On peut sans doute résumer cette trilogie, mais ne me demandez pas de le faire, ce serait bien trop difficile pour moi. C'est trop dense, s'agissant d'une trilogie dont chaque partie est plus longue que la précédente, atteignant pas loin de mille-deux-cent pages, et j'accoucherais forcément d'un résumé tels que je ne les aime pas : trop long(*). Je pourrais aussi me trouver l'excuse que les événements couvrent un grand nombres d'années, et que donc le résumé succinct que j'en tirerais dédramatiserait le récit. Ça donnerait ceci (ou pas) : “Une cosmogonie qui se vit de l'intérieur, où à chaque instant le destin des dieux, des hommes et de l'Existence elle-même est remis en question par l'effet d'une farce, d'un assassinat ou d'un simple et chaste baiser.” Ce serait punchy et lyrique, comme les livres même ! Mais on en oublierait alors qu'il y a une galerie de personnages incroyables dans ces trois romans, qu'ils soient des dieux ou des humains.
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