Prenez le tome 1, changer les prénoms, les lieux, certaines actions. Mettez de nouveaux personnages et vous avez le tome 2. Non sérieusement, ici nous avons les mêmes ingrédients que pour le premier tome:
Une jeune fille de bonne famille vierge,
Un Écossais beau, virile et légèrement sombre crétin sur les bords,
La jeune fille passe a la casserole,
Un méchant qui en veux au bel écossais,
La jeune femme se fait enlever (on la menace de la violer),
On la sauve,
On crapahute sous la tente,
On se marie et on a beaucoup d'enfants....
Bon d'accord, je veux bien croire que pour écrire de la romance historique, il faut garder une certaine trame, mais quand même. Je reste sur ma faim, je veux le petit plus qui me face décoller et que j'attends jusqu'au bout, mais qui ne vient pas.
Je vais me laisser tenter par le tome 3, car sais une lecture du Ladies Club, mais je sais d'avance que je ne serais pas transporter par ce que je lirais a mon grand regret.
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— Chut, murmura Avery en posant un doigt sur ses lèvres. Je n’exige que quatre choses de toi, Cameron MacAlpin.
— Lesquelles ?
— Je veux que tu m’aimes autant que je t’aime.
— C’est le cas, même si je ne comprendrai sans doute jamais comment je peux être aussi chanceux.
— Je veux que tu aies besoin de moi.
— Autant que de manger ou respirer. J’ai besoin de toi tous les matins pour me permettre de survivre à chaque nouvelle journée... et sans toi à mes côtés, je n’arriverais pas à dormir.
— Il en va de même pour moi. Il me faut aussi ta confiance... Comme je crois en toi, de tout mon cœur, de toute mon âme.
— C’est le cas, Avery, et ça ne date pas d’hier.
La jeune fille eut envie de pleurer de joie, mais elle savait que Cameron ne comprendrait pas, elle se contenta donc de sourire.
— Enfin, je veux avoir des enfants avec toi.
— Comme tu peux le constater, je me suis déjà mis à l’œuvre
- Et elles courent bougrement vite avec ça. Occupe-toi de la petite.
- Elles le sont toutes les deux !
- Suis Gillyanne, je me charge de l’autre bête à chagrin.
Cameron ignora le rire de son cousin
Les deux jeunes filles adressèrent de grands sourires à Cameron, et les pas de celui-ci se firent plus hésitants. Il aurait dû se sentir heureux et flatté d’être ainsi accueilli par des créatures aussi exquises. Mais alors, comment expliquer, tandis qu’il ramenait Avery près de son cheval, ce besoin soudain de revêtir la première armure venue ?
Je n'ai pas réussi à te pousser à m'aimer autant que je t'aime. L'amour devrait toujours être partagé.
Tu sais, parfois, l'unique est bien plus beau que le parfait.