dithyrambiques sur Joe Hill -fils de Stephen King, rien que ça-, je me suis enfin plongée dans la lecture de L'homme feu, dont beaucoup disent qu'il s'agit de son meilleur roman.
le problème, quand on entend autant de bien d'un roman, c'est qu'à la lecture on a énormément d'attentes et surtout le risque d'être déçu. Après avoir lu moult critiques positives, je m'attendais à un page turner impossible à lâcher, un suspens haletant, des personnages travaillés à la perfection, et pourtant je suis un peu resté sur ma faim.

Pour ce qui est des personnages principaux, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à Harper. Sa manie agaçante de faire référence à Mary Poppins, sa naïveté et son petit côté moralisateur m'ont de nombreuses fois donné envie de la secouer. John -l'homme feu- aurait mérité d'être plus exploité. J'avais envie d'en apprendre plus sur lui, mais il est malheureusement trop souvent effacé au profit de l'héroïne. le seul personnage qui évolue de façon drastique c'est Jakob, le mari d'Harper. Il passe du mari aimant au psychopathe sadique en quelques chapitres et même si parfois c'est un peu exagéré, c'est le personnage qui m'a le plus convaincue.

Si j'ai adoré vivre l'épidémie du côté des infectés, le côté sectaire et mystico-religieux des messes organisées pour contrôler l'écaille m'a nettement moins plu. J'aurais aimé quelque chose de moins facile -et un peu moins perché, j'avoue-. Pourtant, malgré quelques longueurs, chaque fin de chapitre donne envie de continuer la lecture et les nombreuses références à la pop culture raviront les amateurs. La plume de Joe Hill est très agréable et fluide, il nous emmène facilement dans son univers et j'ai très envie de découvrir d'autres romans de cet auteur plus que prometteur.

Note : 14/20
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Un virus atypique se propage à une vitesse alarmante dans le monde entier : la maladie, qui fait apparaître des tâches noires sur la peau semblables à des écailles, finit par transformer tous ceux qui la contractent en torche humaine, genre combustion spontanée. Après avoir été infectée, l'infirmière Harper Willowes doit échapper aux autorités qui cherchent à parquer les personnes atteintes (ainsi qu'à son époux) pour trouver un endroit sûr. Car, voyez-vous, elle est enceinte, et elle compte bien rester en vie au moins assez longtemps pour mettre son bébé au monde.
A partir de là, et au fil de nombreux rebondissements, on va rencontrer tout un petit monde. Des gens très attachants et d'autres beaucoup moins sympas. John Rookwood, un britannique un peu excentrique, assez mystérieux et vraiment très sympathique, vole pas mal la vedette. Mais il y a aussi le petit Nick, sa soeur Allie, Renée, Franck Storey, Carol, Don Lewiston...

Petite précision avant d'aller plus loin : j'ai lu le livre en anglais, John est donc pour moi le "fireman" (pompier) et la maladie est appelée "dragonscale". Je ne sais pas trop comment ces surnoms ont été transcrits dans la version française donc je préfère m'en tenir à ça.

J'ai beaucoup aimé toute la situation dans laquelle Joe Hill nous plonge, et toute la cohérence de cette maladie qu'il a inventé, qui se comporte comme une sorte de champignon et transforme les corps humains en incubateurs. J'ai trouvé le tout très fouillé, les explications sur la biologie de la chose claires et précises, tout cela était assez passionnant à découvrir (et un peu flippant).
On se trouve, finalement, en présence d'un virus qui peut soit vous brûler vif soit vous transformer en super-héros, si vous trouvez comment vous y prendre. J'ai trouvé l'idée fascinante, même si elle n'est finalement pas assez poussée à mon goût comme je l'expliquerais plus loin.

Les personnages sont nombreux mais tous assez travaillés pour qu'on s'attache à eux (ou qu'on les déteste), même les moins présents. Toute la partie dans la communauté nous plonge parmi ces hommes et ces femmes comme si on vivait parmi eux. On ressent le même soulagement que Harper à se retrouver dans cet environnement protégé, puis le même malaise à mesure que les choses se dégradent. D'ailleurs, on ressent même ce malaise un petit peu avant elle, ce qui fait qu'on tremble pour elle et qu'on a envie de la prendre par les épaules et de lui dire d'être prudente, de se faire moins remarquer si elle ne veut pas avoir de gros ennuis.

On passe par pas mal de sentiments à mesure qu'il nous est donné de voir tous les extrêmes par lesquels peut passer l'humanité en temps de crise. La cruauté des mouvements de groupe, quand les gens cessent de réfléchir par eux-même pour suivre le leader. La rapidité et la facilité avec laquelle l'Homme retourne à la barbarie dès qu'on lui donne une bonne raison de le faire (avec la chasse aux infectés et leur massacre systématique par peur qu'ils ne propagent la maladie).

C'est un roman très sombre, au final, où l'héroïne passe par pas mal de mésaventures, de peines et de désillusions. Ses espoirs sont souvent réduits à néant et on voit beaucoup plus souvent la noirceur humaine que sa bonté. Il y a néanmoins des détails qui rassurent sur notre espèce : des personnages éminents bons et généreux comme Renée et Don. les quelques aides spontanées qu'on peut voir fleurir à la fin du roman...

Rien à redire au niveau de l'écriture, je commence à être une habituée de Joe Hill et son talent pour manier les mots et nos émotions ne fait plus aucun doute pour moi. le roman souffre peut-être de quelques longueurs, je l'ai surtout ressenti après le départ de la communauté où il y a un creux dans l'action.

Je dois aussi parler de quelques petites déceptions quant à ce roman, qui m'a laissée sur ma faim à quelques égards. Principalement au niveau du Fireman. John Rookwood est un personnage super attachant, charismatique et plein de ressources, seulement il n'a pas souvent l'occasion de se rendre utile. Plus précisément, à chaque fois qu'il commet un éclat et nous offre un passage impressionnant, il se retrouve ensuite blessé et immobilisé pendant plusieurs chapitres. Ce pauvre Fireman n'aura pas été épargné pendant tout le roman, j'ai eu l'impression que ces blessures à répétition servaient surtout à empêcher un personnage trop puissant d'interférer trop souvent avec l'intrigue.
Autre petit détail : je ne sais pas pourquoi, mais j'ai trouvé que la romance entre Harper et John arrivait de manière pas très naturelle. Il y a pourtant, dès le début, une alchimie évidente entre les deux personnages, mais la manière dont évolue leur relation m'a parue forcée.

Petit aparté : j'ai rêvé ou il y avait de grosses références au Fléau de Stephen King, dans ce roman ? Parce que le jeune type intelligent mais imbuvable de la communauté s'appelle Harold Cross (Harold Lauder + Nadine Cross) et que le sourd-muet s'appelle Nick... Sans aucun doute un clin d'oeil de la part de Joe Hill à la version du virus apocalyptique imaginée par son père, et je trouve ça très sympa.

En bref, c'est un roman excellent qui part d'un concept original, comme souvent avec Joe Hill. Chacun de ses romans respire l'ingéniosité et a ce petit truc en plus qui fait qu'il ne ressemble à aucun autre. Même en s'appuyant sur un certain nombre de références littéraires (comme il l'explique au début du livre), il arrive à faire de l'inédit.
L'intrigue est immersive, on a du mal à lâcher le livre, on s'inquiète pour la survie de Harper et des autres à chaque nouveau rebondissement. le Dragonscale est si bien décrit et réaliste qu'on aurait presque peur de l'attraper (surtout quand on le lit en pleine canicule, ce qui était mon cas). L'histoire est assez marquante et on a du mal à quitter les personnages à la fin. Je suis juste frustrée du destin du Fireman, un peu trop victimisé tout au long du roman alors que j'aurais voulu le voir en action plus souvent.
La fin, bien qu'en accord avec le ton général du roman, laisse un goût amer et ne donne pas très foi en l'humanité. Joe Hill semble avoir la même aversion pour les happy end que son père.
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Un « fléau » à la sauce fantastique. Je lis beaucoup les comparaisons avec The Walking dead mais n'oubliez pas que King père a déjà publié son Fléau et que TWD a pris/s'est inspiré d'énormément de chose de ce fléau. King et Greg nicotero ont beaucoup traînés ensemble et ça se sent dans TWD à l'écran. Pour ce qui est de l'homme feu, on s'y retrouve un peu là dedans avec un Harold antagoniste (fléau aussi), des clins d'oeil à Nos4A2, Harry Potter et Poppins qui ne sont pas aussi déplaisant. Je trouve ça drôle car Joe Hill aime la pop culture. Aussi, pour parler du livre, j'ai bien évidemment adoré sinon je n'aurai pas mis 4 étoiles 1/2 mais il y a plusieurs choses qui m'ont interpellé et qui a mes yeux, sont assez pénible :
1 - la faiblesse constante de JR
2- le fait qu'avec tout ce qu'elle a vécu jusque là, Harper n'accouche pas avant 9 mois et quelques (alors d'accord on est dans la fantastique mais quand même…)
3- On veut la suite ! Car pour moi la fin… ça doit pas être la fin, si ?

King junior sait nous tenir en haleine, il a un sens de l'humour très acide comme j'aime. le héros phénix est génial, sa personnalité est incroyable. L'héroïne est également parfaite. Tout est bien raconté, ne traîne pas en longueur sur les détails. Même si il y a toujours des phrases twists redondantes à chaque fin de pages toutes les 10 pages… j'ai pas compris pourquoi il aimait autant faire cela.

C'était mon premier roman de Joe Hill et j'ai adoré. Beaucoup disent que ça ne ressemble pas au père mais … encore une fois je ne suis pas d'accord. Ils ont le même don pour l'écriture, pour que le lecteur soit dans le livre en 1 à 2 pages. Pour que les livres se connectent les uns aux autres avec des clins d'oeil, même sens de l'humour, c'est le genre qui diffère. En tout cas, ça fait plaisir de se dire qu'il y a une relève après l'inévitable. Rare sont les auteurs dans lesquels on s'immerge instantanément !

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J'ai a-do-ré ce roman pré-apocalyptique !

Harper est une jeune infirmière, en couple. Un mal étrange sévit depuis peu aux Etats-Unis : des humains sont infectés par un virus qui laissent apparaître comme des écailles sur leur peau. Puis ils finissent par prendre feu et mourir immolés. La terreur commence à s'installer. Harper devient bénévole à l'hôpital et finit par être contaminée. Manque de bol : elle vient juste de tomber enceinte. Son mari panique, devient ambivalent pour finir par devenir violent. Harper trouvera refuge dans une communauté d'infectés capables de maîtriser le virus et de rester en vie.

Ce que je vous raconte là, ce n'est que le tout début. En poche, le roman fait 985 pages. C'est énorme mais à part deux petits chapitres, tout est à garder, à dévorer ! Il n'y a pas des climax de fous à répétition (le truc qui m'énerve le plus). le récit est bien maîtrisé, le suspense bien contrôlé, les personnages principaux ne sont pas caricaturaux. Dans les premiers chapitres, je me suis dit que l'auteur s'inspirait de la crise du C*vid mais non. Il l'a écrit avant ! Franchement c'est de la vraie bonne lecture détente qui change les idées. Je le conseille à 200%.
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L'homme feu
A découvrir pour les amateurs de dystopies glaçantes. La population souffre d'un virus étrange : l'écaille de dragon. Caractérisée par des marques tribales sur la peau, les hommes s'enflamment les uns après les autres.
En plus du côté fantastique de l'histoire, ce qui est très intéressant, c'est le côté communautaire. Comment les gens réagissent face au risque de la maladie et la peur d'être infecté. Aussi, la mise en place de mini sociétés, dans lesquelles le pouvoir tourne vite à la tête...
La psychologie des personnages est vraiment ce qui fait de ce (très long) roman, un incontournable !
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Livre pré-apocalyptique, où la fin de l'humanité semble inéluctable. Joe Hill n'essaie pas simplement de faire peur à travers un récit catastrophique mais signe une fable véritablement profonde sur l'homme face à ses peurs.
Les personnages sont attachants et c'est par le prisme fantastique qu'ils abordent la réalité et y font face.
L'auteur fait passer des messages forts par le biais d'une satire sociale.
Un bon moment de lecture.
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Deuxième roman que je lis de Joe Hill, fils du célèbre Stephen King. Je n'avais pas accroché au livre qu'il avait écrit avec son père "Plein gaz". Par contre cette fois, avec l'homme feu je me suis régalé. Pourquoi ? Avant tout parce que l'histoire est prenante, bien écrite, les personnages sont intéressants, pas trop super héros, pas trop niais. C'est agréable à lire et les 620 pages filent rapidement, preuve de sa qualité, enfin pour moi.
On est plongé dans une histoire qui mêle à la fois la route de Mccarthy et la série Walking Dead. On est entouré de personne qui sont contaminés et qui s'embrasent. On découvre certains personnages qui arrivent à canaliser le feu qui sommeille en eux. Et surtout on a envie d'en savoir plus sur l'homme feu, titre du livre...
C'est à mon sens où j'ai été très légèrement déçu. Je m'attendais à une histoire où une femme qui va accoucher cherche l'homme feu pour qu'il l'aide à mettre au monde son enfant en lui apprenant à maitriser le feu. Et en fait pas du tout, elle ne le cherche pas bien longtemps puisqu'il est là au début du livre. Alors, peut-être est-ce le résumé qui m'a induit en erreur, cependant je ne m'attendais pas à ça, et au final ce n'est pas plus mal.
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