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3,45

sur 7989 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
lol

Vraiment ?

Ce roman, visiblement écrit par un enfant de 8 ans ivre et drogué en quinze minutes au milieu de la nuit, est l'histoire d'une courge qui sort avec un psychopathe.

Personnages plats et non crédibles. Anastasia (nom ridicule) étudiante pure et vierge parle comme une actrice de X sur le retour reconvertie en charretière. Et mon dieu, qu'est-ce qu'elle est bête...

Heureusement pour Christian Grey qu'il a un très gros zizi et qu'il est très très beau et très très musclé et qu'on nous le répète beaucoup beaucoup parce que sinon, franchement, je sais pas ce qu'on lui trouverait (heureusement aussi que sa mère est une "pute à crack", ce qui est sans doute supposé excuser, grâce à un habile stratagème qui est à la littérature ce que le big mac est à la gastronomie, le fait qu'il suive Anastasia dans la rue, se permette de tracker son téléphone, de l'espionner et de mettre en danger sa carrière). Ahahah, on nous prend vraiment pour des cons. Si Christian Grey était moche, son attitude envers Anastasia (jaloux à l'extrême, envahissant, méfiant, controle freak absolu) serait considérée comme du harcèlement et il finirait au poste, mais comme il est beau, c'est beau, émouvant, c'est de l'amour, on en pleure (de rire).

N'importe quoi.

J'ai eu envie de dormir jusqu'au moment où Anastasia cède, après quoi le livre sombre dans la niaiserie la plus totale et là, je n'ai plus eu envie de dormir (j'ai eu envie de me suicider)

Le sexe ? Puisque c'est de ça qu'il est question, ben le sexe... n'est vraiment pas sexy. Onomatopée, description grotesque, métaphores hilarantes, qui ici pense que le mot vagin est sexy ?

(je ne voulais même pas en parler parce que franchement ça sert à rien, mais oh, mon dieu... le style, le style.... 12 mots de vocabulaire... rien il n'y a rien dans ce livre).

Sans doute le livre le plus mal écrit que j'aie jamais lu, non seulement du point de vue du style mais aussi de la construction, des personnages, de l'intrigue, heu quelle intrigue en fait ?

Enfin bon je vais pas me plaindre, j'ai bien rigolé, merci EL James pour ce livre absolument hilarant, ça faisait longtemps que je m'étais pas marrée comme ça.
Lien : http://fan-de-chicklit.com/2..
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Triste. Même pas érotique.
On a une nunuche pucelle à 22 ans (je comprends qu'on en ait fait un livre, je ne savais même pas que ça pouvait encore exister) qui nous bassine à chaque page avec sa déesse intérieure qui aussi cruche que cette pauvre fille, et qui se mordille tellement les lèvres qu'on se demande ce qui lui reste en la matière à la fin du livre.
Quant au milliardaire de 27 ans possédant son hélico et son jet privé, il n'a aucune envergure en dehors de celle d'un petit garçon qui veut jouer au docteur.
Là où je suis terriblement déçue, c'est qu'il existe en France 1000 fois mieux, un livre avec lequel on pourrait casser la baraque aux States. Mais l'auteur est peu connu, n'est pas journaliste et ne gravite pas dans la sphère éditoriale. Et c'est bien dommage.
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Bon, ça c'est fait, je mourrai moins inculte...
Que dire de plus ?
Je ne vais pas être très originale mais comme beaucoup j'ai détesté cette lecture.
Le scénario est creux et enchaîne les clichés.
Les personnages sont inconsistants, entre Ana jeune vierge qui vire nympho dès qu'elle aperçoit son Apollon, et Christian pervers à l'esprit soi-disant tourmenté.
L'écriture ne relève pas le niveau, plate et sans saveur, pleine de répétitions.
J'ai réussi à terminer ma lecture mais ce fut un supplice.
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Soupe littéraire lyophilisée arôme fétichiste

Composition : bouillon de style d'écolière de 8 ans et/ou de 14 ans (si âge mental en retard), guimauve (65%), bling-bling (20%) vomi*, alcool, frustrations sexuelles, sueur, poudre aux yeux.
Peut contenir des morceaux de lanières de cuir et des bouts de bâillon (aïe, ouille).

ATTENTION Une consommation excessive peut avoir un effet laxatif.

* l'un des faits d'armes de l'héroïne n'est pas de se faire tanner les fesses à coup de fouet, mais est en effet qu'elle vomit de façon mémorable sur un parking. Shocking !


Fabriqué aux Etats-Unis par une femme intronisée écrivain par une bande de fanfictionneurs en mal de sensations et par un éditeur opportuniste ayant flairé un bon filon.

Un produit de la gamme le Fétichisme pour les nuls, disponible désormais en version film.
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A moins que vous passiez votre temps menotté à votre lit avec un bandeau bien serré sur les yeux et des plumes enfoncées... dans chacune de vos oreilles, vous devez avoir entendu parler de la trilogie Fifty Shades, célèbre « mommy porn » (porno pour maman) qui à défaut d'exploser les sens, déflore les ventes.

40 millions de livres vendus à travers le monde dont la moité sous forme électronique. le livre est formaté pour le fast-food littéraire, un clic et hop dans la liseuse afin de pouvoir s'émoustiller en toute discrétion.

EL James a repris la franchise incontournable des Harlequins. Elle, vierge, naïve, maladroite en quête d'amour. Lui, riche, expérimenté, beau, tourmenté, puissant et bien membré. Elle possède le syndrome de l'infirmière. Grâce à son amour, elle va pouvoir le changer et, surtout, le guérir de ses démons. Il va lui montrer un monde insoupçonné de sensualité où les orgasmes sont multiples.

Évidemment, le tout reste très-dessous du seuil de pauvreté littéraire. Bienvenue dans le quart-monde de l'écriture où les « putain » et les « whaou » fleurissent toutes les deux pages et expriment, à eux-seuls, la palette des émotions humaines.

Je pourrais ainsi terminer cet humble avis en vous conseillant de passer votre chemin mais je manquerais cruellement d'honnêteté envers vous et envers moi-même. Alors que je redoutais une soumission totale de l'héroïne, j'ai été surprise de constater qu'elle s'affirmait au fil des pages. On est très loin du porno féministe mais le roman fait preuve, malgré le ridicule des clichés, de prémices d'adaptation à son époque.

Enfin, si les facettes sadomasos ont glissé sur moi comme du lubrifiant, les scènes érotiques n'ont pas eu le même effet. J'ai eu quelques picotements et j'ai terminé ma lecture avec une subtile envie d'aller voir si mon homme était disposé à accorder son état d'esprit au mien. Et, restons dans les confidences, j'ai passé un très agréable week-end.

Même si j'ai un peu mal en l'avouant - restons dans le SM - Cinquante nuances de Grey rempli son office. Cependant, si en lisant ce genre d'ouvrage, je pouvais avoir un orgasme littéraire, putain, ce serait whaou.
Lien : http://www.audouchoc.com/art..
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Je n'en suis qu'au premier tiers du livre. J'en ai tellement assez de lire "je rougis" que je me suis amusée à les compter grâce à la recherche dans un doc pdf. Il y en a 62 sur 344 pages. Ca fait un "je rougis" toutes les 5 pages et demi.Je n'ai pas compté les "je m'empourpre" et les "je rosis" Au secours à l'aide. I'm blushing, I'm blushing, I'm blushing. le problème est que jusque-là, en ce qui me concerne, la température ne monte pas beaucoup. Elle retient beaucoup son souffle aussi, a le souffle coupé... Je ne perds pas espoir, je continue :-)

Je suis arrivée au bout!!! Oh yesss! Et c'est vraiment aussi nul que ça en avait l'air. Pas très crédible. Ca fait un peu roman harlequin vaguement plus épicé, d'où son succès... je ne comprends pas un tel engouement pour les aventures de Nunuche au pays du SM; Je ne suis pas très cliente. Je ne lirai aucun autre tome ou n'irai le voir au cinéma. C'est vraiment très pénible à lire, mièvre...
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Anastasia Steel est vendeuse dans une quincaillerie. Pour une raison qui m'échappe, elle remplace au pied levé une copine grippée qui devait interviewer un milliardaire parmi les plus influents de la planète. Déjà, question sécurité, on est perplexe ; apparemment, le milliardaire en question ne doit pas être trop à cheval sur le sujet puisque n'importe quelle greluche peut l'approcher dès lors qu'elle travaille dans une quincaillerie. Sinon, il faut également mentionner que, pour un milliardaire influent, il semble avoir beaucoup de temps libre, mais bon je critique pas, après tout, il a peut-être un max de R.T.T...
Surtout, ce monsieur a avant tout un méga-secret : quand il est content, il a tendance à fouetter des culs. Vous me direz, ca vaut mieux que de regarder l'Euro de foot sur Beinsport et après tout il y a des gens très bien qui aiment à fouetter des culs. Non, le véritable problème, c'est que les personnages sont d'un navrante niaiserie et que les dialogues paraissent sortis de l'imagination enfiévrée de Priscilla Gaburnot (pour ceux qui me suivent, la soeur de Kévin, celui-là même qui est scolarisé en 5ème B à Nogent-le-Rotrou).
Alors on en a des coeurs qui s'emballent, des têtes qui penchent sur des épaules, on a aussi des grossièretés qui ne dépareraient pas dans une vidéo de Pornhub, mais le tout sonne creux. Il n'y a rien qui fait sens, rien qui donne envie. le pire, toutefois, reste cette écriture d'une insigne médiocrité. Tellement peu soignée, on se prend même à penser que le livre n'a bénéficié d'aucune relecture. Au final, une oeuvre pénible, totalement superficielle. C'est dommage quand même, pour une fois qu'un auteur mettait en valeur une quincaillière...
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J'avoue m'être aventuré dans ce bouquin avec quelques a-prioris. A l'origine, il s'agissait d'une fan-fiction dans l'univers de Twilight. D'emblée, ça ne sentait pas bon. Partir du degré zéro de la littérature condamnait l'entreprise (pas le vaisseau de Star Trek) à ne pas voler bien haut.
Twilight, pour te résumer, c'est Roméo “Vampire” Montaigu qui se frite avec Julien “Loup-garou” Capulet pour les yeux mornes d'une Stella qui porte bien son nom (le vide dans sa tête est égal à la distance entre deux étoiles).
Long, ennuyeux, verbeux, creux, sans style, aussi vide de sens que bourré de poncifs, l'interminable pensum a réussi l'exploit de transformer le mythique vampire en figure nanarde irrécupérable.
Une base solide, donc. Au passage, je cherche encore le rapport entre vampire, loup-garou et SM… L'auteur a dû se faire la même remarque, puisque son récit deviendra une histoire à part sans lien avec le pire de Meyer.


Des nuances, on t'en annonce un pacson en titre. Chou blanc, j'en ai compté zéro.
Prenons les protagonistes. Ça va aller vite, sorti de Christian Grey et Anastasia Steele, il n'y a plus personne, juste une poignée de silhouettes Ikea pour meubler vaguement le décor.

Le Christian, il n'est pas mignon mais beau comme un dieu. Niveau situation, il se situe au-delà de la richesse. Pas comme un maître zen, non, Grey ferait passer Bill Gates pour un miséreux. du pognon tout le tour du ventre, des bagnoles, du fric, un hélico, du blé, un appart' plus chicos que Versailles, de l'oseille, une boîte à côté de laquelle Danone fait figure d'épicerie de village… le type est bien sûr paré de toutes les qualités… enfin, d'après ce qu'en dit l'auteur, parce que pour ma part je lui ai trouvé un QI de bulot, le charisme d'un poulpe et un comportement de trouduc. Pour couronner le tout, ce personnage en finesse et nuances, il est “mystérieux”… Tadadada !… Alors je t'explique, Batman est mystérieux, Zorro pareil, Albator aussi, rapport à leur comportement, leur face cachée, leur histoire, ce qu'on en sait, ce qu'on ignore, ce qu'on imagine. le gars Christian, lui, tient de la meule de gruyère. le “mystère” tient de la facilité d'écriture pour camoufler les trous dans son background et sa psychologie. du flou pour donner une illusion de volume à un personnage épais comme une feuille à rouler. Sauf que cette astuce du pauvre ne fonctionne pas. Grey vain, sa place est dans un musée…

Quant à Anastasia, Ana pour l'intime, c'est pire. On la croirait sortie d'un vieux roman, du temps où les femmes étaient représentées comme d'aimables potiches. QI d'huître (qui se ressemble s'assemble…), divisé par huit : par deux parce que Christian est beau, re par deux parce qu'il est riche, et encore par deux parce qu'il connaît les choses de la vie. Image de la femme qui en ressort : une forme de vie bébête et vénale sensible uniquement à la surface des choses. Eblouie par la beauté, la munificence et le cerveau (sic) de son cher maître masculin. Ben bravo… vive l'archaïsme…


Comme dit le célèbre mème, “50 Nuances de Grey est seulement romantique parce que le gars est un milliardaire. S'il vivait dans une caravane, ce serait un épisode d'Esprits Criminels.” le pire, c'est que c'est tout à fait ça, le roman résumé en une phrase.
Cadre luxueux, paillettes plein les yeux pour aveugler le lectorat, mais quand tu retires ce camouflage clinquant, il ne reste qu'un récit malsain : l'histoire d'une nana jeune, qui manque de confiance en elle et tombe sur un pervers narcissique, un manipulateur assoiffé de toute-puissance sur sa conquête.
Ce récit n'a RIEN d'une romance.

Le reste idem. L'auteur passe à côté du sujet et n'a visiblement rien compris aux rapports de domination-soumission dans le cadre du BDSM. Ses adeptes te le diront, le maître mot est confiance. Ici, je n'ai lu que de la peur chez Ana et, du côté de Grey, égoïsme et ivresse du pouvoir absolu. Or le SM n'a rien d'absolu, il ne peut fonctionner que si les partenaires sont en adéquation, ce qui implique une écoute de l'autre.
Pour le coup, Grey est sourd comme un pot de chambre, la cervelle farcie du même contenu.

Autre différence majeure, dans le SM, il y a un bouton “arrêt d'urgence” (c'est une métaphore, hein, ne cherche pas de gros poussoir rouge carmin sur la croix de saint André où on vient de t'attacher). Nada dans Cinquante nuances, Ana est prisonnière de sa relation avec Christian, qui fait tout ce qu'il faut pour tisser sa toile autour d'elle. Shelob en serait jalouse.
Raconter l'histoire d'une femme enfermée dans une relation toxique, le sujet n'est pas mauvais en soi et peut donner un bon roman, écho d'une triste réalité. le problème vient du fait qu'ici ce rapport soit vendu comme bel et bon, glamour et romantique.
Le summum de l'histoire d'amour, ce serait ça : accourir comme un toutou dès que le maître agite son bâton.

Beaucoup se plaignent de la pornographie qui renvoie une image dégradante des femmes, du sexe ou des plombiers, mais Cinquante nuances est pire à mon sens. le porno se veut hardcore, c'est admis, et vendu comme tel sans malice. 50 trucs de machin, lui, essaie de se faire passer pour “respectable”, “coquin”, “sulfureux”. Un gentil récit un peu osé avec du strass et du cuir autour. L'auteur a le culot de vendre sa soupe comme une histoire d'amour ! C'est tout le contraire d'une romance : une glorification de la violence conjugale et de la soumission à une sexualité machiste. Un type égoïste qui tient une femme sous sa coupe et lui fait subir ses quatre volontés même quand elle n'est pas super emballée, je n'appelle pas ça autrement.

(Je reviens, je vais vomir…)


La thématique se taillant la part du lion, je me montrerai plus bref sur les qualités littéraires. C'est simple, il n'y en a aucune.
Rien qui ne soit prévisible dans cette rédaction poussive niveau collège. le style pourrait n'être que plat, il pousse le vice jusqu'au ridicule. Comme dirait de Funès dans La Grande Vadrouille, “ce n'était pas mauvais, c'était très mauvais”.
Personnages inconsistants, excessifs dans leurs réactions, une Ana pénible à s'étaler sur tout et rien, un Christian nauséabond sur lequel tu as envie de tirer la chasse… N'en jetez plus, la cuvette déborde ! le binôme ressemble moins à un couple qu'à une allégorie de la gastro.
Quant à l'érotisme, peau de balle, le fiasco, la panne, rien qui t'arracherait une demi-molle ou trois gouttes de cyprine.


Si tu veux du sadisme, lis Sade. du masochisme, lis Sacher-Masoch. Pour le sado-masochisme… alterne une page de l'un, une page de l'autre.
Pour celles et ceux qui souhaiteraient quand même s'aventurer dans cette fange, mettez des bottes (les trucs verts tout moches en caoutchouc, pas des cuissardes sexy).
Lisez avec du recul. Vraiment.
Et méfiez-vous des Christian Grey.
Lien : https://unkapart.fr/cinquant..
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J'en avais beaucoup entendu parler, et en tant que bibliothécaire et auteur, j'étais très curieuse de le lire, à la fois pour pouvoir en parler à mes lecteurs, et pour comprendre les clés de son succès. Et bien je n'ai toujours pas compris. Expliquez-moi! C'est bien plus catastrophique que ce que j'avais imaginé, et encore, on m'avait bien préparée! Non contente d'écrire avec un style (et pour moi c'est pas le mot approprié) totalement déplorable digne d'un élève de sixième, de développer une "intrigue" qui tient sur un bout de papier et des personnages clichés, E.L. James arrive encore à distiller des propos machistes et rétrogrades dans son roman, et à rendre les scènes de sexe chiantes, ce qui est tout de même un comble puisque c'est censé être là tout l'intérêt! La romance érotique, c'est tout un art, il ne suffit pas de décrire cliniquement les faits et gestes, ni de répéter à chaque fois la même chose pour décrire ce qu'on ressent... Oui parce que l'héroïne, sur 400 pages, éprouve TOUJOURS la même chose et l'exprime avec les MÊMES mots. Je n'ai même pas réussi à le finir, c'est dire! Comment peut-on être assez orgueilleux pour refuser les corrections d'un éditeur? Il aurait fallu vraiment élaguer tout ça, et encore, même en nouvelle, je ne suis pas persuadée que ça aurait été bon. Je vais aller relire Anaïs Nin, tiens^^

(On pourrait s'amuser à écrire au moins trente scènes de ce livre en reprenant les phrases et en les mélangeant, du genre:
"Il m'attrape le menton pour dégager ma lèvre inférieure, que je mordille sans m'en rendre compte.
- Ne fais pas ça, bébé, tu sais que ça m'excite.
Qu'est-ce qu'il est autoritaire! C'est vraiment un maniaque du contrôle. Il me regarde durement. Mais merde, qu'est-ce que c'est sexy! Je rougis et ma déesse intérieure exécute un triple Lutz piqué. Je jette un coup d'oeil au miroir derrière nous. le brushing post-coïtal ne me va pas du tout.")
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Je n'ai jamais compris ... et encore aujourd'hui l'attrait qu'à pu susciter ce livre :D
Même certains livres "Harlequin" sont plus censé et plus sympa que ce livre.
Et par-dessus tout.... comment tomber dans le panneau de cette intrigue sans vraisemblance. Une demoiselle intelligente et super diplômée accepte un contrat sexuel avec un riche milliardaire ayant des troubles psychologiques suite à son passé. Euh.... si vous connaissez quelqu'un dans votre entourage qui a connu ce genre de situation... je serai curieuse (et étonnée).


Sérieusement... ce tome est d'une banalité affligeante.
Le seul point positif... il serait un super manifeste visible pour les écologistes ! Non mais vous avez vu le bilan carbone de cette histoire... entre les voyages en hélicoptères, les parcours avec de grosse berline... le quota est atteint !!! :D
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