AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Les Aventures de Cadel Piggott tome 1 sur 3
EAN : 9782253023661
576 pages
Le Livre de Poche (21/11/2012)
3.56/5   24 notes
Résumé :
Adopté à sa naissance, Cadel Piggot montre dès son plus jeune âge des talents de hacker impressionnants. Il épuise petit à petit tous les adultes chargés de son éducation, piratant leur carte bleue, s’infiltrant dans le système informatique de son école pour mettre le chaos dans les notes… Les Piggot confient alors Cadel à un psychologue réputé, Taddeus Roth, président du mystérieux Institut Axis. Bientôt Cadel y suit des cours de Mal pur, de Contrefaçon, de Manipul... >Voir plus
Que lire après Evil GeniusVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
3,56

sur 24 notes
5
2 avis
4
2 avis
3
6 avis
2
1 avis
1
0 avis
Comment faire une critique de ce livre dont mon avis reste mitigé ? Je m'attendais à mieux. Voilà tout ce que je peux dire. Enfin bref, argumentons. Déjà, ne croyez pas le résumé. Parce que Cadel a 7 ans pendant quelques pages et après il grandi. D'ailleurs, j'ai trouvé le début un peu trop rapide, et même si dès le début j'avais bien accroché aux descriptions ironiques des personnages, tout de suite je me suis dit "woh, mais qu'est ce qu'ils nous font, ils vont trop vite là, stop !" et je me suis demandé jusqu'où ils allaient aller avant d'aller plus lentement. Jusqu'à la centième page, moment où il l'histoire commence enfin réellement, avec l'université Axis et ces professeurs tous un peu barjots les uns que les autres. Mais, étrangement, je n'ai pu en supporter aucun sauf Alias. Donc on découvre la vie de Cadel à cette université pour gens méchants comme lui, et on se rend bien compte que ce gamin de treize ans est un super génie, et aussi un type super associal, mais qui reste humain (et c'est ce côté là que j'ai adoré chez lui, parce qu'il reste quand même un enfant dans sa tête, et on s'en rend bien compte). On découvre ses camarades tous plus âgés que lui, et je n'ai pu en supporter aucun, sauf Gazo et peut-être Abraham (parce que son idée de créer des vampires m'a fait rire). L'histoire se développe donc, les avis de Cadel change, et je me suis demandé "mais bon sang c'est quoi ce délire ?" il y a du suspens, un beau suspens, des belles hypothèses, mais je me doutais déjà de ce qui allait se passer à la fin et je dois avouer que je me suis pas trompée (d'ailleurs c'était une jolie fin pleine de stéréotypes). Entre temps, nous avons aussi le droit à l'évolution de la relation entre Cadel et une demoiselle nommée Kay-Lee, et je dois avouer, que j'ai adoré cette relation pleine de mathématiques et d'amour, et de mensonge - malheureusement - j'ai trouvé ça vraiment trop mignon, et c'est d'ailleurs ça qui permet à Cadel de rester gentil (pas que j'aime pas les méchants, mais bon.) Enfin passons, je trouve que ce livre à des bons points (Cadel, son caractère, l'originalité de l'histoire (bien que ça m'ait rappelé "La grande école du mal et de la ruse" de Mark Waldon sur certains points), Kay-Lee et sa relation avec le héros, Alias et Gazo), mais aussi des points négatifs (ça va trop vite, c'est tiré par les cheveux à certains moments, y a trop de changements, trop de personnages des fois aussi, on se doute de certains trucs), ce pourquoi je ne peux que dire une chose, ce livre est assez moyen.
Commenter  J’apprécie          00
C'est le premier tome d'une trilogie (qui n'a pas été traduite au-delà – donc pas de tomes 2 et 3 en VF) où l'on suit Cadel Piggot de ses 7 à 14 ans, génie et hacker en informatique dont les parents adoptifs l'envoie voir un thérapeute pour l'aider à arrêter de pirater les cartes bleues de ses enseignants… Mais ce thérapeute est assez particulier et fait inscrire Cadel au mystérieux institut Axis – une école qui enseigne le Mal Pur. Explosifs, poisons, contrefaçon, vides juridiques, déguisement, on lui apprend à devenir un génie du Mal. Mais est-il vraiment à sa place dans cette université pas comme les autres ?
C'était pas mal, pas ouf non plus, c'est un livre publié en 2007 en VO et en 2012 en VF et pourtant, j'aurais pensé qu'il était plus vieux tant il semble ancré dans une réalité des années 90 où l'informatique n'était pas aussi rapide qu'aujourd'hui. L'autrice est très à l'aise pour nous parler de trucs mathématiques pointus ou des théories génétiques et tout mais j'ai trouvé le scénario très bancal. Il se passe des trucs invraisemblables et quelques fois presque absurdes mais avec un ton très sérieux donc on se demande s'il faut rire ou pleurer.
Je le recommande à ceux qui ont aimé la trilogie Bartiméus, sans en attendre trop. Bravo à la couverture que je trouve super stylée.
Commenter  J’apprécie          20
Lorsque l'histoire commence, Cadel est âgé de 8 ans et démontre déjà des talents de hacker exceptionnels ! Et c'est ce qui cause sa rencontre avec le mystérieux psychologue Thaddeus Roth. Les 150 premières pages sont dévolues à l'enfance de Cadel, entre sa 8e année, jusqu'à ces 13 ans. On le découvre lors de ses séances avec Thaddeus, on en apprend plus sur sa vie de famille et sur sa scolarité. On apprend également qui est le vrai père de Cadel et ce qu'il est advenu de sa mère...

Au départ, j'ai eu peur de ne pas accrocher avec le personnage de Cadel. C'est un garçon, au début de l'histoire il n'a que 8 ans : bref, j'avais quelques appréhension. Mais j'ai été agréablement suprise !

Surdoué, il est saute des classes et se retrouve forcément avec des camarades de classe plus âgés que lui. Il est rejeté et raillé par ceux-ci et on ne peut que s'attacher à ce petit bout d'homme, ni vraiment enfant, ni vraiment adulte. Mais attention, ce n'est pas parce que Cadel a une bouille d'ange qu'on peut lui marcher dessus ! Non, les vengeances de Cadel sont aussi tordues qu'exquises ! Je suis absolument fan : l'expression "la vengeance est un plat qui se mange froid" prend tout son sens ! Cadel n'a aucune limites !!! Malgré ce potentiel, Cadel est loin d'être méchant... Bien au contraire...

Tout s'accélère lorsque que Cadel entre à l'Université. Il est âgé de seulement 13 ans lorsqu'il intègre l'Institut Axis. C'est à ce moment-là que l'action commence réellement ! La tension à l'intérieur de l'Institut est énormissime ! Les autres élèves sont tous ahurissants ! Les jumelles psychopathes, Abraham, un espèce de mini savant fou, Clive, la brute sans cervelle ou encore Gazo, qui possède un pouvoir un peu spéciale. Certains sont attachants, d'autres sont insupportables, mais tous ont leur place dans cette histoire ! Sans parler des professeurs, tous hauts en couleurs et enseignants des branches peu communes telles que la contre façon, le Mal pur et j'en passe.. Cet institut a tout l'air d'être l'Enfer sur terre et tout ce qui s'y passe est horriblement loufoque !

Selon le père de Cadel, le Dr. Darkkon, certains individus de la population possèdent des "super gènes". C'est-à-dire des gènes plus "développés" que la moyenne... J'ai trouvé cette idée vraiment très originale ! J'ai particulièrement aimé la théorie sur la combustion spontanée !

Malgré une histoire assez sombre et une tension quasiment constante, le texte est parcouru de quelques doses d'humour très bien placées et tout en légèreté. L'histoire est absolument palpitante ! On ne s'ennuie pas une seule seconde, on va de révélations en révélations et, pour une fois, je n'ai pas été capable de prédire la moindre chose sur le déroulement de l'histoire ! Et c'est un vrai plaisir...

L'écriture est fluide, sans superflu. Les descriptions sont légères et très bien menées ! Bref, ce livre avait tout pour me plaire et décroche donc une mention "Coup de Coeur" !
Lien : http://deslivresenpagaille.e..
Commenter  J’apprécie          00
Le thème inhabituel du livre m'a intrigué, me poussant à lire ce livre. En effet, ce n'est pas tous les jours que l'on vante le génie maléfique d'un héros. Mais, ne vous y trompez pas cela reste un récit young adult avec les défauts que cela peut sous-entendre.
L'histoire contient de nombreux rebondissements et un univers plutôt bien planté. Cependant, on y trouve plusieurs longueurs qui gâchent par moment la lecture, de même que certains rebondissements sont de trop selon moi.
Les personnages sont assez inégaux. Cadel et Thaddeus inspirent un certains nombre de sentiments (dégoût, attachement, colère, admiration) et donnent envie de suivre leurs aventures/évolutions. Ce qui n'est pas le cas des personnages secondaires. "Carton-pâte" et plats au possible, leur avenir ne m'intéressait pas plus que ça.

Au final j'ai quand même passé un bon moment en lisant ce livre. J'ai même fait circuler mon livre dans mon entourage (chose rare). Cependant l'estampillage "young adult" est plus que mérité car la qualité de la lecture s'en ressent. Une adaptation à l'écran (moyennant quelques coupes dans le récit) pourrait être sympa.
Commenter  J’apprécie          00
Quand j'ai découvert ce bouquin au cours d'un partenariat entre le livre de Poche et Livraddict, j'ai directement été conquise par sa quatrième de couverture.
Il y a également cet emploi du temps mystérieux que l'on peut trouver au début du roman qui a attisé ma curiosité.
Mais autant vous le dire tout de suite, mon avis sera assez mitigé car je m'attendais à accrocher dès les premières pages. Or, ça a été tout à fait le contraire, j'ai eu beaucoup de difficulté à me plonger dans l'histoire et j'ai trouvé le début très long.
Il a fallut que Cadel arrive dans le mystérieux institut Axis pour qu'enfin ce bouquin prenne de l'intérêt à mes yeux. A partir de ce moment là, j'avoue que j'ai complètement été happée et qu'il m'a été très difficile de le reposer malgré quelques ralentissements dans l'histoire.
Au niveau des différents protagonistes, j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher à eux et je les ai trouvés un peu trop nombreux. Il y a juste Cadel, notre héros principal, qui a su me captiver, je l'ai trouvé très attachant à partir du moment où il est entré à Axis et j'ai beaucoup aimé la façon dont il évolue.
Je ne peux pas faire sans vous parler des jumelles car j'ai adoré leur côté psychopathe.
Pour parler de cet institut très spécial, je peux vous dire que j'ai beaucoup aimé me retrouver plongée dans cet univers et les descriptions que l'auteure en fait sont très bien imaginées. le fait de suivre des cours du mal dans cette école est vraiment intéressant et original.
Je me suis souvent posé des questions sur les différents membres de cette institution et j'avoue que c'est très agréable de ne pas savoir où on va.
Au niveau de la fin, il y a eu plusieurs révélations qui m'ont très agréablement surprise et j'ai énormément apprécié l'action et les rebondissements de cette finale.

En bref, même si j'ai peiné avec le début de ce bouquin je ne regrette pas d'avoir continué et j'ai très envie de lire le tome 2 pour voir comment Cadel va évoluer et savoir ce qu'il va lui arriver.
Lien : http://lestribulationsdunele..
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (1) Ajouter une citation
– Si l'enfer, c'est les autres, poursuivit Maestro, alors le mal aussi. J'en suis convaincu. Si vous réfléchissez à cette notion, vous l'associerez naturellement aux adjectifs méchant, malfaisant, mauvais et ainsi de suite. Bien sûr, ce sont des mots que la plupart des gens emploient pour critiquer les autres. Personne ne s'accuse soi-même d'être malfaisant. Oh, non ! On se reproche éventiellement de s'être fourvoyer, d'être parresseux, stupide, et même cruel. Et si vous jetez un mégot de cigarette par la vitre de votre voiture en pleine période de sécheresse ? Vous êtes considéré comme négligeant, pas malfaisant. Et si vous détruisez une fourmillière ou tuez un million de poissons après avoir provoqué une marrée noire ? La société vous traitera juste d'égoïste. Enr evanche, si vous alliez tirer sur une cinquantaine de chevaux dans une écurie, là on vous accuserait peut-être d'être le mal personnifié. Parce que la société aime les cheveaux alors qu'elle se fiche des fourmis.

Le Maestro s'éclaircit la gorge avant de poursuivre :

– Le mal n'est qu'un mot que la société emploie pour condamner les actions des individus qu'elle n'aime pas. C'est le contraire de ce que la société appelle le bien. Certains diront que les corridas, c'est mal, mais pas les Espagnols. D'autres affirmeront que la guerre, c'est mal, mais cette personne n'est pas démodée pour autant. Le concept de mal est aussi flexible qu'un morceau d'argile. On peut lui donner pratiquement toutes les formes qu'on veut.
Commenter  J’apprécie          00

autres livres classés : génie du malVoir plus
Les plus populaires : Jeunesse Voir plus

Autres livres de Catherine Jinks (2) Voir plus

Lecteurs (37) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2886 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}