Les métayers avaient un contrat d'un an. Si le maître leur donnait congé, ils n'avaient plus qu'a charger leurs quelques pauvres meubles dans la charrette des vaches pour gagner une nouvelle propriété où à défaut une petite maison d'où ils partiraient travailler à journée.
Ce passé n'est pas si lointain, juste avant la dernière guerre....
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Voilà un pan de l'histoire que je ne connaissais pas. Et pourtant cette précarité du métayage est finalement très récente, puisque 1929 c'est presque hier. J'ai aimé découvrir le destin de cette famille, et je suis contente de la fin. Je suis même frustrée de ne pas avoir pu les suivre plus longtemps, pour voir l'évolution de chacun.
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Il ne fait pas encore jour, c'est la lune qui brille...
Michel Jeury en conférence aux Utopiales 2010
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