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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Village de Boronn. Ulrog, l'un des nains les plus doués de l'ordre de la Forge, a enseigné à son fils, Redwin, l'art de forger. Au grand dam de ce dernier, il ne lui a jamais appris à forger les armes, refusant de voir sa magie runique au service de la mort et de la destruction. Aussi, n'en faisant qu'à sa tête, Redwin se construit une forge, avec l'aide d'Enïme et, en secret, il apprend seul. Malgré sa force de travail et sa volonté, déterminé plus que jamais à laver l'honneur de sa famille – lui que l'on traite de fils de lâche – et la rancoeur envers un père qu'il ne comprend pas, le jeune homme ne parvient pas à forger une arme puissante. Un soir, il reçoit dans sa forge la visite de son oncle Jarsen. Ce dernier se propose de l'aider dans sa quête, à savoir devenir Seigneur des Runes et ainsi avoir l'honneur de combattre au nom des siens. Avant cela, il devra apprendre la forge de bataille et le combat...

Dérivée de la série Elfes, Nains voit le jour, dans ce premier tome, sous le personnage de Redwin. Ce jeune homme sera Seigneur de la magie runique, il en est convaincu, quitte à se mettre à dos son père et à tourner le dos au siens. Avec l'aide de son oncle, il lui faudra vaincre bon nombre de combattants et vaincre ses propres démons. Nicolas Jarry nous offre un premier volet original et enlevé au scénario implacable. Une quête initiatique rondement menée portée par un personnage charismatique et volontaire. Niveau graphisme, Pierre-Denis Goux réalise de superbes planches fouillées et finement travaillées, au trait délicat et à la mise en page dynamique.
En bonus, des esquisses et un glossaire, histoire de ne pas passer pour un courtard!
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Moi, Redwin, fils d'Ulrog, je me demandais pourquoi mon père refusait-il toujours de m'enseigner la forge de bataille ? Pourquoi gâchait-il son talent à fabriquer des outils ou des bijoux, aussi magnifiques soient-ils ? Pourtant, autrefois, il était admiré de tous pour son incroyable talent à fabriquer des armes runiques.

J'étais la risée des autres nains. J'étais le fils du lâche ! Rom, qui avait mon âge me rossait régulièrement. J'avais soif de vengeance. Je voulais devenir un Seigneur des Runes.

A l'insu de mon père (et non à l'insu de mon plein gré), j'ai bâti ma propre forge et entrepris de fabriquer des armes, mais celles-ci étaient de bien médiocre qualité… Jusqu'au jour où mon oncle est venu me chercher. Forgeron talentueux, il m'apprit la forge de bataille et comment concevoir les meilleures armes. Mais pas que ! Il m'apprit à me battre car un Seigneur des Runes se doit de combattre. Me voilà prêt à affronter mes premiers adversaires, pour cela mon oncle m'a conduit dans une ville libre et indépendante, la Cité des Sang-Mêlé. Je vais devoir vaincre ou mourir…

Critique :

Voici le premier album de la série nains. Nicolas Jarry développe un scénario basé sur un conflit père-fils, mais je devrais plutôt dire fils-père. Un père qui aime son fils plus que tout et qui ne tient pas à ce qu'il gâche sa vie à courir derrière la gloire, les honneurs et l'argent. Un père qui veut avant tout que son fils soit heureux et ne se noie pas dans son orgueil. Mais comment son fils pourrait-il accepter d'être humilié par les gens de son âge qui ne voient pas en lui un vrai nain, encore moins un membre de l'Ordre de la Forge, le plus prestigieux des cinq ordres ? Sa décision de rompre avec son père et de lui garder une rancune tenace ne va-t-elle pas le mener à sa perte ? Enormément d'émotion dans cette bande dessinée. Il y a clairement du Freud dans cette histoire. J.L. Istin, l'homme qui scénarise plus vite que son ombre, a refilé cette idée originale à Nicolas Jarry qui l'a superbement développée.

Les dessins de Pierre-Denis Goux sont d'un grand dynamisme et donnent une impression de mouvement très réussie. J'aime tout spécialement ses décors, comme c'est le cas dans la plupart des livres des aventures en Terres d'Arran. Mon bémol, ce sont les monstres. Je n'aime pas les monstruosités qui, avec la magie, inondent la fantasy. C'est que j'ai un petit coeur sensible, moi !

Les couleurs ont été confiées à Digikore Studios, où ses équipes ont fait de l'excellent travail.
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Allumer le feu, allumer le feu...

Euh non The Wind, c'est bon là. Tu ne vas pas nous faire du Johnny tous les jours...
Ceci dit, je n'y peux rien, cette chanson peut très bien illustrer ce premier tome de Nains. On y raconte l'histoire de Redwin, un apprenti forgeron.
Et c'est pas pour dire mais ce Redwin casse carrément la baraque ! Autant que...enfin, vous m'avez comprise.

Comment fait-on pour devenir une légende sur les terres d'Arran quand on arrive à peine au nombril des splendides et héroïques Elfes ?

C'est la question que je me suis posée quand j'ai fait la rencontre de ce dur à cuire lors de la bataille de Kastennroc. (Tome 11 de la série Elfes)
La réponse se trouve dans ce premier tome de Nains, la série parallèle.
C'est Jarry, spécialiste des Elfes sylvains, qui s'y colle et si ce scénariste ne faisait pas partie de mes préférés, j'avoue avoir eu une très belle surprise à la lecture de ce tome qui retrace la destinée du fils d'un forgeron moqué devenu le plus puissant guerrier redouté de tous, grâce à son oncle et surtout mû par un désir de vengeance inextinguible.

Comme d'hab, ça envoie du lourd !
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Du combat, du sang, du muscle, de la sueur et des coups de marteau ! J'ai été conquise par l'ambiance proposée par Nicolas Jarry et Pierre-Denis Goux. Pas forcément fan des nains par rapport à mon conjoint qui les trouve bien badass, je ne pensais pas découvrir un scénario comme celui-ci ! Certes, il y a des escarmouches et de la violence, mais pas que ! En effet, de l'émotion se dégage au fil des pages. Redwin est partagé par ses sentiments, l'ambition et les racontars qui pèsent sur sa famille. Il en a assez qu'on le traite de « fils de lâche », si bien qu'il se laisse ronger par la haine et la rancoeur… On a là un bon récit à la fois dynamique, touchant et impressionnant dès qu'il est question d'arène ou de fabrication d'armes. J'ai beaucoup aimé le personnage d'Enïme, une jeune naine et amie d'enfance, qui va réussir à apaiser la colère et l'aspiration destructrice de Redwin. À l'inverse je n'ai pas accroché au personnage de Rom qui n'est pas un antagoniste spécialement intéressant. À force de le mettre en scène en train de rosser le héros, les auteurs arrivent à nous le faire détester mais, au fond, Rom n'a rien de charismatique. Ce n'est pas un « bon » méchant comme je les aime… J'en attendais peut-être trop de lui ? Disons qu'il est simplement le Némésis de Redwin et qu'il va lui mettre des bâtons dans les roues dans sa quête initiatique…

Les planches sont tout simplement à couper le souffle ! Les détails sont nombreux que ce soit dans les décors ou dans les tenues et coiffures des personnages. Je me suis régalée pendant les scènes de combats qui sont impressionnantes : le sang gicle dans tous les sens, les ennemis perdent des membres et les planches sont dynamiques. L'ambiance des batailles est très bien retranscrite. Petit plus appréciable : des pages bonus en fin de BD qui permettront de découvrir des croquis, des informations ainsi que du vocabulaire propre à l'univers de « Nains ». La qualité graphique de cette bande dessinée est aussi remarquable que l'histoire. Les amateurs de fantasy trouveront leur bonheur dans ce premier tome !

C'est en voyant le compte Instagram de Jean-Paul Bordier, l'un des illustrateurs de la saga « Nains », que j'ai eu envie de découvrir cet univers, car j'ai trouvé son travail très abouti… J'ignorais que les illustrateurs changeaient à chaque tome, cependant j'ai réussi à mettre la main sur trois opus de la saga. J'ai également découvert que plusieurs membres de Babelio que je suis attentivement comme Marina53, Tatooa, Pavlik et Alfaric avaient lu certains tomes de la série ! Je vous recommande leur critique et suis souvent d'accord avec leurs propos, notamment ceux concernant les oeuvres de Gemmell.

Lien : https://lespagesquitournent...
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Le jeune forgeron Redwin veut apprendre le secret pour forger des armes, ce que son père Ulrog refuse de lui apprendre, car il a depuis longtemps refusé de fabriquer des armes de mort. Qu'à cela ne tienne, Redwin va tout faire pour non seulement apprendre à forger les meilleures armes, mais aussi à devenir le meilleur des combattants.

Une autre histoire du jeune qui rejette son père car il ne comprend pas ses raisons, en le sous-estimant en plus.

Une lecture courte, mais efficace avec l'histoire de Nicolas Jarry et les dessins de Pierre-Denis Goux.

J'ai beaucoup aimé avec un peu de réminiscence du seigneur des anneaux.
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Même principe que pour la magnifique série "Elfes" : un scénariste et un dessinateur différents pour chaque album, album qui doit avoir une fin, mais pas trop fermée pour que l'on puisse faire une suite en cas de succès.

Dans cette série des Nains, le scénariste sera le même pour les 5 tomes. La seule différence.

Bon, l'autre différence sera de taille puisque l'on passe des oreilles pointues à des Gimli (le nain du Seigneur des Anneaux).

Ulrog est un nain curieux… Il est le plus grand forgeron nain de sa génération, il pourrait forger des armes puissantes, il est un orfèvre en la matière, il connait les runes puissantes à graver dessus, il sait comment leur donner vie, mais il refuse de mettre son art au service de la guerre et ne forge donc aucune arme. Les autres nains l'ont bannis, presque et personne ne le respecte.

Ulrog s'en torche le cul de ce que les autres pensent ou pas, lui, il est en ordre de conscience, mais pour son fils, Redwin, être traité de lâche ou de fils de lâche, c'est un calvaire, une torture, surtout qu'il voudrait bien forger des armes, lui, afin de devenir le Seigneur des Runes de leur ordre.

Voici une histoire classique d'un fils qui voudrait plus, alors qu'il ne manque de rien, un gamin qui voudrait laver tous les affronts que lui a fait subir Rom, un nain de son âge. Un fils qui va trahir son père, le renier, afin d'accomplir son rêve et pouvoir se vautrer dans le luxe et fourrer pieutard dans le joufflu des filles.

Classique, mais servi par des dessins magnifiques, des décors à couper le souffle, des couleurs et des ambiances à vous trouer le cul.

Il y a de la profondeur, dans tout cela. Même si on a affaire au problème éternel du fils qui se rebelle contre le père (tuer le père, pour Freud) parce qu'il croit que papa est un lâche.

Les personnages sont attachants, même Redwin, même quand on le voit s'enfoncer dans l'entêtement le plus crétin. On a mal avec lui, on a envie de lui crier qu'il s'est gouré de chemin, mais on sait qu'il ne nous écoutera pas, trop enfoncé qu'il est dans sa bêtise qu'il ne voudrait même pas se l'avouer à lui-même.

Parti de chez son père pour aller vivre chez son oncle Jarsen afin d'apprendre l'art de la forge et l'art du combat, Redwin n'aura de cesse de forger des armes afin de les exploiter au cours de combats. Il a du talent et son oncle espère bien réaliser un retour sur investissement lorsque son neveu arrivera au faîte de sa gloire.

Voilà un garçon qui ne savait pas se battre et qui, après des heures et des heures d'entrainement, mettra sa mauvaise science à son service en combattant dans les arènes de la cité des sang-mêlé, apprenant la haine et la violence…

Un scénario au poil, des combats sanglants, des arènes où se mêlent les remugles de chair perdues, la sueur et le vomi. Des personnages travaillés, attachants, qui évolueront avec l'âge.

Sans oublier le langage "spécial nains" utilisé dans le récit. La plupart des mots sont facilement compréhensibles, pour les autres, un lexique vous tend les bras en fin d'ouvrage, avec le cahier des dessins.

Un parcours initiatique où Redwin apprendra que le courage n'est pas celui dont on fait preuve durant un combat dans une arène, que l'or et la richesse n'apporte pas le bonheur et lui démontrera tout l'amour que son père avait pour lui. Et son talent !

Le côte Obscur de la Force est toujours à éviter…

Une putain de bien belle histoire avec des nains teigneux comme on les aime. Mais y'a de l'amour, dans tout ça…
Lien : https://thecanniballecteur.w..
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• Nains, Tome 1
Nicolas Jarry (Scénario) & Pierre Denis Goux (Dessin)
• Soleil

Je me suis mis à lire il y a quelques temps le Monde d'Aquilon, avec l'envie de lire toutes les séries, dans l'ordre chronologique de sortie des tomes afin d'avoir toutes les petites références faites entre les différentes séries.
Après la lecture des dix premiers tomes de Elfes, me voila sur le premier volume de la série Nains.

Et le premier truc que je dois dire, c'est que, même si j'ai apprécié la lecture des tomes de Elfes pour le moment (certains plus que d'autres, salut les elfes noirs), je trouve ce premier tome de Nains beaucoup plus percutant et je pense déjà que la série Nains me conviendra d'autant plus que la série Elfes.

Contrairement aux elfes, les nains sont bourrus, brut de décoffrage, c'est pas des vegans quoi ! (désolé à toi vegan si je t'ai offensé).

Ce premier tome mets en scène Redwin de la forge, de son enfance jusqu'à l'accomplissement de son but. Devenir un seigneur des runes puis un seigneur de guerre.
Dès ce premier tome, on comprends que Redwin sera un personnage nain très important, chose qui peut manquer dans la série elfe pour certains tomes paraissant presque or univers.

Une très bonne première découverte qui donne envie de lire la suite des aventures de ces petits barbues.
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Chez les Nains, ce qui se fait, c'est de forger des armes pour se mettre sur la tronche. D'ailleurs, des duels et des combats sont organisés pour désigner le Seigneur des Runes, qui fait le champion dans les querelles juridiques opposant le Clan de la Forge aux autres Clans Nains. Seigneur de Guerre aussi, c'est plutôt classe.

Et Redwin, lui a décidé de devenir les deux. Et cumuler les deux emplois, ça ne s'est jamais vu, d'autant moins que pour prétendre au poste de Seigneur des Runes, mieux vaut être issu d'une école ad hoc. Ce qui n'est absolument pas le cas de Redwin.

Alors d'où lui vient ce projet fou ? de son père, Urog, pacifiste qui refuse de forger des armes et passe aux yeux de tous pour un lâche ? de Rom, un autre gamin de son village qui prend son pied à l'humilier et lui flanquer des dérouillées ?

Il faudra bien du temps et des errements à Redwin pour trouver sa voie. En ce sens, il s'agit ici véritablement d'une quête initiatique.

Un bon concept.
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Cette bd s'inscrit dans l'univers et le concept lancé par Jean Luc Istin avec la série Elfes. J'apprécie énormément l'idée de cet univers raconté par des auteurs différents et illustré par des dessinateurs différents. Cela donne un rythme et une atmosphère très spécifiques.
En ce qui concerne ce tome 1, je suis absolument bleuffé par la qualité graphique de la couverture; elle juste magnifique comme d'ailleurs toutes les couvertures de ces 2 séries.
En tout premier lieu, je suis réellement attiré par le traitement du mythe du nain. Les auteurs se sont vraiment creusé les méninges pour nous sortir quelque chose qui change. Ils ont repensé totalement et en profondeur l'image du nain dans la fantasy, proposant ainsi une nouvelle version plus abouti, plus mature, qui ne s'arrête aux sempiternels clichés qu'on lui connaît. Ils sont parti de l'image très caricaturale et l'on façonné à leur manière, y injectant des aspects inédits, une psychologie jusque là inexplorée ou peu; ils ont réellement fait l'effort de sortir du carcan, pour s'en détacher complètement et ainsi créer une nouvelle vision du nain, en le développant. Ils ont réussi à réinventer le nain, et même le peuple nain (Quel plaisir pour moi, fan de mythologies en tous genres, de trouver enfin des nains pratiquant une magie, à l'image des nains de la mythologie Asgardienne. Pour moi la référence est évidente d'autant que les nains forgent des runes dans leurs armes, la rune faisant directement référence au monde viking...). Travail qui a déjà été fait et qui est toujours en cours avec la série Elfes. le traitement est nouveau et il se cache derrière ces deux séries une véritable volonté de nouveauté à partir des stéréotypes de la fantasy. Ce n'est pas pour rien qu'ils ont choisi de traiter les Elfes et les Nains en premier et je gage, et espère, que d'autres peuples très caricaturaux passeront par leur plume et leur imagination.
Alors qu'en est il de ce volume 1 me direz vous? Et bien j'aime beaucoup le traitement comme je l'ai dit et c'est principalement cette caractéristique qui m'attache à lire cette bd. Outre les graphismes que je trouve superbes, mais néanmoins un peu brouillon pour certaines cases, pour lesquelles il est nécessaire de faire un véritable effort d'observation pour les comprendre et les apprécier dans leurs détails les plus fins ainsi que les scènes de combat qui manquent, à mon goût de fluidité et de cohérence, je regrette le postulat de départ du scénario qui nous présente un nain, victime d'un de ses pairs, avec lequel il se dispute le titre de seigneur des runes, distinction hautement valorisante pour le clan dont il est originaire. On devine que ce bourreau de gamin sera un adversaire obligé dans sa quête initiatique de virilité. C'est un peu trop convenu et pas très original en soi. Mais en lisant plus avant et en prenant un peu de recul, je me rend compte que le propos de l'auteur ne se situe pas là, qu'il s'agit simplement d'une excuse, d'un obstacle à passer pour notre héros nain, pour aller plus loin. le récit ne se contente pas de nous montrer le parcours du nain mais va plus loin. Je me suis surpris à me dire que la bd était terminé alors qu'il restait encore une dizaine de pages, que le scénario allait plus loin que cette fin pressentie et pratiquement attendue. En effet, notre nain court après autre chose, de plus grandiose, qui va lui ouvrir les portes d'un destin au delà de notre propre imagination ou de nos attentes. Les dernières pages du livre font l'impasse sur bon nombre d'années pour nous amener directement au moment important de sa vie et l'on devine que l'histoire débute réellement maintenant.
Bref j'attends les tomes suivants avec curiosité et impatience.
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Redwin est un paria car son père refuse de forger des armes et de se battre. Humilié, il décide de prendre en main son destin et de recouvrer son honneur. Mais l'honneur vaut-il le sang versé ?

Un univers fantasy bien ficelé, une histoire plutôt profonde sous tous ces combats, des dessins intéressants : de quoi passer un bon moment en somme.

J'avoue ne pas avoir eu de coup de coeur mais j'ai quand même apprécié ma lecture. L'univers des auteurs est foisonnant et, visiblement, ils ont su le décliner sous toute une palette de personnages. Un bon concept.
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