L'Assassin royal, tome 7 : Le Prophète blanc

Chassez le naturel, il revient au galop, le cher Tom ne peut pas nier son passé éternellement c'est bien triste...
Ses responsabilités lui pèsent comme jamais, et 15 ans après la Deuxième Epoque, il n'a toujours pas plus envie d'aller dans ce monde qui le répugne, qui le blesse, et surtout, qui ne veut plus de lui.
Et pourtant, le revoilà en route, guidé par son sens inébranlable de la loyauté, l'appel de la justice prime sur tout le reste.

Après avoir lu les 9 tomes des Aventuriers de la Mer (que j'ai adorés) je me replonge avec plaisir dans les aventures de Fitz. le début d'un nouveau cycle plutôt lent, mais sans qu'il en devienne ennuyant. Au contraire, il présage de prochains tomes de nouveau remplis d'intrigues politiques et de découvertes de l'univers des Six Duchés. Hâte de lire la suite !

Pour moi c'est le livre de la coupure entre les deux temps du cycle de l'assassin royal et j'ai ru beaucoup de mal sur les eux premier tiers du livre.
Le dernier tier lance bien la suite des six prochain tome mais c'est très lent au début et j'ai eu du mal à me rattacher à l'histoire

J'aime. Néanmoins je déplore une chose : la lenteur de l'intrigue à démarrer. On entre dans le vif de l'histoire qu'au bout de deux centaines de pages.
En dehors de cela, le livre se lit agréablement et bien. Si vous avez aimé les tomes précédents je vous invite à continuer ainsi votre lecture.

Un tome de transition, qui permet de poser les bases des futures aventures de Fritz ......
Même si ce dernier n'apporte rien de plus, j'ai trouvé sympathique de retrouver les héros des tomes précédents.

J'ai beaucoup de difficulté à comprendre la hype dont bénéficie Robin Hobb. J'ai lu toute la série de l'assassin royal y compris la deuxième partie, mais je n'ai pas lu les aventuriers de la mer et je ne me sens pas la volonté d'écrire une critique pour chacun des tomes. D'autant plus que ce sont à chaque fois les mêmes soucis qui se présentent à la lecture de Robin Hobb.
Commençons d'abord parce ce qui risque de m'attirer les foudres de beaucoup et qui en même temps m'agace le plus. Avant de me renseigner sur qui était Robin Hobb, j'avais deviné depuis longtemps qu'elle était une femme, car Robin Hobb ne sait pas incarner un homme. Fitz a des réflexions, des attitudes, des comportements qui sont peut-être ceux qu'une femme imagine être ceux d'un homme, mais au bout du compte ça ne fonctionne pas. Combien de fois me suis-je dis : "non, un homme ne réagirait pas de cette façon." ou encore "non, un homme n'est pas aussi grossier que ça, pas aussi caricatural que ça." A la longue, je m'y suis habitué, mais après bien des soupirs. Corollaire de ce qui reste pour moi une incohérence, certaines attitudes sont celles que l'on pourrait prêter à l'un de nos contemporains confrontés à ce monde et quelquefois Robin Hobb oublie de se projeter dans son oeuvre.
Il y a ensuite ce sentiment que ce que Robin Hobb écrit avec deux volumes, elle pourrait l'écrire avec un seul. Les détails, quelquefois jusqu'à la caricature et les répétitions comme si Robin Hobb voulait s'assurer qu'on a tout bien compris font qu'il m'ait arrivé de sauter certaines pages. le plus affreux étant sans doute la longue, très longue description du façonnage d'un dragon.
Au bilan je crois que Robin Hobb écrit trop vite ses romans au point qu'ils apparaissent comme bâclés et qu'on est jamais loin du roman à l'eau de rose de la série Harlequin. George R. R. Martin cite Robin Hobb comme un auteur remarquable, mais pour moi la qualité de ses histoires n'arrive pas à la cheville du maître.
Reste qu'au détour d'une page, Robien Hobb parvient à nous surprendre avec une idée originale ou une situation très bien amenée. du coup on se surprend à poursuivre la lecture en espérant un autre moment comme celui-ci, trop rare malheureusement.

J'ai été un peu déçue par ce tome, que j'ai trouvé assez long à se mettre en place. C'est celui que j'ai le moins aimé depuis la découverte de cette saga.

Après plusieurs années déjà, je me suis replongée dans la formidable épopée de L'assassin Royal (tome 1 à 6). le temps a passé et pourtant chaque souvenir m'est revenu peu à peu. J'ai savouré avec délices le retour dans ce monde qui m'avait autrefois happé. J'y ai retrouvé ses personnages que j'avais tant aimés, cet univers : Castelcerf et ses intrigues, et je me suis laissée transporter par la plume de Robin Hobb.
A travers ce second cycle, Robin Hobb a réussi à reprendre tous les éléments qui ont fait le succès de L'assassin Royal. En quelques lignes, j'ai de nouveau succombé au monde qu'elle a su créer.
Ma chronique complète : https://singesdelespace.wordpress.com/2016/05/24/lassassin-royal-tome-7-et-8-de-robin-hobb/

pas aimé! il ne se passe rien c'est ennuyeux j'arrête la série!
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