Pour ma part, en premier lieu, la couverture m'a attiré avec le titre... Puis, je me suis laissé tenté par lire le quatrième de couverture... Puis, après avoir échangé avec l'auteure, j'ai fini par franchir le pas et me suis offerte, le premier tome lors d'une convention, avec dédicace de
Cécile Koppel.
Comme promis, la critique sur les 6 premiers chapitres.
L'écriture est fluide, facile à lire. On rentre très vite dans l'histoire, les personnages, l'intrigue.
Bien que, tagué SF, on sent que l'histoire va nous mener au delà, d'un simple roman de cette catégorie... Morale, philosophie... tout semble mêlé...
Onil, emprisonné, dérouté, ne sachant plus tellement ce qu'il doit faire, perdu entre croyance et arrogance, va devoir faire confiance à une personne, qui fait partie, de ses "ennemis".
La douleur, le faim, la peur, vont-ils avoir raison de lui ou, saura-t-il, raison garder et montrer sa force mentale.
On entrevoit que très peu de ce monde, ou la technologie pour le contrôle de l'être humain, sont les rois. Des despotes gouvernent, non sans des dissensions.
A la fin de ce 6ème chapitre négatif, un peu à l'image d'un compte à rebours, avant de se lancer réellement, au coeur de l'aventure... l'auteure nous laisse entrevoir que l'on va, par la suite, entrer dans un nouveau monde. L'arrogance de Onil va-t-elle le conduire dans un monde ami ou ennemi ? Va-t-il pouvoir s'y retrouver et retourner chez lui ?... que de questions qui restent pour l'instant sans réponses... La suite, dans les autres chapitres.
Perso, je n'aimerais pas que l'on me contrôle ainsi...