Les expressions « L’État est mort », « L’État n’existe plus en RDC », sont constamment répétées, soulignant la dégradation qualitative des services publics, de l’administration publique, de l’ordre, de la sécurité, de l’éducation et de la santé pour tous. L’organisation des infrastructures, de la fiscalité, de la justice, etc., au profit du plus grand nombre, en souffre. Un chevauchement permanent et préjudiciable est observé dans les attributions des ministères et ...
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