Je suis vraiment étonné de ne lire que des chroniques dithyrambiques sur le Chevalier Aux Epines, oui c'est un bel exercice de style, mais mince alors, je m'y suis ennuyé ferme. le roman s'étire pour finalement ne pas raconter grand chose, il s'éparpille et nous perd entre moultes personnages auprès desquels on ne se raccroche pas, hormis peut être le chat Mirabilis. Fan inconditionnel de
Gagner la Guerre, j'ai attendu vaillamment qu'il se passe quelque chose qui me fasse tressaillir ne serait-ce qu'un brin, et en dehors d'un chapitre consacré au dit tournoi, je n'ai que peu vibré. Nous sommes loin des aventures rocambolesques au rythme haletant que
Jean Philippe Jaworski sait pourtant si bien narrer, c'est dommage.