Btooom, tome 1

Le jeune Ryota Sakamoto vit confiné chez lui et passe ses journées à jouer online. Ce paisible quotidien est perturbé lorsque de mystérieux hommes en noir l'enlèvent et le transportent sur une île déserte. Pourquoi ? Qui ? Dans quel but ?! Bombes à retardement, combats à corps à corps, chasse à l'homme...
A lui de survivre à ce qui semble peu à peu lui apparaître comme une version réelle de son jeu préféré : "Btooom!" ...



Ce manga est une découverte sans précédent, pour moi. Un shonen qui sort des sentiers battus. Loin de ceux où l'action prime, où les katanas se croisent avec les femmes nues pour donner des aventures purement orientées vers les jeunes hommes. Ici, c'est un fan de jeu vidéo que nous suivons. Surdoué, connu et admiré pour ses performances dans le jeu en ligne "Btooom", c'est sur de lui qu'il imagine ses prochaines victoires en ligne. Mais d'un coup, il se retrouve sur une île. Désorienté, amnésique. Une plaque en verre intégrée dans le dos de la main.
Sa rencontre avec le premier des autres habitants de l'île est terrifiante. Pas de place pour le dialogue, seule l'élimination compte. Ryota est traqué, poursuivi, sous les explosions causées par les bombes de son adversaire. C'est pour défendre sa vie qu'il attaque.... Et tue pour la première fois un homme.
Un choc terrifiant qui nous plonge avant même de connaître l'histoire, le principe de cette île, dans la terreur de la situation : tuer ou être tuer. (Petit côté Hunger Games, chez Suzanne Collins...)
C'est en rencontrant les autres personnages, une jeune fille séduisante mais peureuse, mais qui a de la nourriture avec elle, et un agent immobilier, qui en apprend plus sur sa situation et commence à recouvrer ses souvenirs ...
Tous, ont été enlevés pour s'affronter dans immense Btooom ! à échelle humaine.
Armés de différentes bombes, alias "Bim", qu'ils doivent apprendre à manier, ils doivent faire 7 victimes pour sortir vivants de l'île.

Comment s'en sortir alors? Fuir, renoncer à se battre et à faire des victimes? Ou bien tuer pour ne pas être tuer? Et comment récupérer ces vivres qu'on leur parachute à intervalles réguliers dans la journée? Faire des alliances pour mieux s'en sortir, et se défendre à plusieurs? Défendre les autres alors...

Lorsque tout devient plus clair, la situation s'éclaircit pour Ryota et les autres.
C'est la stratégie et la diplomatie, sources d'intelligences humaines, qui vont être leurs meilleurs atouts pour les sauver, et leur permettre de survivre, bien plus que leurs "Bim".


Notre héros est un personnage complexe, qui nous offrira de beaux combats pour sa survie. Meilleur joueur japonais à Btooom ! il devra prouver qu'il est capable des mêmes exploits dans la vie réelle, sur cette île, arènes de combats forcés.
Mais c'est pourtant les valeurs humaines qu'il souhaite garder et défendre jusqu'au bout. "Ne pas perdre l'essentiel." Dans cet état d'esprit, comment tuer de sans froid un autre participant forcé ?


Enfin, il réfléchit aux sources de ce jeu cruel et sanglant. Les organisateurs, les fonds, les droits, la conception ... Qui a pu créer un concept collant comme deux gouttes d'eau au jeu en ligne le plus populaire ? Avec quel argent, quelles autorisations? Et dans quel but ? Est-ce un esprit machiavélique jouant avec leurs vies, pour le plaisir de tuer issu d'un malade, ou bien un acte réfléchi et décidé par une organisation, dans un but précis?

Btooom! , un manga qui nous propose une intrigue originale, un brin inspirée de Battle Royale, mais aussi des personnages complexes, intéressants et vivants. Des dessins soignés et agréables, maîtrisés autant pour les maps chaotiques du jeu vidéo et les armures des joueurs, que pour la jungle de l'île inhospitalière. Un trait soigné qui rajoute un plus considérable à cette série coup de coeur ! A surveiller de près, la suite à découvrir sans hésiter !
Lien : http://rayon-passion.blogspo..

Un manga qui va faire du bruit!

Btooom ! est un jeu vidéo, genre de MMO dans lequel le but est de survivre. Jusque-là, classique. Ryôta, un jeune joueur japonais, fait partie des 10 meilleurs mondiaux. Pas de quoi s'affoler non plus. Ce qui devient intéressant, c'est quand Ryôta se retrouve contraint de jouer… dans le monde réel.


Ryôta, jeune Japonais féru de jeux vidéo, fait partie des dix meilleurs joueurs mondiaux de Btooom ! Ce jeu en ligne, dont le but est de survivre, s'organise comme suit : chaque personnage reçoit un set de bombes (les BIM), et doit s'en servir pour éliminer les autres, tout en évitant bien sûr de se faire éliminer. Chaque set de BIM a un effet particulier (à retardement, défragmentation, souffle, chimique, etc…), engendrant un côté stratégique à l'affaire. Rien de surprenant, donc, à se retrouver accroc à ce jeu.

Or, ce fameux Ryôta se retrouve parachuté sur une île visiblement déserte, harnaché d'un set de BIM. Il est d'abord pris de panique, car il ne se souvient absolument pas de quelle manière il est arrivé là, et encore moins pourquoi. Ce n'est que lorsqu'il se fait agresser à l'explosif par un psychopathe qu'il comprend qu'il se trouve en fait dans ce jeu qu'il apprécie tant. Mais y jouer en ligne, derrière son écran, c'est une chose ; s'y retrouver plongé en est une autre : paradoxalement, il est beaucoup plus difficile de rester froid et calculateur lorsque sa propre vie est en danger…

Passé ce premier écueil, réfléchissons. Comment s'en sortir ? Seul, ce sera dur. D'un autre côté, les autres vont tenter de le supprimer par n'importe quel sournois stratagème. Ryôta va finir par rencontrer un homme, la quarantaine bedonnante, et visiblement lui aussi dépassé par les évènements. Mais que font toutes ces personnes sur cette île ? Pourquoi eux, ici et maintenant ? Ryôta va enfin en savoir un peu plus…

En parallèle, nous suivrons quelques-uns des principaux personnages (comprendre « les plus dangereux »), en nous demandant quand vont-ils croiser la route de notre petit Ryôta. Ce découpage laisse le lecteur fébrile, tant les cliffhangers sont efficaces et les situations tendues. Habilement aidé par un graphisme jeune et dynamique, le scénario en lui-même s'étoffe, autant que les personnages gagnent en profondeur. Des thèmes difficiles sont abordés, à commencer par la mort, bien entendu. Il y a peu d'humour dans cette série, et le côté psychologique s'équilibre parfaitement avec les scènes d'action. En bref : j'ai lu, j'ai aimé, et je recommande. Prenez garde toutefois, ce manga est très subjectivement déconseillé aux moins de 14 ans.

A lire également : Battle Royale et Hunger Games.
Lien : http://www.fnac.com/BTOOOM-c..

Un amnésique se retrouve sur une île, embarqué malgré lui dans un "jeu" de survie à la Battle Royal.
Intrigue qui semble assez classique, pourtant j'ai bien accroché, surtout grâce au personnage principal que je trouve intéressant. L'histoire alterne les séquences entre sa vie d'avant - où il rejette violemment les tentatives de sa mère de lui trouver un travail et préfère passer ses journées sur un jeu en ligne de combat - et sa situation sur l'île, traqué par d'autres personnes, armées... comme dans son jeu préféré.
Il est détestable, associable mais aussi intelligent, calculateur et capable de se poser des questions morales. Un personnage sous pression, capable d'évoluer dans plein de directions différentes.
Par contre... était il vraiment nécessaire de titiller la libido du lecteur ado avec une lycéenne courtement vêtue ?

Ryuta Sakamoto, 22 ans, sans emploi, passe ses journées sur un jeu vidéo online « BTOOOM ! ». du jour au lendemain, sans savoir comment, il se retrouve sur une île. Il va alors découvrir qu'il n'est pas seul et qu'il est en fait plongé dans une version réelle de son jeu où il va devoir tuer pour survivre. Les qualités graphiques de ce manga ainsi que l'originalité se son scénario en font un incontournable.

Un bon manga je n'aime pas trop ce style genre Battle Royale mais mon chéri voulait mon avis! donc je l'ai lu! Ce premier tome vous donne les couleurs des prochains tomes! Vous vous posez des questions sur les gens qui sont la et pourquoi ils sont la et qui à bien pu organiser ce "Jeu"! niveau du graphisme j'aime bien, il n'est pas brouillon!