Un bel album nous permettant de découvrir un très beau conte japonais écrit entre 850 et 950 après J. -C.
Lorsque l'on replace cette histoire de Taketori Monogatari à l'époque de sa création, nous ne pouvons qu'admirer son pouvoir d'imagination puisqu'il nous offre un voyage dans le temps et la rencontre avec des extra-terrestres.
En quelques mots:
Un vieux coupeur de bambous découvre une petite fille dans une pousse de bambou. Sans enfant lui et sa femme vont l'adopter.
Devenue jeune fille d'une extrême beauté, trois prétendants vont tenter de relever les défis qu'elle leur propose pour les départager.
L'histoire alors est loin d'être terminée car plus le lecteur va tourner les pages , plus le mystère entourant la jeune Kaguya-hime va s'épaissir.
L'album est très fidèle au conte initiatique. Il nous rappelle l'importance de certaines valeurs. Les couleurs sont superbes, très vives et les visages des personnages d'une vraie finesse.
Ne pas hésiter à le mettre dans les lectures à venir
Commenter  J’apprécie         30
Une très belle bande dessinée...
Belle car le dessin est un pur enchantement de lumière et de couleur, de finesse et de douceur.
Belle ensuite car c'est un très jolis conte que nous déterre l'auteur d'une culture lointaine, et qui ne peut que nous ravir par son exotisme et son étrangeté.
Car oui malgré ses passages qui peuvent presque évoquer de la science fiction, le conte a été écrit pendant le moyen âge, et existerait depuis plus longtemps encore.
Bref je me suis tout bonnement régalé avec une petite préférence pour le final, expliquant l'origine du nom du Mont Fuji ainsi qu'une explication assez poétique sur son activité qui perdurait encore à l'époque ou le conte a été imaginé
Commenter  J’apprécie         30
Une très belle découverte !
Le Coupeur de Bambou est une bande dessinée absolument époustouflante grâce à de magnifiques couleurs et des dessins exceptionnels.
Il m'a été agréable de lire la jolie histoire de Kaguya-Hime, personnage principal féminin, d'une beauté inconditionnel, et de découvrir la poésie de l'art.
Commenter  J’apprécie         50